La MDMA ou ecstasy, cette drogue du débutant et d'"une génération" La MDMA se consomme de plus en plus sous forme de parachutes ou "paras" : dans une feuille de papier à rouler, on enveloppe les cristaux éventuellement réduits en poudre avant de tout gober.
Le parachute est une méthode d'administration de substances psychoactives qui consiste à envelopper la substance dans une feuille (papier à cigarette, serviette en papier) puis à l'absorber par voie orale.
Plus connue quand elle se trouve sous la forme d'ecstasy, cette drogue ne détrône pas le cannabis en termes de consommation en Europe, mais elle talonne la cocaïne.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Les amphétamines sont couramment appelées speed, pills, peanut, pilule, pilou, amphé, amphet, etc. On les retrouve aussi en capsule ou simplement en poudre.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche.
La prise en charge médicale peut se faire soit à l'initiative de la personne toxicomane elle-même, soit à la suite d'un signalement. Un(e) toxicomane peut bénéficier d'une cure de désintoxication. La justice peut également prononcer une injonction thérapeutique.
Bien que le MDMA reste le produit principalement recherché dans un comprimé, aujourd'hui, on désigne par ecstasy (ou taz, tata, XTC, plomb, cachetons, bonbons... ) tout cachet contenant des produits stimulants et plus rarement des hallucinogènes.
Locution nominale. Nom vulgaire de la phencyclidine, psychotrope hallucinogène de formule chimique C17H25N. Nom vulgaire de la désomorphine de formule chimique C17H21NO2, dérivé de la morphine aux forts effets sédatif et analgésique, utilisé comme stupéfiant de substitution à l'héroïne.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas. Le terme surdosage s'entend par l'utilisation d'un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
L'objectif peut être de s'échapper de la réalité. La drogue est utilisée comme un anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions, de la souffrance. Les usagers disent souvent qu'ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour « décompresser ».
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Les consommations d'alcool, souvent importantes, et à ce titre représentant un apport calorique considérable. Il est à cet égard assez singulier d'entendre un patient qui boit plus d'une dizaine de bières par jour dire que c'est la méthadone qui le fait grossir ( ! ).
1. LSD - 2686€ Oui, c'est un peu cher. Mais c'est seulement parce que quelques microgrammes sont nécessaires pour créer une dose de LSD efficace, qui coûte à peu près 10 euros l'unité pour la substance hallucinogène (en buvard, comprimés, ou en gélules).
Depuis 2016, le fentanyl est la drogue la plus tueuse par overdose aux États-Unis. Au deuxième rang, l'héroïne obtient un score de 45/50. Elle est suivie de l'alcool (41/50), du crystal méthamphétamine ("crystal meth") et du tabac (14/50).
Lorsqu'on fume, le THC (le Tétra-Hydro-Cannabinol, la principale molécule active) présent dans le cannabis est transformé par notre organisme et produit des cannabinoïdes. Ils vont stimuler nos régulateurs d'appétit et faire dire à notre cerveau : « MANGER MANGER MANGER ! ! ! ».
Sentiments de tolérance et de convivialité, détachement ou engagement face à la législation sur le cannabis, équilibrage tacite du bien-être avec soi et du bien-être avec les autres, représentent souvent les axes de cette conception.
Le THC (tétrahydrocannabinol) présent dans la plante baisse la tension artérielle, provoquant une dilatation des vaisseaux sanguins et une augmentation de la circulation sanguine. Les vaisseaux sanguins du corps et des yeux gonflent alors et la rougeur apparaît.