Pluriel de 'éloha, qui signifie « Dieu ». On trouve ce mot dans la Bible et aussi dans les textes babyloniens d'Amarna.
ÉLOHIM, subst. masc. Bible. Divinité, dieu, nom commun de la divinité en hébreu, utilisé aussi comme nom propre (avec majuscule dans ce cas) pour désigner le vrai Dieu de l'Ancien Testament.
(Note supplémentaire) : Élohim est un terme plus largement employé que la seule désignation d'une divinité. Par exemple, elle est utilisée pour désigner des rois dans l'A.T (Ancien Testament), mais aussi des anges, ou bien des hommes à qui la parole de Dieu fut adressée.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Le Puissant dont parle Marie est El-Shaddaï, qui s'était justement manifesté sous ce nom à Abraham, Isaac et Jacob, avant même que ne fût révélé à Moïse le nom de YHWH (cf. Exode 6,3). Et l'Islam ne contredira pas, lui pour qui Dieu est aussi le Tout-Puissant et le Miséricordieux.
L'hébreu est premier, mais la Torah s'ouvre d'emblée sur une pluralité de langues et d'interprétations. Le rabbin Delphine Horvilleur va même plus loin : elle explique, dans le catalogue, qu'il existe dans la tradition juive différentes versions de ce que les Hébreux ont entendu au mont Sinaï. Oui.
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH.
Nom souvent donné à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans la Bible hébraïque, ce mot est lu à la place du tétragramme sacré YHWH (ou YHVH), dont le nom ne devait être prononcé sous peine de sacrilège.
Elohim n'est pas un nom, c'est une sorte de surnom polysémique : pluriel de majesté, d'excellence, pluriel qui réunit tous les attributs de la divinité, ou encore pluriel qui peut être utilisé pour nommer les guides, les inspirateurs, les juges.
Yahweh est une divinité nationale ou ethnique vénérée dans les royaumes d'Israël et de Juda. Son sanctuaire principal est le premier Temple de Jérusalem. Dans la Bible hébraïque, Yahweh (YHWH) est présenté comme le Dieu national des enfants d'Israël.
De l'hébreu ancien יהוה , YHWH, tétragramme hébraïque qu'il était défendu de prononcer, et qui se prononce « Yahwéh ». La Bible des Septantes (LXX) (ou « Septuaginta ») l'a traduit en grec par Kyrios, qui signifie « Maître » ou « Seigneur ».
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l'apanage d'Israël. Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH.
a) Poét. et littér. Divinité, dieu; nom commun de la divinité, utilisé aussi comme nom propre pour désigner Dieu tel qu'il fut révélé à Moïse dans la vision du Buisson ardent (Exode, III, 14).
Les Juifs s'imposent une interdiction de prononcer le Tétragramme, fondée sur le Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7).
À noter également que Élahî (Ilahi) est aussi la prononciation arabe de « Mon Dieu ».
L'araméen, la langue de Jésus. L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
Dans la Bible hébraïque, les anges ne sont pas dotés d'une langue spéciale et ils parlent dans des langues humaines. Dans les Manuscrits de la mer Morte de Qumrân, le concept apparaît dans la série d'hymnes pour les sacrifices du samedi.
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.