La course de vitesse, aussi appelée sprint, est présente aux Jeux Olympiques depuis 1896. Le principe consiste à courir le plus vite possible sur une distance inférieure à 800 mètres. On distingue dans l'usage le sprint dit « court » (100 et 200 mètres) du sprint dit « long » (
1. Action ou faculté de se déplacer rapidement, de parcourir un grand espace en un minimum de temps.
But du jeu : à 2 coureurs, en 8 secondes, courir le plus vite possible, se relayer pour apporter le témoin au bout de son couloir de course. Critère de réussite : le coureur n°2 (le relayeur qui porte le témoin) est dans la zone d'arrivée au moment du signal de fin de course.
Course de vitesse : aller le plus vite possible d'un point à un autre en ligne droite. Course de haies : aller le plus vite possible d'un point à un autre en ligne droite en franchissant des obstacles. Course de relais : amener le témoin d'un point à un autre le plus vite possible en se relayant à plusieurs.
En 1896, le baron Pierre de Coubertin prend conscience du formidable engouement que peut susciter la course pour les Jeux olympiques modernes.
Un sprinter ou sprinteur est l'athlète qui pratique le sprint.
- Courir de 8 à 15 minutes, selon ses possibilités, de façon régulière, en aisance respiratoire. - Augmenter sa vitesse de course et la maintenir avant les franchissements. - Prendre un départ rapide, courir et franchir trois haies basses en ralentissant le moins possible, finir vite.
La course muscle le cœur, libère des endorphines (sensation de bien-être), aide à diminuer le stress. La course favorise une musculature fine et harmonieuse. Elle favorise la perte de poids en raison d'une dépense calorique importante. Elle peut se pratiquer n'importe où et au moment de votre choix.
Il est interdit de ravitailler ou de changer de réservoir sur la grille. Il appartient au Directeur de Course de définir en opportunité le nombre de tours de chauffe. Si un warm up est prévu, tous les pilotes qualifiés ont la possibilité d'y participer (sauf règle spécifique).
Il existe cinq types de courses, les courses courtes : le sprint, les courses mi-longues : le demi-fond, et les courses longues, le fond. Les deux derniers type sont les courses d'obstacles et la marche athlétique.
La première épreuve disputée aux Jeux de l'Antiquité était la course de stade, course de vitesse sur environ 192 mètres. On en connaît les vainqueurs jusqu'en 776 av. J-C.
Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.
Être propre en toute circonstance. Pendant la course ça arrive à tous d'avoir besoin de cracher, de vomir, d'uriner, de se moucher, etc. alors assurez-vous de ne pas en « envoyer » sur tout le monde autour de vous.
Courir est bon pour la santé.
Les études le montrent, le sport et donc la course à pied préservent la santé. Une activité physique régulière permet d'entretenir l'appareil locomoteur (muscles, os) et de prévenir les risques de diabète, de cholestérol, d'hypertension ou encore d'accident cardio-vasculaire.
La course à pied sur de moyennes et longues distances est associée à une perte de poids, à des améliorations au niveau du profil lipidique et de la pression sanguine ainsi qu'à un remodelage cardiaque(1-3). Elle améliore par ailleurs le système immunitaire, la détente et augmente la masse osseuse.
D'un point de vue physiologique, les études définissent le meilleur moment pour courir entre 15 h et 17 h. Mais votre meilleur moment pour courir est celui durant lequel vous ne subirez pas votre séance.
L'élève court vite sans ralentir jusqu'au but à atteindre : rattraper, ne pas se faire rattraper, atteindre un maximum de plots sur une durée courte, passer la ligne d'arrivée ou réaliser une distance dans le temps le plus bref.
La vitesse gestuelle (Zatiorsky) ou vitesse de mouvement unique (Korobkov) ou vitesse d'un mouvement isolé (Pradet) ; La fréquence gestuelle (Zatiorsky/Pradet) ou fréquence de mouvement (Korobkov) qui est exprimée sous le terme vélocité dans les sports cycliques et enchaînements de tâches dans les sports complexes.
Pour calculer une vitesse en mètre/seconde, la distance en mètres est divisée par le temps en secondes. Si tu veux convertir une vitesse en m/s en km/h, il suffit de multiplier la vitesse en m/s par 3,6 car 1 heure = 3600 secondes et 1 kilomètre = 1000 mètres.
Action de courir, de se déplacer plus vite que la marche. Compétition où le vainqueur est celui qui a été le plus rapide. Exemple : Une course à pied, une course de formule 1, une course de chevaux. Mouvement, actions pour atteindre un objectif.
une coureuse (féminin de coureur), personne pratiquant la course.
La vitesse de course s'exprime en kilomètres par heure (km/h), elle correspond à la distance que vous pourriez parcourir en une heure en maintenant votre rythme de course. Alors que l'allure correspond au temps nécessaire pour parcourir un kilomètre, elle s'exprime donc en minutes par kilomètre (min/km).
L'endurance est la capacité de maintenir, dans la durée, un effort d'intensité soutenue. Des activités comme le cyclisme, la natation, les courses de fond, le ski de fond, lorsqu'ils sont effectués dans la durée, constituent des activités d'endurance.