Évolution convergente en biologie. En biologie de l'évolution, la convergence ou homoplasie est la présence chez deux espèces de caractères analogues, d'une même adaptation, mais qui n'a pas été hérité d'un ancêtre commun. Elle résulte de deux évolutions indépendantes dans un même type d'environnement.
L'homoplasie est la similitude d'un état de caractère chez différents taxons qui, contrairement à l'homologie, ne provient pas d'un ancêtre commun. Il existe différents types d'homoplasie : la convergence, le parallélisme et la réversion.
En biologie, l'homologie désigne un caractère propre à plusieurs espèces hérité d'un ancêtre commun. Les structures en question, qu'elles soient d'ordre anatomique, moléculaire ou génétique, partagent donc une histoire évolutive.
Dans l'ordre de la procédure, l'homologie structurale est dite homologie primaire ; c'est la première que l'on détecte et elle constitue une sorte de pari initial qui sera sanctionné par l'arbre le plus parcimonieux. L'homologie de filiation est dite homologie secondaire car elle constitue le résultat de l'analyse.
Mais ils ne sont pas tout à fait synonymes : analogue exprime une ressemblance approximative, homologue traduit une relation de correspondance d'un ensemble à un autre, et identique rend l'idée d'une similitude exacte.
L'homologie structurale désigne donc ici une réplication de l'espace positionnel dans l'espace des prises de position, réplication par « réfraction », c'est-à-dire par la médiation des dispositions et du point de vue qu'elles offrent sur l'espace des prises de positions, ou dit autrement encore, par la médiation de l' ...
Autrefois, les vivants étaient classés en 2 catégories : les animaux et les végétaux. Aujourd'hui, cette classification a évolué et on distingue maintenant 5 catégories appelées règnes.
Ces deux chromosomes sont dits homologues puisqu'ils se ressemblent énormément : ils font la même taille et possèdent les mêmes gènes aux exactes mêmes positions (aux mêmes loci).
Deux chromosomes homologues (d'une même paire) portent les mêmes gènes (avec quelques variations de séquence). Des chromosomes différents (non homologues) portent des gènes différents.
En biologie, un caractère est un élément observable possédé par un ou plusieurs êtres vivants, par exemple les plumes, les yeux, les pattes, le bec, etc.
En plus du brassage génétique engendré par la reproduction sexuée, les mutations génétiques ont une influence sur la diversité génétique d'une espèce. En effet, les mutations impliquent des variations dans l'ADN des descendants, ce qui favorise aussi la diversité génétique.
Elle va transformer un allèle en un autre, nouveau ou déjà présent dans la population. Le rôle de la mutation dans l'évolution est primordial, car c'est la seule source de gènes nouveaux.
Nature des mutations. Il est possible de distinguer 3 grandes classes de mutations : les substitutions nucléotidiques, les insertions/délétions de quelques nucléotides et les remaniements géniques de grande taille.
Modification, ou altération, permanente d'un gène. Les mutations génétiques peuvent être héréditaires ou acquises au cours de la vie d'une personne. ), les instructions qu'il donne à la cellule peuvent empêcher celle-ci d'agir correctement.
Les gènes qui présentent des mutations liées au cancer sont parfois appelés gènes du cancer. Les mutations génétiques se produisent dans les cas suivants : Nous naissons avec un gène qui a muté parce que soit nous en avons hérité d'un de nos parents, soit la mutation est apparue dans l'embryon.
Les deux prédispositions génétiques les plus fréquentes au cancer sont : le syndrome seins-ovaires. le syndrome de Lynch (cancer colorectal)
Le mésothéliome pleural (cancer de l'amiante) est le plus souvent mortel.
Le cancer du pancréas est le 2e cancer digestif le plus fréquent. D'un pronostic sombre, il est souvent diagnostiqué à un stade inopérable et est donc extrêmement difficile à soigner dans 90 % des cas.
Des études récentes démontrent que des mutations spontanées apparaissent dans nos cellules tout au long de notre vie et que celles-ci s'accumulent avec l'âge. La plupart sont sans conséquence (neutres) mais certaines peuvent entraîner des modifications du comportement cellulaire.
Les mutations surviennent à cause d'erreurs dans la séquence d'ADN. Ces mutations peuvent être spontanées ou induites par des agents mutagènes. Il existe trois types de mutations ponctuelles (qui n'affectent qu'un nucléotide).
Après analyse de l'arbre généalogique, un test génétique pourrait vous être proposé. Le cas échéant, ce test sera effectué dans le laboratoire de génétique de l'Institut Curie et recherchera si une altération est présente dans l'un des gènes connus pour prédisposer au cancer.
Les tests génétiques moléculaires permettent de détecter des changements ou des mutations dans les gènes.
Allèle dominant et allèle récessif
Pour certains gènes, une copie peut prendre le dessus sur l'autre, c'est ce que l'on appelle un allèle dominant. C'est le cas du gène qui détermine la couleur des yeux, où l'allèle « marron » est plus fort que l'allèle « bleu », considéré comme récessif.
Certaines mutations sont dites « non-sens ». Quelles sont les deux conséquences que ces mutations peuvent induire ? Elles ont pour effet la synthèse d'une protéine dysfonctionnelle parce que trop longue. Elles ont pour effet la synthèse d'une protéine dysfonctionnelle parce que trop courte.
Les mutations induites se produisent lorsque l'ADN est exposé à un agent qui provoque des mutations. Ils sont appelés mutagènes. Ces mutagènes provoquent des mutations à un rythme supérieur au rythme normal des mutations spontanées.