Les lésions malpighiennes intraépithéliales de bas grade sont des lésions précancéreuses du col de l'utérus. Elles régressent le plus souvent spontanément mais peuvent parfois évoluer vers un cancer invasif. Un dépistage régulier de ces lésions par frottis du col de l'utérus est nécessaire.
Une « lésion de bas grade » ou « CIN 1 » (néoplasie cervicale intra épithéliale de grade 1) ou « LSIL » (low-grade squamous intraepithelial lesions) ou « lésion malpighienne intra épithéliale de bas grade » est une transformation des cellules du 1/3 le plus superficiel du tissu recouvrant le col de l'utérus.
La CIN 3 est également une lésion de haut grade. Cet état correspond à un état précancéreux du col de l'utérus. Il s'agit de la dysplasie la plus sévère qui exige une prise en charge rapide. En l'absence de traitement adéquat, ces lésions peuvent évoluer vers un cancer dans les années qui suivent.
Dans la majorité des cas, il s'agit de lésions précancéreuses." En cas de lésions précancéreuses : Dans ce cas, le traitement consiste en une conisation du col de l'utérus. "Cela consiste à retirer sous anesthésie locale ou générale un cone du col incluant la zone malade" explique la gynécologue.
Un état pré-cancéreux est la forme que prend un tissu, organe ou partie d'organe, où est susceptible de se développer un cancer propre à ce tissu ou cet organe. Il peut se reconnaître par une lésion, dite précancéreuse.
Les lésions malpighiennes intraépithéliales de bas grade sont des lésions précancéreuses du col de l'utérus. Elles régressent le plus souvent spontanément mais peuvent parfois évoluer vers un cancer invasif. Un dépistage régulier de ces lésions par frottis du col de l'utérus est nécessaire.
Ainsi, dans le cadre d'une lésion cutanée liée à une allergie de contact, il sera demandé de cesser l'exposition à l'allergène et on prescrira généralement des crèmes à base de corticoïdes. "En cas de tumeur cutanée, une exérèse plus ou moins large de la lésion sera peut-être nécessaire" conclut le radiologue.
Une dysplasie ou lésion intra-épithéliale du col de l'utérus n'est pas un cancer mais une lésion qui peut évoluer pour devenir cancéreuse. Elle correspond à une modification des cellules de l'épithélium du col de l'utérus causée par une infection par un papillomavirus humain (HPV).
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
Quels sont les signes d'une infection à HPV ? Le plus souvent, l'infection à HPV est asymptomatique et disparaît spontanément grâce à notre système immunitaire. Dans environ 90 % des cas, le virus HPV aura disparu dans les 2 ans.
"Oui le papillomavirus peut se transmettre lors des rapports. Le papillomavirus est très contagieux. Donc si une femme a toujours son papillomavirus, il faut se protéger lors des rapports. Et le seul moyen de se protéger est de mettre un préservatif pour qu'il n'y ait pas de contact directement de peau à peau.
Il n'existe aucun médicament qui guérit le VPH, mais on peut se faire vacciner contre certaines souches du virus. L'usage régulier de condoms peut réduire, mais non éliminer le risque de contracter ou de transmettre le VPH lors des relations sexuelles.
La conisation consiste à enlever chirurgicalement une portion du col utérin. Elle est réalisée le plus souvent devant l'existence d'anomalies du col appelées "dysplasie". En l'absence de traitement, ces lésions peuvent évoluer, après plusieurs années, vers un véritable cancer du col de l'utérus.
Symptômes du papillomavirus
La contamination par le HPV est dans la majorité des cas asymptomatique. Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
Le cancer du col de l'utérus peut apparaître à tout âge, à partir de 25-30 ans avec un pic d'incidence entre 20 et 40 ans, l'âge médian de découverte est de 53 ans.
Le frottis du col de l'utérus permet de prélever superficiellement des cellules pour les analyser au microscope et/ou de réaliser un test HPV-HR. Cet examen dépiste un éventuel cancer du col de l'utérus.
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
Peut-on traiter le VPH? Bien qu'une infection à VPH ne se guérisse pas, les verrues, les lésions et les changements précancéreux ou cancéreux causés par le virus se gèrent ou se traitent. Aucun traitement ne permet de garantir que l'organisme est débarrassé de l'infection à VPH.
Examen non douloureux, une biopsie du col de l'utérus peut être réalisée le cadre du dépistage du cancer du col de l'utérus. Elle permet d'analyser les éventuelles anomalies au niveau des cellules de la muqueuse du col utérin. Les résultats de l'examen aident le médecin à adapter la prise en charge et le traitement.
Chances de guérison et cancer du col de l'utérus
Les taux de guérison sont élevés mais dépendent du stade. Lorsque le cancer du col de l'utérus est : microscopique (micro-invasif), il est proche de 100 % limité au seul col utérin, 80 à 85 % des malades peuvent être guéries.
Une lésion cérébrale se manifeste souvent par des handicaps physiques: les personnes touchées ne peuvent plus marcher ni parler correctement, ou encore elles présentent une hémiplégie. Cependant, les conséquences vont beaucoup plus loin: elles touchent aussi le comportement, l'intellect et la personnalité.
Les lésions cutanées suspectes
À première vue, ces lésions ne peuvent être catégorisées comme bénignes ou malignes. Dans cette situation, une biopsie chirurgicale permet d'envoyer un échantillon de tissus en laboratoire d'anatomopathologie afin de l'analyser et de poser le diagnostic.
La nature de la lésion décrit les conséquences physiques pour la victime (fracture, luxation, coupure...)