Existentia en latin, le terme existence désigne communément l'ensemble des évènements d'une vie humaine. Pensée au titre de la philosophie, la notion d'existence s'entend du fait de se trouver là concrètement. Il s'agit d'un surgissement de l'homme dans le monde (par opposition à l'essence).
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
L'existence désigne le fait d'être, indépendamment de toute connaissance possible. Elle se distingue de l'essence, qui définit ce qu'une chose est, et du néant, qui, par définition, n'a pas de réalité.
Le sens réside ainsi dans les significations qui portent la vie, en commençant par l'amour reçu et donné, dans l'espoir d'un sens au-devant de la vie, mais il réside tout autant dans une certaine sensibilité que l'on peut développer pour la vie elle-même, surtout en fin de vie.
L'intéressant à vivre est l'importance d'exister. Cela explique, de manière anecdotique, que pour être intéressant il faut d'abord porter en soi l'émotion qui fait trouver la vie intéressante. Et à l'inverse, n'être pas intéressant c'est s'intéresser à ce qui ne l'est pas vraiment.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
On pourrait dire que « vivre » consiste à dérouler un programme ; exister, en revanche, consiste à se faire être. Si on regarde les différents règnes : Le minéral est sans vie, il n'a pas d'autonomie, il ne se reproduit pas, il n'a pas en lui-même la capacité de transformation.
Le but de la vie, c'est d'apprendre à être sage, joyeux et fort ; tout cela en même temps et sans compromettre ou sacrifier l'un des éléments.
Pourquoi existons-nous ? Parce qu'il y a une atmosphère avec de l'air et de l'eau et que nous ne sommes ni trop près, ni trop loin du soleil. Il y a juste la bonne température sur la Terre. Parce qu'il y a la gravité (un monde sans gravité, ça doit être bien).
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
L'apprentissage de la Sagesse doit inclure la compréhension de ce qu'on appelle Les Trois Caractéristiques de l'Existence. En Pali elles sont : anicca, dukkha et anatta.
1. Fait de vivre. Synonyme : destin, destinée, sort, vie.
Le solipsisme (du latin solus, « seul » et ipse, « soi-même ») est une théorie philosophique et métaphysique selon laquelle la seule chose dont l'existence est certaine est le sujet pensant. Forme extrême d'idéalisme, le solipsisme soutient qu'aucune autre réalité n'est certaine que celle du sujet qui pense.
La mort n'a pas de sens. Elle met fin à une vie. C'est la commune destinée de chaque individu. Il n'y a que la vie qui peut avoir un sens.
1. Identifier ce qui compte pour soi. Trouver du sens dans la vie passe par l'utilisation de compétences pour œuvrer à l'avancement du monde, d'une manière qui compte pour soi. Pour mettre à jour votre but, il faut donc déjà commencer par identifier les causes et les valeurs qui sont importantes pour vous.
Kant, de son côté, met en lieu et place de Dieu, l'homme au centre de la philosophie parce que seule la réalisation de son humanité, de sa dignité, donne sens au monde. Pour Kant comme pour Rousseau refusant l'idée de péché originel, l'homme naît bon c'est la vie en société qui le pervertit.
BIEN-VIVRE, subst. masc. (Goût, art d'une) vie correctement, sagement réglée ou facilement, plaisamment menée, etc.
Ensemble des événements et des activités qui constituent le cadre et le contenu d'une existence, sur le plan individuel ou collectif. Ensemble des éléments qui donnent de la valeur à l'existence humaine.
Le philosophe exprime ici l'idée que ce qui donne du sens à la vie d'un être humain, c'est d'agir pour défendre ce qu'il croit bon, jusqu'à en mourir s'il l'estime nécessaire. Il ne s'agit donc pas simplement de vivre, mais de vivre “bien”, c'est-à-dire par et pour des valeurs.
exister v.i. Avoir la vie, vivre. exister v. impers.
Cela fait que la vie humaine ne se réduit pas à sa dimension purement biologique, la vie humaine «se définit non par la seule circulation du sang et par les autres fonctions communes à tous les animaux, mais avant toute chose par la raison, véritable vertu de l'âme, et sa vraie vie».
Il y a vivre au sens propre, respirer, s'alimenter. Mais on peut dire que la vie ne se limite pas au fait d'exister sur terre physiquement pour l'homme vivre c'est aussi pensée. Les faits est que s'est deux manières de vivre sont juste et que l'une sans l'autre ne peuvent exister.
La vie nous donne les amis et les ennemis qu'on mérite. Le sens de la vie c'est apprendre toujours, apprendre et transmettre parce que transmettre c'est donner, donner c'est aider, aider c'est avancer, avancer c'est grandir.