Littéraire. Outrance dans le comportement inspirée par l'orgueil ; démesure : Journalistes se défiant de l'hubris. 2. Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
Chez les Grecs anciens, démesure, orgueil inacceptable de la part d'un mortel. Toute prétention à une supériorité insolente parmi les hommes doit donc entraîner une punition cruelle de la part des dieux immortels. L'hubris est le thème principal de la tragédie.
Elle désigne un comportement ou un sentiment violent inspiré par des passions, particulièrement l'orgueil et l'arrogance, mais aussi l'excès de pouvoir et de ce vertige qu'engendre un succès trop continu. Les Grecs lui opposaient la tempérance et la modération, qui est d'abord connaissance de soi et de ses limites.
Le mot hubris désigne la conduite d'une personne qui agit avec démesure, avec intempérance. Par orgueil, par confiance excessive en soi ou grisée par le pouvoir, une personne faisant preuve d'hubris finit par perdre le fil et risque de prendre de mauvaises décisions qui pourraient être fatales.
Némésis (en grec ancien Νέμεσις / Némesis) est à la fois un concept et une déesse de la mythologie grecque : celle de la juste colère (des dieux) et du châtiment céleste. Elle est parfois assimilée à la vengeance et à l'équilibre.
Sekhmet la puissante est une déesse de la mythologie égyptienne. Elle est représentée par une femme à tête de lionne portant d'abord l'uræus, puis, par la suite, le disque solaire ; de sa gueule de lionne sortent les vents du désert.
Qui a un penchant excessif pour les plaisirs charnels, la luxure.
Dans la Grèce antique, l'hybris était considérée comme un crime. Elle recouvrait des violations comme les voies de fait, les agressions sexuelles et le vol de propriété publique ou sacrée. Dans la mythologie grecque, Hybris est une divinité allégorique personnifiant l'hybris.
Kairos est le dieu de l'occasion opportune, du right time, par opposition à Chronos qui est le dieu du time. Il est souvent représenté comme un jeune homme ayant une épaisse touffe de cheveux à l'avant d'une tête chauve à l'arrière; il s'agissait de le "saisir par les cheveux" lorsqu'il passait... toujours vite.
Hybris ou Hubris
Je comprends l'importance de garder l'origine grecque du mot dans son orthographe, mais malheureusement, la prononciation en est bien "ubris", donc c'est un non-sens de l'écrire "hybris" et d'espérer ainsi que la prononciation en revienne à une prononciation du style "hypermarché".
Prométhée décide de voler le feu sacré à Zeus pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce. La vengeance de Zeus sera terrible. Prométhée sera condamné à être enchaîné à un rocher et de se voir dévorer chaque jour le foie par un aigle.
1. Chef du chœur, dans le théâtre grec. 2. Deuxième échelon dans la hiérarchie du corps de ballet de l'Opéra.
Tantale, fils de Zeus, était, suite à une punition de son père, condamné à supporter la faim et la soif pour l'éternité. En effet, lorsqu'il s'approchait d'un fruit ou d'une source, le premier se transformait en pierre, quant à la seconde, elle disparaissait.
Pour avoir osé défier les dieux, Sisyphe fut condamné, dans le Tartare, à faire rouler éternellement jusqu'en haut d'une colline un rocher qui en redescendait chaque fois avant de parvenir au sommet (Odyssée, chant XI). Ce mythe n'est pas exclusif des traditions gréco-romaines.
A la différence d'Ixion, Sisyphe n'évoque pas un crime précis, mais plutôt un comportement impie. Quant à Tantale, roi de Phrygie ou de Lydie, il était le favori des dieux qui l'admettaient à leur table. Son crime semble être le parjure, qui lui aurait valu la colère de Zeus.
1. Qui manque de zèle, d'ardeur, d'énergie : Élève nonchalant. 2. Qui manque de vivacité, dont les gestes sont lents et vagues : Allure nonchalante.
Qui incite à la sensualité : Une danse lascive.
B. − [En parlant de propos écrits ou oraux, de comportements] Qui fait étalage de lubricité, d'obscénité. Synon. licencieux, obscène.
D'Éros à Cupidon
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Gaïa chez les Grecs
Littéralement, “qui donne la vie”, Gaïa – connue aussi sous le nom de Gê – était la Déesse primordiale dans la mythologie grecque. On dit d'elle qu'elle est la personnification de la Terre et, en tant que telle, source de création… Comme de destruction.
Lors du jugement de Pâris où celui-ci doit désigner la plus belle des trois déesses, Héra, Athéna ou Aphrodite, c'est elle qui offre à Pâris comme récompense, s'il la désigne, la main d'Hélène. Aphrodite est ainsi pour une part à l'origine de la guerre de Troie où elle protégera les troyens.
Hel est la déesse des morts dans la mythologie nordique. Elle est la fille de Loki et d'Angrboda, sœur de Fenrir et de Jörmungand.