Stade II : indique une tumeur de plus de 2 cm ou qui s'est étendue jusqu'aux ganglions. Stade III : corresponds à un cancer localement avancé. Dans ce cas, la tumeur dépasse 5 cm et les cellules cancéreuses ont atteint plus de 4 ganglions. Stade IV : désigne un cancer métastatique et avancé.
Stade 2A. La tumeur mesure 20 mm ou moins ou bien on ne détecte aucune tumeur dans le sein. On observe des cellules cancéreuses dans 1 à 3 ganglions lymphatiques de l'aisselle (ganglions axillaires) ou dans des ganglions lymphatiques du thorax, autour du sternum (ganglions mammaires internes) ou dans ces deux régions.
Quand les médecins décrivent le stade, ils peuvent employer les mots local, localisé, régional, localement avancé, à distance (distant), avancé ou métastatique. Local et localisé signifient que le cancer se trouve seulement dans l'organe où il a pris naissance et qu'il ne s'est pas propagé à d'autres parties du corps.
S'il la tumeur est cancéreuse et si elle n'est pas traitée (à ce stade, la chirurgie est le traitement principal), elle va évoluer plus ou moins rapidement en fonction de son type et de son grade (agressivité), toutefois, pour un cancer de stade 1 l'espérance/chance de survie est de 100%, si il est traité bien entendu.
L'espérance de vie du cancer de l'endomètre stade 3 dépend de plusieurs éléments, et notamment du type et du sous-stade de la maladie. Habituellement, plus le cancer est détecté à un stade précoce, plus les chances de guérison sont élevées.
On propose habituellement une chimiothérapie après la chirurgie d'un cancer du sein de stade 2. On peut l'administrer avant la chirurgie (traitement néoadjuvant) si : la tumeur mesure plus de 5 cm; le cancer s'est propagé aux ganglions lymphatiques situés à l'aisselle et autour du sternum.
Comment guérir d'un cancer stade 4 ? La guérison totale d'un cancer de stade 4 est possible mais peu probable. Le protocole de soins et les traitements choisis visent généralement à ralentir la progression de la maladie et soulager les symptômes.
Quel est le cancer le plus dur à soigner ? L'adénocarcinome est, en effet, un cancer difficile à soigner s'il n'est pas détecté ni traité à temps. Les cancers du poumon, du pancréas, de l'œsophage, du foie... sont souvent considérés de mauvais pronostic.
Parmi les cancers considérés comme se soignant « bien » on retrouve ceux du sein, de la prostate, colorectal, de la thyroïde et de la peau.
La rémission totale
Les bilans consistent en une prise sang, une radiographie ou un scanner. Lorsque les résultats n'affichent aucune trace de la tumeur, la rémission est complète. Toutes les cellules responsables du cancer ont été éliminées. Il n'y a plus aucun risque de récidive.
Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer. Même si les hommes sont plus susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du poumon que les femmes, les taux chez les hommes sont à la baisse. Le cancer du sein est le cancer le plus souvent diagnostiqué chez les femmes.
Le cancer du sein est dit de stade 3 lorsque la maladie est localement avancée, sans condition de taille particulière. Cela signifie que le cancer a envahi les régions proches de son siège.
Stade III : corresponds à un cancer localement avancé. Dans ce cas, la tumeur dépasse 5 cm et les cellules cancéreuses ont atteint plus de 4 ganglions. Stade IV : désigne un cancer métastatique et avancé. Ce stade le plus élevé implique la propagation de cellules cancéreuses au niveau d'autres organes.
Le cancer du sein hormonodépendant
C'est le type de cancer du sein le plus fréquent, il en représente environ 80% de l'ensemble des cancers du sein et a le meilleur pronostic. Le traitement comportera un temps chirurgical qui pourra être suivi d'une chimiothérapie et /ou d'une radiothérapie et d'une hormonothérapie.
Amas de cellules non cancéreuses. Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
Le passage d'une cellule cancéreuse à une tumeur prend beaucoup de temps : plusieurs années. Ainsi, on sait qu'un cancer dépisté aujourd'hui correspond à un développement de cellules cancéreuses qui s'est étalé, de façon invisible, sur plusieurs années.
Les Etats-unis sont le pays où la survie est la plus élevée (pour la plupart des cancers), puis on trouve le Canada, l'Australie, et la Nouvelle-Zélande. En Europe, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède obtiennent les meilleurs scores.
Par définition, un cancer incurable est une maladie maligne pour laquelle l'objectif des soins ne peut être la guérison.
Pour certaines formes de cancer, les malades peuvent vivre plusieurs années.
À l'heure actuelle, plus d'une personne touchée par le cancer sur deux en guérit ; avec l'avancée constante de la recherche au niveau du diagnostic et de la personnalisation des traitements, rémission et guérison concernent donc aujourd'hui de plus en plus de malades.
Ce chiffre signifie qu'environ 64 % des personnes devraient survivre au moins 5 ans après leur diagnostic de cancer. C'est une hausse comparativement au début des années 1990, alors que le pourcentage était de 55 %. Dans les années 1940, la survie était d'environ 25 %.
L'après-cancer comprend généralement une étape de transition : les visites à l'hôpital s'estompent, il n'y a plus de rendez-vous, ni de contacts avec l'équipe de soin. La personne peut se sentir désœuvrée après ces mois passés centrée sur sa maladie et doit se réinventer pour retrouver une place dans la société.
Les cancers du sein à un stade précoce d'évolution au moment du diagnostic (cancers in situ ou peu étendus) présentent un taux de survie de plus de 90%. Les cancers plus évolués, mais sans métastases, présentent un taux de survie de 80%. En cas de cancers métastatiques, le taux de survie descend à 25%.