Le journaliste indépendant — aussi appelé « journaliste freelance » — est rémunéré pour chaque article qu'il rédige ou chaque reportage qu'il produit. Il possède une carte de presse et fait généralement partie d'une association de journalistes.
Quel statut juridique pour le journaliste freelance ? En France, la Convention Collective Nationale de Travail des Journalistes (CCNTJ) protège les journalistes indépendants en leur attribuant le statut de salarié.
Le pigiste est un journaliste qui travaille « à la pige ». Cela veut dire qu'il est rémunéré à l'article, au reportage ou à la photo. C'est le plus souvent un journaliste débutant. Il n'est pas salarié d'un organe de presse particulier.
Titulaires du baccalauréat, les pigistes sont également issus d'une formation en journalisme (ou communication) dans une université ou dans une école spécialisée (des écoles de journalisme, des écoles communication, etc. ). Généralement, il est nécessaire d'être détenteur d'un bac+5 en journalisme.
Si vous souhaitez obtenir la carte de presse, il faudra adresser votre demande auprès de la Commission de la Carte d'Identité des Journalistes Professionnels (CCIJP). Composée de membres issus de la profession, cette commission se charge de délivrer, renouveler ou annuler ce précieux sésame.
La presse n'est pas une activité réglementée, il n'y a pas non plus besoin d'avoir une carte de presse pour créer un magazine en ligne ou papier. Si vous n'avez aucune expérience, une formation peut être utile pour faire vos armes avant de vous lancer dans une création d'entreprise.
En moyenne, le salaire journaliste oscille entre 900 € et 5 000 € bruts par mois. Cette fourchette peut te paraître très large et c'est tout à fait normal. Car comme dans toute profession, il est tout à fait possible d'évoluer professionnellement en tant que journaliste.
3 ans pour préparer le BUT information-communication, parcours journalisme ; une licence pro métiers de l'information : métiers du journalisme et de la presse, ou un diplôme d'école spécialisée ; 5 ans pour obtenir un master en journalisme, à l'université ou dans une école spécialisée reconnue (Celsa, CFJ, IFP…).
Il n'est pas obligatoire d'avoir un diplôme pour exercer en tant que journaliste, pigiste ou rédacteur freelance. L'absence de diplôme n'est pas non plus un obstacle pour obtenir la carte de presse. Suivre une formation en journalisme peut toutefois constituer un atout majeur dans un secteur d'activité plutôt saturé.
La profession de journaliste est encadrée en France, via la délivrance d'une carte de presse. En revanche, il n'est pas obligatoire d'en posséder une pour devenir pigiste. La Convention collective nationale des journalistes reconnaît 14 établissements en mesure de délivrer une formation reconnue pour devenir pigiste.
Il est compris entre 1400 et 1800 € bruts par mois. Il est important de souligner que l'ancienneté dans le métier ou encore la qualité des piges peuvent fortement influencer le niveau de rémunération. Comme indiqué précédemment, le pigiste est rémunéré à la tâche. Chaque pige lui rapportera donc un certain montant.
« Quelle que soit l'épreuve, efforcez-vous de rédiger dans un style vif, avec des mots simples, courts et concrets. Soyez précis et bannissez les formules alambiquées, les stéréotypes, les termes inutiles » précise ainsi le CFJ. Dans les épreuves créatives, vous pourrez vous permettre d'être plus original.
Sinon, pour devenir journaliste pour sa reconversion, il est possible d'obtenir le DUT information communication option journalisme ou la licence professionnelle métiers de l'information métiers du journalisme et de la presse. Certaines de ces formations sont inscrites au RNCP et sont donc éligibles au CPF.
Être passionné par la rédaction (et être capable de rédiger des textes accrocheurs) Avoir de bonnes connaissances en SEO et maîtriser l'écriture pour le web (faire des formations si besoin) Se spécialiser dans une ou plusieurs thématiques demandées. Se déclarer comme rédacteur web indépendant en créant son entreprise.
La carte de presse internationale est délivrée par la Fédération Internationale des Journalistes et peut être obtenue par tout journaliste (stagiaire, professionnel ou périodique) membre de l'AJP/AGJPB (càd en ordre de cotisation). La carte FIJ coûte 75€ et est valable 2 ans.
Car pour devenir journaliste, il y a une première étape à passer, c'est celle de l'école de journalisme. Alors c'est pas que ce soit très difficile, il suffit de maîtriser le français, l'anglais tant bien que mal, avoir une petite dose de culture générale et ne pas être trop maladroit de la plume.
Autant de catégories qui réclament un certain nombre de qualités : curiosité, rigueur, réactivité, adaptation, écoute. À cela s'ajoutent un esprit de synthèse, une culture générale solide, un bon niveau de langue française, ainsi que le sens du contact.
S'enrichir intellectuellement au quotidien est un des avantages dont on peut profiter en étant journaliste. Lorsqu'on se lance dans ce métier, on ne cesse de faire des découvertes et d'apprendre davantage sur notre monde. Pour informer le grand public, il faut avant tout s'instruire et comprendre les faits.
Chaque jour, le journaliste apprend quelque cose de nouveau. Ce n'est jamais la même chose. Le journaliste bouge beaucoup. Les inconvénients: Le seul inconvénient est l'élasticité horaires, le métier de journaliste exige une disponibilité presque totale.
Les professionnels du métier ont créé un syndicat, le SNJ, Syndicat national des Journalistes, qui veille à l'application des droits, des conditions de travail et de rémunération.
Avec 50 000 € par mois, Laurence Ferrari arrive à la première place du classement des personnalités les mieux payées du paysage audiovisuel français, révèle le magazine Télé 2 semaines.
L'Ecole de journalisme de Sciences Po est sur la première marche du podium selon le classement des écoles de journalisme établi par Le Figaro Etudiant. Pour établir le classement, Le Figaro Etudiant a établi plusieurs critères : le nombre de prix, bourses et concours obtenus par les étudiants.