La personnalité de l'élève
Le caractère de l'élève joue un rôle important dans les décisions et les comportements des élèves dans leur apprentissage. Par exemple, l'introversion et la timidité sont parfois à l'origine de ce refus. Ces élèves sont alors plus susceptibles de rester silencieux dans vos classes.
Lorsqu'un enfant est surprotégé, sa timidité peut parfois être accompagnée de passivité et d'une grande dépendance à l'égard de l'adulte. Par exemple, l'enfant ne fait rien sans son parent, soit parce qu'il a peur de lui déplaire, soit parce que l'adulte lui a transmis ses propres peurs.
Il faut lui parler et l'écouter, sans le culpabiliser. Retrouver du plaisir. Et si cela persiste, n'hésitez pas à consulter un pédopsychiatre ou un psychologue scolaire pour faire le point et comprendre ce qui se passe, avant de se lancer dans des bilans.
Prendre le temps de l'écouter, et de faire des activités en groupe qui lui correspondent. Un enfant timide a besoin d'être écouté, et surtout qu'on évite de le brusquer. Intéressez-vous à lui, discutez avec lui, et, selon ses centres d'intérêt, proposez-lui de faire en petit groupe des activités qui lui plaisent.
Ces enfants démontrent leur ennui sous différentes formes : ont tendance à tourner en rond, à vous suivre pas à pas, à déranger les autres... Il faut tenir compte que ce comportement fait partie de la façon d'être de l'enfant, de sa personnalité, de son tempérament.
Prends du recul sur ta pratique et sur la dynamique du groupe que tu gères. Ne pas prendre les choses personnellement ne veut pas dire que tu n'as pas la responsabilité de chercher ce que tu peux faire dans ta zone d'action. Tu peux essayer d'alléger quelque chose en lui grâce à ta présence et ton écoute.
Il se peut même qu'un élève qui ne semble pas motivé éprouve en fait des difficultés à apprendre et ait besoin d'une attention particulière. Bien que la motivation scolaire puisse être une tâche difficile à accomplir pour l'enseignant, les récompenses en valent largement la peine.
Certains enfants, en opposition au maître, refusent de lui faire plaisir, ne travaillent donc pas. D'autres trouvent trop difficiles les consignes passées et s'enferment dans du refus.
Quelques conseils pour inciter son enfant à s'exprimer en public. Travailler sa confiance en soi : c'est la clef. Si on s'aime, on aura moins de difficultés à se mettre en avant devant les autres. Oser : quand on demande qui veut prendre la parole, lui dire qu'il faut lever la main.
1- Les élèves sont motivés s'ils se sentent capables de réaliser la tâche. Les élèves qui estiment avoir les qualités nécessaires pour réaliser la tâche demandée vont se lancer plus facilement dans l'activité, vont persévérer et ne pas craindre la difficulté.
L'interaction et les relations positives avec les pairs sont primordiales pour favoriser le sentiment d'appartenance de l'élève. En effet, les élèves rapportent un engagement plus élevé lorsqu'ils sentent qu'ils font partie d'un groupe et qu'ils ont des relations de qualité avec des pairs engagés.
Un point essentiel à travailler avec les élèves est « apprendre à apprendre ». Un encart « Dans la classe » montre quel bon emploi on peut faire des élèves qui travaillent vite et bien. Il est en tout cas essentiel de varier les formes d'apprentissage en valorisant d'autres formes de savoirs.
Le cas des jeux vidéo est un bon exemple à étudier de près
Ce type d'activité permet donc de stimuler la motivation de l'enfant et ainsi d'augmenter sa capacité d'attention. Les jeux vidéos peuvent donc être une source de motivation et de stimulation pour les enfants à condition de les utiliser avec modération.
Une aire de rassemblement, un lieu fixe pour le repas et la sieste, font partie des éléments de l'apprentissage actif. Un lieu où le parent peut accueillir son enfant après une journée de travail et échanger avec la responsable peut être un moyen pour faciliter la création de liens avec la famille.
Utiliser "de la douceur et de la souplesse". Parfois, il suffit pour une personne "d'entendre sa valeur ajoutée pour y croire vraiment". Formatrice, Anne Mangin estime ainsi essentiel, avant tout, de "miser sur le lien". Favoriser des relations équilibrées.
Pour Antoine Pelissolo, la meilleure manière de faire face à la timidité est de prendre l'habitude, de s'entraîner, de maîtriser la chose. Le théâtre peut aider, car souvent on joue un rôle. Le métier, quel qu'il soit, peut être également une bonne manière de vaincre sa timidité.
Cela est tout à fait normal et change au fur et à mesure des expériences sociales que l'enfant vivra. Au sein d'une même famille, l'un se montrera très à l'aise pour oser s'exprimer quand le second aura plus de réticence à parler avec les autres. Ces différences sont normales et s'observent chez tous les enfants.
Parlez avec votre enfant, lisez-lui des histoires, laissez-le explorer l'endroit où il vit et donnez-lui du matériel varié pour jouer. Cela l'aidera à développer son raisonnement. De bonnes capacités de raisonnement aideront l'enfant à mieux comprendre les situations et à avoir de meilleures relations avec les autres.
Il existe plusieurs raisons pour expliquer les pleurs quotidiens d'un enfant à l'école. Votre enfant éprouve des difficultés à se séparer de ses parents. Chez un enfant, le lien d'attachement se construit bien avant son entrée à l'école. Se séparer de vous peut s'avérer compliqué pour lui.
Il est important de rester attentif à quelques symptômes récurrents de la maladie mais nouveaux chez l'enfant: difficultés scolaires inexpliquées, irritabilité, moins de motivation pour des activités qui auparavant l'intéressaient, dévalorisation, sommeil perturbé, inquiétudes particulières ou angoisses, tristesse, ...