Peut-être que votre enfant a de la difficulté à s'intégrer dans un groupe d'amis ou encore à prendre la parole devant plusieurs enfants. Il pourrait alors rester silencieux et parfois accepter des situations qui ne lui conviennent pas parce qu'il se sent trop gêné de s'exprimer.
Vous pouvez agir avec votre enfant en l'encourageant à parler de ce qu'il vit, en lui demandant ce qu'il souhaite. Vous pouvez lui expliquer que les adultes sont là pour l'aider et faire cesser les violences qu'il subit. Vous avez le droit de déposer plainte.
Comment l'aider à adopter des comportements respectueux? Agissez avec votre enfant avec respect et demandez-lui qu'il fasse de même. En vous adressant à votre enfant sur un ton calme et en utilisant des mots polis avec lui (ex. : s'il te plaît, merci), vous l'aidez à agir de cette façon à son tour.
Manifestez-lui de l'attention et de l'intérêt, en jouant et passant du temps avec lui. Cultivez la confiance et l'estime de soi de votre enfant. Il apprendra ainsi à s'affirmer tout en se respectant lui-même.
Se faire obéir calmement, mais fermement
S'il est vrai qu'il est important d'être à l'écoute pour comprendre ce NON, il ne faut pas se laisser manipuler et il faut avant tout être capable de se faire obéir. Il ne s'agit pas de crier à tout va, mais plutôt de trouver le ton juste, pour imposer votre décision.
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
L'astuce magique quand un enfant nous parle mal est de reformuler en douceur. Une petite astuce en fait, c'est d'arriver à se reformuler dans sa tête la phrase qu'on s'attendrait à ce qu'il nous donne.
Il faut donc réagir rapidement après son geste pour lui dire que ce comportement est inacceptable et ensuite l'encourager à exprimer ses frustrations avec des mots. Si un enfant frappe ses parents, il tente peut-être de les repousser pour exprimer son besoin de s'individualiser.
Si votre enfant est victime de harcèlement scolaire, il est essentiel d'écouter et de parler avec lui. Cela vous aide à savoir ce qui se passe afin que vous puissiez agir avec l'école. Des conversations calmes et attentionnées aideront également votre enfant à se sentir aimé et soutenu.
Le point de départ des disputes est généralement la rivalité et la jalousie. L'un des enfants se sent “inférieur”, moins aimé, voire rejeté. Ces sentiments laissent place à une rivalité entre enfants. Cette jalousie peut naître des paroles des parents ou de la famille.
L'agressivité s'explique notamment par le manque de compétences sociales et langagières des tout-petits, l'immaturité de leur cerveau de même que leur difficulté à s'autocontrôler. Crier, mordre, frapper, pousser sont souvent des moyens pour un enfant d'exprimer un besoin ou une émotion.
Le moyen le plus efficace d'apprendre la défense consiste en une formation pratique dans des cours où vous pouvez maîtriser des techniques qui peuvent vous protéger contre les agressions. Beaucoup imaginent souvent que les cours de défense impliquent des coups de poing rapides pour repousser une attaque.
La punition doit avoir un sens, le but n'étant pas de rendre l'enfant triste sans lui faire comprendre la raison de sa punition. Au contraire, la punition doit donner un sens à sa faute afin qu'il ne recommence plus.
8 ans, l'âge des grands bouleversements
À 8 ans, les enfants passent un cap. Physiquement, psychologiquement, socialement, tout change, les enfants deviennent doucement des pré-ados. Tous les moments de transition dans la vie de nos chères têtes blondes entrainent des crises.
Les parents trouveront auprès de ces spécialistes de l'enfant une aide précieuse pour les accompagner dans cette situation. Seul un médecin psychiatre ou pédopsychiatre est habilité à poser un diagnostic médical. Il prendra le temps, sur une ou plusieurs consultations, de comprendre les symptômes de l'enfant.
Un enfant opiniâtre trouve souvent dans le tennis matière à se défouler, tant physiquement que psychologiquement. Le tennis développe la musculature, comme l'endurance. Il apprend à anticiper, autant qu'à réfléchir et réagir vite. C'est un excellent sport pour prendre confiance en soi.
Laisser les enfants faire leurs propres expériences est le meilleur moyen de les aider à se sentir confiants. Jouer dehors, courir, grimper, etc. sont d'excellents stimulants pour la confiance. Ils utilisent tout leur corps et apprennent vite à mesurer le risque dans leur exploration.
se répéter chaque jour ses objectifs et tout mettre en œuvre pour les atteindre à l'école ; établir à la fin de la journée un bilan des moments où on a fait preuve de confiance en soi, et des moments où on en a manqué ; ne chercher qu'à se surpasser soi-même chaque jour en évitant de se comparer aux autres.