Maison close désigne un établissement dans lequel des femmes se prostituent. C'est, en somme, le lieu de travail des prostituées. Exemple : Dans le quartier circulait une pétition pour que la maison close ferme justement ses portes, de manière définitive.
13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale. Dans les mémoires, cette victoire est restée celle de Marthe Richard.
En fait, les maisons closes fonctionnent avec des jetons. Elles font frapper des pièces de métal avec leur nom et leur adresse (ça fait de la pub au passage), et ce sont ces jetons que les clients vont acheter auprès de la tenancière ou de la personne qui les accueille à l'entrée.
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
Les portes closes cachent une réalité de violence morale et physique avec pour toile de fond traite des femmes, passages à tabac, alcoolisme et drogue. Les prostituées, appelées"colis" par les "courtiers", sont revendues de maison en maison, soumises à une discipline et une hiérarchie militaire.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
Le Club Paradise de la Jonquera, non loin de la frontière française, refroisse les draps de ses lits, avec port du masque obligatoire. Il y a plus d'une centaine de maisons closes dans la zone. Le gouvernement de Catalogne leur avait appliqué le même régime que les discothèques : fermeture forcée.
Lieu de prostitution. Mot très grossier et dont on ne se sert pas en bonne compagnie. Dérivé de borde.
Lupanar, mot lat. signifiant «maison de prostitution, lieu de débauche» (de lupa «louve» et au fig. «courtisane, prostituée»). Fréq.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Nom commun
(Argot) Commère, personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas et qui parle sur les gens derrière leurs dos et qui fait par la suite l'hypocrite. Ce mot est assez péjoratif et plus violent que le mot "commère".
− Subst. masc., DR. 1. [Sous l'Ancien Régime] Celui qui possédait en roture des terres dépendantes d'un fief auquel étaient dus des cens ou autres droits.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
C'est le 13 avril 1946 que Marthe Richard, une ancienne prostituée devenue conseillère municipale de Paris, fait voter la fameuse loi dont on commémore aujourd'hui les 70 ans. Celle qu'on surnomme la «Veuve qui clôt» impose la fermeture des maisons closes dans tout le pays.
Il faudra que tu fasses une demande de permis de travail en tant qu'indépendante. Tu peux le faire sur Internet et puis tu l'envoies aux bureau des moeurs et comme ça c'est bon.
n.f.
Les proxénètes (ou souteneurs), familièrement appelés « maquereaux » ou « mac » pour les hommes, maquerelles pour les femmes, déformation de l'ancien français marfaux, sont taxés de nombreux noms d'oiseaux dans le milieu.
Un mac est un proxénète, un souteneur. Ce terme d'argot est l'abréviation du mot maquereau. Le mac fait ses bénéfices en offrant une protection supposée aux prostituées qui lui versent une part de leurs gains.
foutoir n.m. Endroit où règne un désordre extrême.
(Argot) Maison de tolérance, lieu de prostitution, bordel.
FORÇAT, subst. masc. A. − Criminel condamné aux travaux forcés dans un bagne (ou, autrefois, aux galères).
Acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d'autres personnes moyennant rémunération. 2. Littéraire. Action de prostituer, d'avilir, de dégrader quelque chose de respectable : La prostitution de l'art entre les mains de marchands.