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La dîme est due par tous les fidèles, roi et seigneurs inclus. Mais avec des exemptions, les Cisterciens, par exemple ne paient pas la dîme, qu'ils devraient normalement au clergé paroissial. Les impôts indirects sont perçus à la source, lors de la vente ou de la circulation de marchandises.
L'utilisation des prés, étangs et bois de la réserve seigneuriale est parfois soumise à redevance : droit de pêche, droit de panage pour les porcs, droit de pacage, droit d'affouage… Le droit d'entrage était payé au seigneur lors de la prise à cens d'une terre.
Pour avoir appris à l'école le nom des impôts de l'Ancien Régime, chacun se souvient de la taille : l'impôt du roi, la gabelle : l'impôt sur le sel et enfin la dîme : l'impôt dû à l'Église. Ce sont les plus connus mais ce ne sont pas les seuls !
et son entretien (émondage des haies, aménagement des routes et des ponts) ; celles qui permettent l'évacuation des produits de la récolte du seigneur (corvées de transport par route ou par eau) ; enfin les corvées de service général (construction ou entretien du château, curage des fossés et des étangs, etc.).
Une seigneurie est d'abord un ensemble de terres comprenant des champs, des prés, des vignes, des bois et des landes, exploité sous la direction et dans l'intérêt d'un seigneur.
À partir de l'An Mil, en Occident, toutes les terres étaient réparties entre les mains de seigneurs, qu'ils soient laïcs (un membre de l'aristocratie) ou religieux (un abbé à la tête d'une abbaye par exemple).
Il existe trois types de dîmes mentionnées dans l'Ancien Testament. Chacun a un but précis. La dîme lévitique, la dîme des fêtes et la dîme des pauvres n'étaient pas données aux mêmes personnes et ne répondaient pas à des besoins différents.
La dernière mention de la dîme dans la Bible (Hébreux 7) renvoie à la première mention – à l'histoire d' Abram et de Melchisédek . Ici, l'écrivain relie ce mystérieux Roi-Prêtre à Jésus, l'éternel Roi-Prêtre. Tout comme Abram a volontairement payé la dîme à Melchisédek, nous payons volontiers la dîme à Jésus.
La gabelle est un impôt sur le sel ayant existé au Moyen Âge et à l'époque moderne en France, en Suisse, en Savoie et en Lorraine. Des taxes similaires étaient également perçues en Chine, au Japon et en Inde britannique.
Le cens était dû en contrepartie de la protection que le seigneur assurait à la terre et aux biens qu'elle portait (installations mais aussi récolte). Le cens pouvait être dû sur de multiples biens : terre, maison urbaine, moulin, bac de rivière...
"Car c'est à cause de cela que vous payez aussi des impôts, car ce sont les ministres de Dieu qui s'occupent continuellement de cela même." Romains 13:6. Le mot grec pour « impôts » dans ce verset est phoros, signifiant « un impôt ou un tribut annuel imposé sur les personnes et leurs biens » . '
La gabelle désigna ensuite en France différents impôts avant de s'appliquer plus spécialement à une taxe sur le sel. Cette taxe fut créée en France en 1315 par Louis X et progressivement étendue à tout le pays par Philippe VI de Valois et en particulier Jean II le Bon, en vue de payer sa rançon.
Il possède un pouvoir militaire (il assure la défense du territoire et peut imposer des corvées pour entretenir les fortifications), un pouvoir de justice (il juge les paysans et peut les condamner à la pendaison) et le pouvoir de lever des redevances.
Vous possédez un patrimoine immobilier conséquent ? Vous êtes soumis à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) si sa valeur nette : Valeur après déduction des dettes dépasse 1 300 000 €. Cela comprend tous les biens et droits immobiliers détenus directement et indirectement au 1er janvier.
Le territoire d'une seigneurie se divisait donc en deux parties : le domaine (dont le seigneur avait la totale propriété) et le fief, ou mouvance dont le seigneur avait seulement la propriété éminente, y disposant notamment du droit de juridiction, mais dont les vassaux avaient la propriété utile.
Nous pouvons donner de l'argent en plus de la dîme pour contribuer à l'édification du royaume du Seigneur. Ces contributions s'appellent des offrandes. L'évêque, le président de branche ou le dirigeant de groupe nous parlera des occasions qui se présentent de faire des offrandes.
Ainsi, même si les chrétiens ne sont plus liés par une dîme obligatoire, cela ne signifie pas que nous sommes « tirés d’affaire ». Bien au contraire : plutôt qu'un pourcentage ou une formule particulière, le Nouveau Testament expose le cœur et commande un don sacrificiel, régulier et joyeux ( 2 Corinthiens 9 : 1-15 ).
La prêtrise est désignée par le nom de Melchisédek parce qu’il était un grand souverain sacrificateur (Doctrine et Alliances, section 107 : 2). Les Doctrine et Alliances déclarent qu'avant l'époque de Melchisédek, la Prêtrise « était appelée la Sainte Prêtrise, d'après l'Ordre du Fils de Dieu.
Au Moyen Âge, la dîme est un impôt établi au profit de l'Église catholique. Il a été créé par Charlemagne à la fin du VIIIe siècle.
Bien que 2 Corinthiens 9 : 7 puisse initialement sembler dire aux chrétiens qu’ils ne sont pas obligés de donner le dixième de leur revenu, une lecture plus précise pourrait être que les chrétiens ne sont pas tenus de donner seulement le dixième. Donnez avec joie, donnez avec joie. Une dîme est de 10 % .
Parce que la coutume de la dîme est biblique, de nombreux chrétiens et juifs la pratiquent dans le cadre de leur foi. Lévitique 27 :30 (TLB) dit : « Le dixième des produits de la terre, qu'il s'agisse de grains ou de fruits, appartient à l'Éternel et est saint. »
La dame (du latin domina, féminin de dominus, « maîtresse de maison ») ou plus rarement la seigneuresse est soit une femme d'un rang social élevé épouse d'un seigneur, soit une femme en possession d'un fief (seigneur à part entière).
Le roi est le suzerain suprême. Pour résumer, le seigneur jure fidélité au roi et reçoit en échange un pouvoir local et des terres. Le paysan (appelé serf), jure quant à lui fidélité à un seigneur : il gagne la protection de celui-ci et peut cultiver ses terres mais doit en contrepartie payer des taxes.
En termes de rang et de statut, le titre de « Seigneur » est généralement considéré comme supérieur au titre de « Monsieur », car il dénote l'appartenance à la pairie, qui est une classe sociale plus prestigieuse. Cependant, le titre de « Monsieur » reste un titre honorifique très respecté et porteur d'un certain prestige.