"Les gains les plus importants au niveau de l'espérance de vie pourraient être réalisés en mangeant plus de légumineuses, de céréales complètes et de fruits à coque, ainsi qu'en mangeant moins de viande rouge et de viande transformée", écrivent les chercheurs.
Réduire sa consommation de tabac et d'alcool, ou mieux, ne pas fumer et ne pas boire d'alcool constituent donc les habitudes les plus susceptibles d'améliorer la santé générale et en particulier de prolonger l'espérance de vie en bonne santé.
Consommer moins de viande et plus de fruits et légumes
"Une alimentation saine contenant moins de viandes rouges et transformées et plus de fruits et légumes devrait augmenter l'espérance de vie moyenne d'environ huit mois", à l'échelle du Royaume-Uni, peut-on lire dans le rapport.
On le sait, certains facteurs évidents réduisent l'espérance de vie. La pollution atmosphérique, une mauvaise hygiène de vie, tout cela ne va pas nous faire vivre plus longtemps ! Mais saviez vous que trop regarder la télé ou rester trop longtemps assis participent également à réduire notre longévité ?
La génétique
Bien entendu, des habitudes saines telles qu'une bonne alimentation, la pratique d'un sport ou encore la consultation régulière d'un médecin, peuvent nous aider à vivre plus longtemps, voire même beaucoup plus longtemps.
En France, en 2018, l' espérance de vie à la naissance est de 85,3 ans pour les femmes et de 79,4 ans pour les hommes.
Hong-Kong se place en tête du classement avec 88,1 ans pour les femmes et 82,3 pour les hommes.
Appliqué à 18 pays pour commencer, cet indice montre que les cinq pays qui prennent le mieux en charge leur population vieillissante sont la Norvège, la Suède, les États-Unis, les Pays-Bas et le Japon. Viennent ensuite l'Irlande, le Danemark, l'Allemagne, la Finlande et l'Espagne.
Le secret de la longévité des centenaires est une vie active, physiquement comme socialement, et la recherche du plaisir. L'alimentation saine et sans excès est le principal point commun des centenaires, on estime que notre assiette est responsable à 30 % de notre longévité.
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
Du côté des mauvais élèves du classement, on peut noter les Etats-Unis (76,6 pour les hommes et 81,6 pour les femmes en 2021), le Kenya (65,04 pour les hommes et 69,8 ans pour les femmes en 2021) ou encore l'Inde (69,1 ans pour les hommes et 71,8 ans pour les femmes en 2021).
Entre 5 et 14 ans, le risque annuel est de seulement un enfant sur 10 000. Il augmente fortement à l'adolescence, jusqu'à atteindre 2 pour 10 000 chez les filles et 5 pour 10 000 chez les garçons à 20 ans. Il augmente ensuite exponentiellement, d'environ 8 à 10 % d'un âge à l'autre, soit un doublement tous les 8-9 ans.
Le football améliore les performances musculaires.
L'étude a révélé respectivement 27 %, 15 %, 47 % et 28 % de réduction du risque de décès prématuré chez ceux qui pratiquent l'aérobic, le cyclisme, un sport de raquette ou la natation.
Tant la génétique que les facteurs liés au style de vie influencent l'apparence de jeunesse. La clé de la compréhension du vieillissement perçu est l'interaction entre ces ceux éléments. L'épigénétique peut fournir cette clé.
Pour les hommes, c'est le département des Hauts-de-Seine qui détient l'espérance de vie à la naissance la plus élevée : 81,9 ans en 2022, selon les données de l'Insee, publiées mercredi 22 février 2023.
C'est en effet la Corse qui se classe à la première place de la région européenne où l'on peut espérer vivre le plus longtemps. Les femmes ont une espérance de vie de 87 ans, contre 84 ans pour les hommes.
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
L'espérance de vie de la population japonaise a augmenté considérablement depuis les années 1960, principalement grâce à la baisse de la consommation de sel, qui était associée à une mortalité élevée due au cancer de l'estomac et aux maladies vasculaires cérébrales.
La probabilité pour un centenaire de devenir un « supercentenaire » est très faible (moins de 0,5 %) dans les conditions de mortalité actuelles.