Ainsi, la première étape de la combustion va consister à sécher les bûches jusqu'à ce que le taux descende à environ 10 % d'humidité. Plus simplement, il s'agit du moment où une fumée blanche se dégage, juste avant l'apparition des premières flammes. Ce phénomène de séchage intervient généralement entre 150°C et 250°C.
Un bon rendement de combustion est consécutif à : L'absence d'imbrûlés (ni CO, ni suie) Au taux de CO2 le plus élevé A la température des gaz de combustion la plus basse.
Pour qu'une combustion se réalise il doit y avoir contact entre deux réactifs: le comburant et le combustible. Ces deux réactifs doivent également recevoir une chaleur suffisante.
Pour pouvoir obtenir une double combustion, la température moyenne au sein de la chambre de combustion doit être de 600 °C. Cela permet au gaz de s'enflammer correctement. Le poêle à bois à post combustion doit aussi disposer d'un foyer étanche.
Pourquoi allumer par le haut ? L'allumage par le haut a plusieurs avantages : Plus écologique : au lieu de s'en aller directement dans le conduit de cheminée (avec un allumage classique), les fumées (donc les particules polluantes) seront captées et consommées par le feu qui les surplombe.
Test d'impact – en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Ce test permet d'évaluer plus ou moins si son bois est assez sec ou non, en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Si le bois est dur et a un bruit qui résonne alors il est sec ; dans le cas contraire, si le bois est mouillé, il est très peu sonore.
La triple combustion permet de brûler les particules et les gaz contenus dans les fumées. Elle améliore le rendement de votre insert, économise du bois et rend la combustion plus propre. Les organes de manœuvre discrets et faciles d'utilisation privilégient la vision panoramique du feu.
Un poêle à double combustion présente une seconde arrivée d'air. Celle-ci assure l'alimentation en comburant qui va permettre au gaz de s'enflammer. Lorsque les gaz brûlent, un maximum d'énergie et donc de chaleur est produit. Certains poêles sont équipés d'un foyer secondaire destiné à la combustion des gaz.
On dit qu'une combustion est complète lorsqu'il y a assez de comburant (le dioxygène) pour qu'elle sur déroule correctement. S'il manque du comburant (le dioxygène), la combustion se fait mal. Combustions complètes ou incomplètes des gaz.
Pour qu'un incendie survienne, 3 conditions doivent être réunies : la présence d'un combustible, celle d'un comburant (en général, l'oxygène de l'air) et celle d'une source d'inflammation (étincelle, flamme, chaleur…).
CH4 + 2 O2 → CO2 + 2 H2O. On vérifie qu'on a bien le même nombre d'atomes de chaque côté de la flèche : 1 de carbone, 4 d'hydrogène et 4 d'oxygène. L'équation est équilibrée.
IV – Les dangers des combustions.
Risque d'incendie : si la combustion se propage à d'autres objets ; il faut donc éloigner des flammes toute matière combustible. Risque d'asphyxie : si le dioxygène de l'air est consommé par la combustion ; il faut donc éviter de boucher les ventilations.
Contrairement à la combustion complète, la combustion incomplète a lieu quand la quantité d'oxygène est insuffisante pour permettre la réaction complète du combustible. Cela génère des produits de combustion additionnels, tels du monoxyde de carbone, CO, des cendres et de la fumée.
La combustion incomplète a lieu quand la quantité de comburant est insuffisante pour permettre la réaction complète du combustible ou lorsque le temps de contact, à une température rendant la combustion possible, est trop faible.
Le clapet doit être maintenu fermé lorsqu'il n'y a pas de feu ou de charbons ardents. Ainsi, l'air chaud de votre maison ne sortira pas par la cheminée lorsque le foyer n'est pas utilisé.
Les flammes apparaissent lorsque les gaz combustibles réagissent avec l'oxygène. Elles manifestent une réaction chimique libérant de l'énergie sous forme de chaleur et de lumière. La température y atteint de 1 200 à 1 500 °C alors qu'au-dessus, dans le panache de fumées, la température chute au-dessous de 600 °C.
Pour un poêle à bûches cette température pourra varier entre 300°C et 450°C alors que pour un poêle à granulés, elle ne dépassera pas les 210°C.
Bien au au contraire : il est impératif d'éviter que le bois soit constamment mouillé par la pluie. Le risque est alors non seulement de rallonger la durée de séchage, mais aussi de voir de la moisissure apparaître sur les bûches, rendant leur combustion quasiment impossible.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Un bois trop humide
Au-delà, une partie de l'énergie thermique sera utilisée pour évaporer l'eau que contient le bois, sans produire de chaleur. Un bois complètement humide ne « brûlera » donc pas réellement. Il se consumera et se transformera en une sorte de charbon, sans vous fournir beaucoup de chaleur.
Utiliser une pile et de la laine d'acier. Faites un nid de petit bois avec des plantes sèches. Vous pouvez utiliser de l'herbe sèche, des feuilles, des brindilles et de l'écorce. Ce nid sera utilisé pour créer une flamme à partir des étincelles que vous aurez produites à l'aide de la pile et de la laine d'acier.