Incha'Allah est une transcription francophone de la formule arabe (ar) إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ (In Shaa Allah en translittération baha'ie) qui signifie « si Dieu le veut ». Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans.
Si Dieu le veut. Si Dieu le permet.
“Inchallah” (إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ) est une expression largement utilisée dans le monde arabe. Écrite de différentes façons en français, la formule inchallah en arabe veut dire : “Si Dieu le veut” ou “Si Allah le veut”. Les musulmans l'utilisent de manière quotidienne. Elle leur rappelle que Seul Dieu connaît l'avenir.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Interjection. (Rare) Dieu soit loué .
Ce mot est prononcé usuellement à la fin de la récitation de la première sourate du Coran par les musulmans (Prologue), ou d'une du'a. Il se prononce Amine (آمين) en arabe, ce mot signifie « ô Dieu (en arabe 'Allāh, écrit الله) exauce ou réponds ».
Il est usuel de répondre par la phrase Wa alaykum assalam (وَعَلَيْكُمُ ٱلسَّلَامُ) (Et sur vous soit la paix) ou l'une de ses variations.
La basmala (بَسْمَلَة) est un mot arabe qui désigne tous les mots de la formule bi-smi-l-lāhi r-Raḥmāni r-Rahīmi (arabe : بِسْمِ ٱللَّٰهِ ٱلرَّحْمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ) — « Au nom de Dieu clément et miséricordieux » —, notamment utilisée au commencement de chacune des sourates du Coran, à l'exception de la neuvième, at-Tawba ...
Parmi eux, celui de l'imposition du nom (tasmiya, en arabe1) est capital : il est un premier rite de passage spécifique grâce auquel le nourrisson acquiert une identité nominative propre. En effet, durant les sept premiers jours l'enfant ne dispose pas de prénom.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
Al-ḥamdu li-l-lāh (arabe : ٱلْحَمْدُ لِلَّٰهِ, « Dieu soit loué », littéralement, « louange à Allah ») est une expression d'action de grâce, principalement utilisée par les musulmans.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Schwally pose l'hypothèse que cette absence soit due à une erreur de scribe tandis que Bell considère qu'elle est superflue en raison du début de la sourate, lui-même annonçant qu'il s'agit d'une proclamation venant d'Allah.
Al-Fatiha (arabe : سُّورَةُ الفَاتِحَة, Sūrat al-Fātiḥah) est la sourate d'ouverture du Coran, le livre sacré des musulmans. Composée de sept versets, elle met l'accent sur la souveraineté et la miséricorde d'Allah.
De l'arabe سلام , salam (« paix »), et l'expression "salam aleikoum" qui sert de salutation dans les contrées islamiques.
As-salam alaykoum wa rahmatu-Llah (السٌَلامُ عَلَيْكُمْ وَ رَحْمَةُ الله) traduit par “que la paix et la miséricorde d'Allah soient sur vous”. Il convient de répondre, au moins, par l'équivalent “wa alaykoumou-ssalam wa rahmatu-Llah” (وَعَلَيْكُمُ السَّلامْ وَ رَحْمَةُ الله).
Dans l'islam
Le mot se prononce « Âmîne » (آمين) en arabe (avec un a et un i longs). Il se rattache à la racine '-M-N qui donne l'idée de confiance et la forme verbale 'amana (« croire »), laquelle produit aussi le nom verbal imân (« foi ») ; le participe actif donne mou'min (« croyant »).
Amine ou Amin (arabe : امين) est un nom propre masculin signifiant "(Quelqu'un de) Sûr".
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».