Adoptez une cadence de course comprise entre 165 et 180 pas par minute. Essayez de poser vos pieds directement sous ou très légèrement devant vous. Si vous atterrissez avec le pied loin devant vous, avec des foulées amples, vous risquez de courir moins vite et de vous faire mal.
À 13 km/h, la longueur de la foulée sur du plat est aux environs de 1,25 mètre, soit 80 foulées par « 100 mètres », avec de légères variations, plus faibles qu'il n'y paraît, selon les individus. Le fait d'avoir une foulée plus ou moins longue qu'un autre n'a aucune influence sur la capacité de performance.
Ce sont des foulées plus ou moins longues, le but étant de bondir d'une jambe sur l'autre avec dynamisme, les impulsions étant orientées vers le haut grâce à une élévation des genoux. Il faut alterner les bonds, ne pas chercher systématiquement à sauter le plus loin possible.
Comment : Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.
Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
Un coureur passionné en excellente santé peut s'attendre à terminer un 10 km en environ 43 minutes pour un homme (soit une allure de 4 min 18 s / km et une vitesse moyenne de 13,95 km/h) et 50 minutes pour une femme (soit une allure de 5 min / km et une vitesse moyenne de 12 km/h).
Établissez une cadence, de préférence pour chaque allure de course. Rendez-vous ensuite dans une salle de sport, sur un tapis de course. Échauffez-vous pendant 10 minutes, puis augmentez ensuite l'allure de 1 minute par kilomètre jusqu'à atteindre vos différents rythmes : endurance, seuil, fractionné.
Comment connaître sa foulée ? L'usure de vos chaussures est un bon indicateur. En fonction de sa localisation, vous allez pouvoir savoir où l'appui de votre pied est le plus fort. Vous pouvez également consulter un podologue qui analysera votre manière de poser le pied au sol.
Votre foulée, c'est le moteur qui permet de restituer l'énergie que vous dépensez à courir et de propulser votre corps en avant à chaque pas. Lui porter attention et l'améliorer vous permettra d'optimiser cette énergie et en conséquence d'impacter vos performances.
Grâce à la caméra en travelling latérale et aux repères en bord de piste pour le 110 m haies, il a constaté que Bolt foulait à 2,83 m. Tommie Smith, l'un des plus grands sprinters de tous les temps (champion olympique du 200 m aux Jeux de Mexico en 1968), foulait à 2,65 m.
Pour calculer la longueur de la ligne de foulée, partez du nez de la marche zéro de l'escalier. C'est la projection du giron de la marche 1 sur le sol. L'arrivée de la ligne de foulée se situe en haut de la dernière contremarche.
Utilisez une formule basée sur la taille. Pour commencer, mesurez votre taille en centimètres. Puis, si vous êtes une femme, multipliez-la par 1,14, et si vous êtes un homme, multipliez votre taille par 1,35.
Une seule solution existe pour progresser : l'entraînement. Pour courir plus vite, il ne faut pas avoir peur de se mettre en difficulté. Vous devez habituer votre corps à une intensité qu'il ne connait pas encore. Si cela peut paraître délicat, accrochez-vous au cours de vos entraînements, les résultats arriveront.
2° Anticiper les blessures
Car si la foulée dynamique est effectivement une foulée vers laquelle il faut tendre sur 10 ou 20 km, il devient difficile de la conserver sur de plus longues distances, au risque d'abîmer ses tendons et ses muscles.
Elle se décompose en 3 phases : l''attaque : contact du sol par le côté externe du talon. l'appui : transition entre un pied et l'autre. phase de propulsion : la poussée se produit quand le premier pied quitte le sol avec une forte poussée sur l'autre pied.
Foulée supinatrice / sous-pronatrice
Pour finir, la foulée supinatrice est donc une foulée sous-pronatrice. L'attaque du pied arrive de manière très marquée sur l'extérieur. Le mouvement de la cheville est incomplet et ne ramène pas suffisamment le pied vers le centre pour une pose à plat.
Lorsque le pied s'affaisse trop vers l'intérieur, on parle de foulée pronatrice. A l'inverse si le pied s'incline vers l'extérieur, on parle de foulée supinatrice. La majorité des coureurs ont une foulée pronatrice (environ 40%) ou neutre (environ 50%). Seule une minorité possède une foulée supinatrice.
Belle ou pas, une bonne foulée est une foulée efficace, un bassin qui avance, et un corps qui ne fait pas trop de gestes parasites, qui éparpille le moins d'énergie possible ailleurs que vers l'avant. Le tout, sans que cela provoque des dégâts sur notre corps. L'idée, c'est aussi de courir longtemps et en bonne santé.
La cadence à 180 pas par minute serait donc la plus efficace, et celle qui procure la foulée la plus fluide, la plus économique en énergie, et la moins traumatisante.
180 pas par minute serait la cadence la plus efficace. Celle qui donne la foulée la plus fluide. Celle qui est la plus économique en énergie car on utilise au maximum l'effet de rebond lié à l'impact au sol. Un pas bref, sous forme de rebond au sol qui se ressent réellement lorsque l'on court.
Courir une heure à du 10km/h, c'est à peu près à la portée de tout le monde ; pour certains, on sera en dessous de l'endurance fondamentale et pour d'autres, ce sera un gros effort, mais clairement, ça n'a rien de transcendant.
Une étude de 2014 sur le sujet nous mentionne que les coureurs débutants devraient courir moins de 3 km pendant leur première semaine d'entraînement.
Le débutant se situant, en général, entre 7 et 11 km/h.