Exemples, pour l'orthographe j'ai vu : j'ai vu ça directement avec lui , j'ai vu que vous recherchiez un assistant , j'ai vu que tu m'avais appelée , j'ai vu que vous faisiez des progrès , j'ai vu que vous aviez besoin d'aide .
Le participe passé vu, dans l'expression vu, de mes yeux vu, s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct (CD) si celui-ci est placé avant le verbe. Dans ce petit restaurant méconnu, j'ai vu, de mes yeux vu, cette célèbre chanteuse. (J'ai vu quoi? cette célèbre chanteuse.
Au pluriel on met un y avec les sujets nous et vous , nous voyons , vous voyez , et enfin ils voient .
« Voir » et « voire » ont beau se prononcer de la même façon, ils n'ont rien à voir l'un avec l'autre ! Si le mot peut être remplacé par « et même », le « e » est de rigueur, et on écrit « voire ». Sinon, on écrit « voir » : L'ordinateur change nos habitudes, voire les bouleverse.
D'aucuns diront que « voyent » correspond au présent du subjonctif. Après tout, l'on retrouve fréquemment la voyelle « y » au subjonctif (ayons, soyez…). Il n'en est rien ! Au subjonctif présent aussi, on écrit « qu'ils voient », « qu'elles voient ».
On écrit « vue » ou « vu » ? Règle 1 : lorsque « vu » est placé devant un nom ou un pronom, alors il s'écrit toujours sans -e et est invariable (c'est le cas lorsqu'il est placé en début de phrase). « Vu » prend alors le sens de « étant donné » et peut être remplacé par celui-ci.
Lorsqu'il est suivi d'un participe passé, le verbe est considéré comme un semi-auxiliaire et vu s'accorde avec le sujet : Les ministres se sont vus invités à l'événement.
Ici, le terme «vu» est placé devant un nom, employé sans auxiliaire. Il a donc le rôle de préposition et est par conséquent invariable. La phrase correcte est: «Vu les circonstances.» Si toutefois vous veniez encore à douter de son bon usage, préférez alors la formule «étant donné».
parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif. Conjonctions de subordination qui marquent la conséquence: de telle sorte que, de telle manière que, au point que, si bien que sont suivies de l'indicatif.
On distingue donc la vue, nom féminin qui prend un e final, et vu, sans e final, préposition qui équivaut à étant donné. Ici on pourrait dire : « Étant donné les circonstances, je ne partirai pas en vacances. », c'est donc vu sans e qu'il faut utiliser.
The verb "To see" is conjugated this way in Perfect tense: Le verbe "VOIR Passé Composé" se conjugue de la façon suivante: J'ai vu, tu as vu, il a vu, elle a vu, nous avons vu, vous avez vu, ils ont vu, elles ont vu.
« verrais » et « verrai » sont des futurs de l'indicatif (la forme de verrais » est la même que celle du conditionnel, et c'est tout. La raison en est l'origine du mode conditionnel). Verrai est le futur du système présent et « verrais » le futur du système passé.
Exemples : on se voit demain , on se voit bientôt , on se voit tout à l'heure , on se voit à quelle heure ? , on se voit quand ? , on se voit où ? Dans la phrase on se voit , le verbe voir est conjugué au présent avec le sujet on , troisième personne du singulier.
Je vois ou je voie : l'indicatif
On écrit « je vois » avec un « s » lorsqu'on s'exprime au présent de l'indicatif.
Voie, avec un "e" à la fin. Eh oui ! Écrire voit, avec un "t" final, revient à conjuguer le verbe au présent de l'indicatif. Pour ne plus vous tromper, remplacez le verbe par un autre dont la forme diffère, à l'oreille, entre l'indicatif et le subjonctif.
Voici une explication simple : « Cela fait un an que je ne t'ai pas vu » exprime une durée qui commence à un moment précis, celui de la dernière rencontre. La durée renvoie à un temps où l'action ne s'est pas produite. Mais, sans la négation, on souligne le moment où l'action s'est produite en dernier lieu.
Réponse : le mot aperçu prend ici le genre, masculin ou féminin, de la personne qui écrit. Quand c'est un homme qui écrit : je me suis aperçu . Quand c'est une femme : je me suis aperçue .
Étymologie. Sans doute sous l'influence des verbes boire et devoir, par l'analogie proportionnelle : boire : ils boivent : devoir : ils doivent :: croire → ils croivent.
au travail, on l'entend tellement souvent qu'elle a même presque fini par s'imposer à l'écrit. Ils croivent (ou croiver) fait partie de ces expressions erronées que l'on voit tant qu'elles nous paraîtraient presque correctes à la longue. Presque… Car, ils croivent reste bel et bien faux en français.