C'est le degré d'appartenance à un groupe social. Un individu s'intègre en partageant les mêmes valeurs et normes et en poursuivant les mêmes objectifs que ceux de ce groupe dont il est interdépendant.
La notion d'intégration désigne en effet la manière dont les individus s'incorporent à la société globale via l'activité professionnelle, l'apprentissage des normes de consommation matérielle, l'adoption des comportements familiaux et culturels, les échanges avec les autres, la participation aux institutions communes.
À cette occasion, l'intégration sociale a été décrite comme l'objectif visant à créer « une société pour tous », dans laquelle chaque individu, avec ses droits et ses responsabilités, a un rôle actif à jouer.
Si on reprend les grands anciens que sont Durkheim ou l'École de Chicago1, l'intégration est le processus par lequel l'individu prend place dans une société, par lequel il se socialise.
L'analyse, la synthèse et l'évaluation, activités intégrantes de l'intégration portent sur l'ensemble de l'apprentissage plutôt qu'uniquement sur des savoirs formulés en termes de contenus.
Les fondements de l'intégration furent recensés : le partage de valeurs (Parson, 1951), la pression normative (Asch, 1955), les interdépendances fonctionnelles (Durkheim, 1893), la proximité relationnelle (Hagstrom, Selvin, 1965), le pouvoir et l'intérêt des acteurs (Crozier, 1963) ou les effets des identités, du ...
Les facteurs d'intégration sociale sont : la famille, les groupes de pairs, les médias et le travail.
L'inclusion ouvre le droit à la singularité, à la différence, ne tolérant pas d'exclusion à la participation sociale sur le prétexte de cette différence. Là où l'intégration n'interrogeait pas la norme établie, l'inclusion fait varier la norme pour y inclure toutes les singularités.
La socialisation permet donc à la fois de se sentir membre d'une société et de « faire société ». Intégration sociale : L'intégration sociale est un processus permettant à un individu ou à un groupe de devenir membre d'un groupe plus vaste.
Les bénéfices d'une bonne intégration
La réussite de l'intégration d'un salarié est vectrice d'un engagement durable et d'une meilleure implication au sein de l'entreprise. Cet accompagnement donnera au nouvel arrivant un sentiment de soutien et lui permettra de développer au mieux ses compétences.
L'intégration a pour but d'accompagner le salarié vers l'autonomie et lui permettre d'atteindre ses objectifs individuels et collectifs, c'est pourquoi il s'agit d'une phase qui demande du temps et qui doit être construite par l'entreprise sur le long terme.
L'intégration apporte aussi beaucoup d'opportunités et lance des défis aux groupes socio-professionnels selon leur branche, leurs produits, et leur secteur économique, car elle permet la croissance et la création d'emplois dans certains secteurs et régions, mais est à l'origine d'un chômage croissant et de faillites ...
Le terme inclusion, utilisé principalement dans les pays anglophones, est récemment venu concurrencer, dans de nombreux pays dont la France, le terme intégration pour désigner les pratiques de scolarisation « au plus près de l'école ordinaire ».
L'intégration sociale est essentielle pour garantir une société stable, harmonieuse et pacifique. Il ne s'agit pas d'une tentative d'uniformité mais bien de « créer une société pour tous », a-t-il dit.
Le travail joue donc un rôle essentiel dans l'intégration sociale, qui est un processus aboutissant au partage de valeurs communes, de buts communs entre des individus en interaction au sein d'une société ou d'un groupe social.
L'insertion professionnelle regroupe la notion d'intégration professionnelle et d'inclusion professionnelle. On peut donc être inséré dans le monde professionnel selon deux méthodes. C'est donc grâce à l'intégration ou à l'inclusion qu'un travailleur va être inséré dans l'entreprise.
qui s'expliquent notamment par : un milieu socioéconomique plus modeste ; des parcours scolaires plus difficiles, un moindre accès à l'apprentissage ; une concentration spatiale au sein de quartiers et communes cumulant les difficultés économiques et sociales des phénomènes de discrimination pour l'accès à l'emploi et ...
Une stratégie d'intégration existe sous deux formes et méthodes : l'intégration verticale et l'intégration horizontale. Elle correspond à l'inverse d'une activité d'outsourcing.
− Le manque de moyens financiers qui fait que les organismes atteignent rarement leurs objectifs ; − L'absence d'une monnaie commune qui freine l'intégration économique ; − Les difficultés de circulation des personnes et des biens ; − La fragilité des économies qui dépendent de l'aide des pays riches.
La personnalité de l'enfant, la nature de son handicap, les relations entre la famille et l'école, le niveau socio-économique de la famille et d'autres facteurs influencent la manière dont va se dérouler une intégration scolaire.