Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ». Par la suite, « bon » et « jour » se sont soudés en une formule de salutation. Pensez-y la prochaine fois que vous le lancerez à quelqu'un.
Le Trésor de la langue française indique par exemple qu'avant l'année 1230, on notait «bon jor», soit l'équivalent de «jour favorable, temps heureux». Ce n'est que dans le deuxième quart du XIIIe siècle que le terme s'est orthographié «bonjour» et est devenu une formule de salutation courante.
— Dame, Nostre Seigneur vous ait en sa garde. — Sire, Dieu vous doint bon jour. — Sire, bon jour aiez vous et bonne vie. — Sire, bon matin vous doint Dieux.
Citons aussi le salut des jongleurs: Deus vos croisse bonté (Charroi de Nîmes 1), que Dex vos beneïe (Prise d'Orange 1), que Deus vos seit aidanz (Couronnement de Louis 1), cf. que Dieus vous soit garons as ames (Bodel: Jeu de saint Nicolas 2).
Par exemple, vous pouvez dire “bonjour madame” ou “bonjour monsieur”, ou encore “bonsoir madame” ou “bonsoir monsieur”. Cette formule, cette manière très très polie de dire bonjour, vous allez l'utiliser avec des inconnus, mais surtout dans des situations où vous devez être très poli.
Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ».
À cette époque, les gens du peuple étaient tous unilingues et parlaient l'un ou l'autre des nombreux dialectes alors en usage en France. Seuls les «lettrés» écrivaient en «latin d'Église» appelé alors le «latin des lettrés», aujourd'hui «latin ecclésiastique», et communiquaient entre eux par cette langue.
quo vadis. A PROPOS de l'étymologie : « Cette expression provient d'une ancienne coutume romaine qui avait pour but de demander « Comment allez-vous à la selle ? » car on considérait qu'aller régulièrement à la selle était un signe de bonne santé.
Au lieu de vous incliner ou de faire une révérence, vous pourriez vous contenter d'un hochement de tête (traditionnellement pour les hommes) ou d'une révérence subtile en fléchissant brièvement les genoux (pour les femmes).
Formule d'appel :
Monsieur le Baron. Madame le Baronne.
Au Moyen Âge, on demandait «comment allez-vous?» à une personne lorsqu'on voulait lui demander… à quoi ressemblaient ses selles (son caca) du jour! À l'origine, l'expression était donc «comment allez-vous à la selle?».
Merci Au Moyen Âge, merci signifiait “grâce, pitié” de là les expressions : Crier, demander merci – le chevalier vaincu reconnaissait sa défaite et implorait la pitié du vainqueur.
Au Moyen Age, le terme signifiait « oui » (du latin hoc et il) dans des régions situées au Nord de la Loire. La langue d'oïl était la langue de cette région.
( X e siècle) de l'ancien français mercit (881), issu du latin mercēdem , accusatif de merces « salaire, prix, récompense », tardivement « faveur, grâce ». (Vers 980) merci (Vie de Saint Léger).
langoier, v. n., agiter la langue comme pour essayer de parler ‖ parler ‖ v. a., faire parler.
Beau est ici un terme d'affection qui, se disant très souvent dans le moyen âge quand on s'adressait à des personnes qu'on aimait, bele suer, bele amie, biaus dous fils, etc. s'est attaché, dans la langue nouvelle, aux termes de parenté par alliance.
Pour parler un langage plus soutenu, la syntaxe est aussi très importante. Voici quelques astuces pour s'améliorer sur ce point. – Inverser le sujet et le verbe. Dans un langage soutenu, on inverse le sujet et le verbe pour poser des questions.
Étymologie. Du moyen français manger , de l'ancien français mangier , issu du latin manducare (« mâcher » et « manger » en latin populaire »), lui-même issu de mandere (« manger »).
Les mots d'amour les plus touchants sont ceux qui expriment le manque ou le sentiment d'affection et d'amour inconditionnel: “Tu me manques quand je ne suis pas avec toi”, “Je t'aime pour ce que tu es”, “je t'aime chaque jour plus que le précédent”, “je te choisirai même dans une autre vie parce que mon amour pour toi ...