"mari", "époux". Epoux a un féminin et mari n'en a pas ; il est le latin "sponsus" et signifie proprement le promis, le fiancé, de là l'emploi qu'il a conservé dans le langage de la pratique et que mari n'a pas. […] »
On a vu que cette dernière forme, dont le génitif était maris, a contribué à donner à maritus le sens de « mari ». Ce n'est que très tardivement que femina, proprement « celle qui allaite », puis « femelle », a concurrencé mulier, « femme », et uxor, « épouse ».
Femme mariée, unie à une autre personne par le mariage.
Étymologie. Du latin maritus , lui-même dérivé de mas, maris (« mâle ») qui a éliminé vir (« homme »), d'où (« mari, époux »).
Homme uni à une femme par le mariage.
Fiancé, mari, pacsé...
Pas de différence. Ce sont des synonymes. Le plus courant à l'oral est « mari ».
Femme : Être humain du sexe féminin , elle peut aussi avoir le sens d'épouse. épouse : Femme mariée. conjointe :historiquement, désigne une épouse; une femme unie par les liens du mariage. Donc , les trois termes ont presque le même sens dans le contexte du mariage.
Éviter de confondre l'adjectif "marri", penaud, et le nom "mari", époux. Éviter le barbarisme ["être tout mari"].
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs. L'accent est mis sur l'emploi du temps des épouses qui est une préoccupation constante de ces ouvrages.
Il correspond à la femme qui réalise la majeure partie des tâches qualifiées de ménagères, telles que : l'entretien du logis, les achats de consommation courante, la préparation des repas, la surveillance et l'éducation des enfants, à titre d'exemples.
"Ma grognasse" relève assurément du registre vulgaire. Et "ma bergère", "ma gonzesse", ma grosse", "ma meuf", "ma nénesse", "ma nénette" ou "ma poule" du registre argotique. Ainsi que "ma go" ou "ma gow", qui sont utilisés par les jeunes.
On forme le plus souvent le féminin des adjectifs en ajoutant simplement un –e. Les adjectifs se terminant par –e au masculin ne changent pas au féminin. Les adjectifs se terminant par –er font leur féminin en -ère.
Marocain, e adj. et n. = originaire du Maroc, qui concerne le Maroc. La côte marocaine ; les Marocains.
- On écrit l'adjectif 'belle' devant un nom féminin singulier.
Le choix de l'un ou l'autre de ces deux termes se fait en fonction d'un aspect légal. Si un contrat de mariage a été conclu, on utilisera « mon épouse », « mon époux ». En l'absence de contrat de mariage, on utilisera « ma femme », « mon mari ».
Les principaux régimes matrimoniaux sont : le régime de commu- nauté qui peut être adapté en fonction des intérêts des futurs époux, la séparation des biens, la participation aux acquêts et la communauté universelle.
On distingue alors 4 régimes matrimoniaux : la communauté légale réduite aux acquêts, la communauté universelle, la séparation de biens et la participation aux acquêts. Le régime matrimonial détermine la situation juridique et patrimoniale du couple.
La polygamie désigne un régime matrimonial où un individu est lié, au même moment, à plusieurs conjoints. Pour une femme ayant plusieurs hommes, on parle également de polyandrie ; pour un homme ayant plusieurs femmes, de polygynie.
Ils s'appellent mon «copacsé», ma «pacsette» ou, plus tendrement, mon «pacsounet».
my girl [ex.] Viens, ma fille. Come, my girl.
La femme parfaite a toujours plein d'idées de choses à faire. Elle prend les devants et aime organiser des sorties et voyages. Elle déteste rester à ne rien faire ! Les hommes détestent les femmes qui se négligent : cheveux gras, ongles écaillés, poils sous les bras...
N°1 : La bonne épouse est avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension et bonne humeur. N°2 : Une véritable maîtresse de maison se doit d'accomplir ses tâches quotidiennes, cuisine, repassage, raccommodage, ménage, dans une abnégation totale et sans jamais se plaindre.