Exemples d'emploi : cher ami , chère amie , chers amis (on prononce le s en faisant la liaison), chers parents , chère Madame , cher Maître (ou chère Maître si l'avocat est une femme), chers tous , cher confrère , chère consœur (mais ce mot a tendance à être remplacé par confrère , même au féminin : chère confrère ), ...
L'utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d'un « s », si l'on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.
Pour ne pas mégenrer une personne : « Cher·ère adelphe, tu es lae bienvenue » en inclusif. « Cher·ère·x adelphe, tu es lae bienvenue » en non binaire. « Chèrx adelphe, tu es lae bienvenue » en neutre.
Ainsi, au lieu d'écrire «chères collègues et chers collègues», on peut préférer «chèr·e·s collègues».
Soit vous pouvez écrire : « Mesdames, Messieurs, Chères collègues entrepreneures et chers collègues entrepreneurs. » ou « Mesdames, Messieurs, chers collègues entrepreneures et entrepreneurs. »
L'inclusif se forme actuellement avec un tiret, un point (.), un point médian (•), une apostrophe entre le masculin et le féminin ou bien avec le E du féminin en majuscule (content-e, content. e, content•e, content'e, contentE).
est correcte dans le cas où une seule femme est présente dans l'auditoire adressé.
D'un côté, les termes « tous » et « toutes » sont suffisamment proches et « tous et toutes » semble parfaitement repérable dans l'abréviation « tou·tes », sans que cela entrave la fluidité de lecture.
Si on choisit de féminiser un texte, deux techniques de féminisation sont privilégiées : L'écriture des deux formes, masculine et féminine, au long; L'emploi de termes génériques et de tournures neutres.
Allemagne. En Allemagne, l'administration encourage l'usage de l'écriture inclusive à partir de 1987 et la fédération des länder publie un guide pratique en 2002. Les formulations avec un slash sont utilisées depuis les années 1980 dans les universités allemandes.
La majuscule est de mise lorsque vous vous adressez directement à la personne, dans le cadre d'une lettre, d'un courriel, ou d'une invitation. Vous écrirez alors : «Chère Madame, cher Monsieur.» Pour vous souvenir de cette règle, ayez à l'esprit que la majuscule du titre rappelle celle du prénom du destinataire.
Attention, les Français utilisent “cher” dans un contexte formel: dans des correspondances écrites, et à l'oral dans des discours. De plus, on accompagne “cher” du prénom ou du titre de la personne à qui l'on s'adresse. Voici quelques exemples : Chers amis, je vous remercie de votre présence aujourd'hui.
Deux conséquences en découlent. En premier lieu, il convient de proscrire le recours à l'écriture dite « inclusive », qui utilise notamment le point médian pour faire apparaître simultanément les formes féminines et masculines d'un mot employé au masculin lorsque celui-ci est utilisé dans un sens générique.
Bonjour et bonsoir prennent un s au pluriel : de timides bonjours, de gais bonsoirs.
Bonjour à tous ! – Salutation informelle, utilisée pour s'adresser à un groupe de personnes.
Eh oui est une locution interjective que l'on emploie, souvent après un temps de réflexion, lorsque l'on admet quelque chose à regret, ou pour faire un aveu difficile ou étonnant. Ainsi, en 1940, Gide écrit dans son Journal : « Eh oui !
Le terme "iel" est un pronom personnel neutre qui fait référence à la troisième personne du singulier. Il s'agit d'un néologisme issu de l'écriture inclusive, né d'un mélange de "il" et "elle". On peut également le trouver orthographié "yel" ou "ielle" et il se décline en "iels" dans sa forme plurielle.
Le pronom iel, contraction donc de il et elle, se décline en différentes variantes à connaître : Pronom sujet : accordez iel au singulier ou au pluriel avec le point médian. Par exemple : iel est allé. e au marché, ielles sont allé.
Genrer une personne, c'est la façon de parler d'elle en utilisant des marqueurs de genre, comme des accords grammaticaux (« heureux » ou « heureuse »), des pronoms (il / lui, elle, iel / ellui, etc.) ou des noms communs (fille, meuf, garçon, mec, cousin, cousine …).
En Français, le "neutre" n'existe pas, et à l'origine c'était plutôt masculin (preuve aussi que cela va devoir/pouvoir évoluer). Si vous ne voulez pas utiliser "Madame, Monsieur", alors il faudra certainement adapter au contexte voire à la personne, le plus facile étant "cher collègue" ou "cher(s) confrère(s)".
– iel est le pronom “non-binaire” le plus courant, il est utilisé par certaines personnes non-binaires et peut également servir pour parler d'une personne dont on ne connaît pas le genre.
La formulation neutre privilégie l'utilisation de noms, d'adjectifs et de pronoms qui ne présentent pas d'alternance masculin/féminin tout en ayant un genre grammatical qui leur est propre. Ces mots désignent aussi bien des personnes non binaires que des personnes s'identifiant au genre féminin ou masculin.