L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
(Interjection) (Années 1990) Expression originaire de l'arabe dialectal du Maghreb, elle signifie « bien fait (pour toi) ». Elle s'accompagne, surtout chez les enfants, par un poing fermé qui frotte la paume ouverte de l'autre main.
Chheh (en sindhi ڄي, čheh, ou simplement ڇ) est une lettre additionnelle de l'alphabet arabe utilisée dans l'écriture de l'od, du sindhi et du torwali.
En arabe, “cheh” est une interjection qui signifie “bien fait”, “bien mérité”, “la honte”, “tu l'as bien cherché” ou de façon plus vulgaire “bien fait pour ta gueule”. Les enfants utilisent “cheh” pour se moquer de leurs camarades ou des déboires de ces personnes.
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
Cheh est un mot qui vient de l'arabe et qui signifie "Bien fait, bien mérité, tu l'as bien cherché » ou, plus vulgairement, « bien fait pour ta gueule ». Il a la même signification en arabe et en français. Ce mot s'accompagne parfois d'un geste : un frottement du pouce sous le menton.
En anglais, sheesh est attesté depuis le milieu du XXe siècle. Cette interjection a d'abord été utilisée pour exprimer un sentiment d'ennui ou de surprise. Dans ce sens, elle équivaut un peu à oh my god (« oh mon dieu »).
Le mot Wesh vient de l'expression arabe "Wesh rak", qui se traduit par "Comment vas-tu ?". L'expression "Wesh" est principalement utilisée par les adolescents pour se saluer.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Être énervé, en colère, dégoûté.
Le terme « seum » vient étymologiquement du mot arabe « sèmm » qui signifie « venin ». Autrement dit, quand on a « le seum », « on a la rage ».
chiard, lardon, merdeux, minot, môme, morpion, mouflet, moutard, tipeu.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟
stop ! n'avancez plus ! قِفوا!
Cheh vient de l'arabe maghrébin. En arabe aussi, ce mot signifie « bien fait » et s'utilise de la même façon. On dit aussi cheh fik , c'est-à-dire « bien fait pour toi ». Ce mot existe en français au moins depuis le dernier quart du XXe siècle.
exp. ما المقصود بذلك؟
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
5. Chiner : Draguer. Exemple : « En soirée, il est toujours en train de chiner ! »
Le «crush» est, dans le jargon des ados, un «coup de cœur»,un «béguin». On ne dit plus «avoir un petit faible» ou «un penchant» pour quelqu'un mais «avoir un crush». Le mot vient de l'anglais.
A toz, bendo, cheh, lové, chourav...