Pourquoi n'écrit-on pas « je me suis dis » ? Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
On écrit toujours je lui ai dit avec un t à la fin et avec le mot ai en deux lettres.
Le verbe dire est irrégulier au présent de l'indicatif. Je dis ; tu dis ; il, elle, on dit ; nous disons ; vous dites ; ils, elles disent.
Important! Le verbe dire est un verbe du deuxième groupe. Il est transitif direct et peut se conjuguer à la forme pronominale (se dire). Le verbe dire se conjugue avec l'auxiliaire avoir.
Précisons que notre possessif jusque-là invariable devra s'accorder s'il se retrouve accolé à un déterminant. Exemple: «Je le leur ai dit», «Ils ont acheté des manteaux. Ce sont maintenant les leurs».
Exemple : ''Je dois lui parler.'' Le verbe "devoir" fait partie du troisième groupe. On écrit bien "dois" avec un "s" à la première personne du singulier au présent de l'indicatif.
Mentir perd le t du radical au présent de l'indicatif, aux deux premières personnes du singulier : je mens, tu mens, et à l'impératif, à la deuxième personne du singulier : mens !
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
- et pour tous les autres verbes, la terminaison est soit en "s" pour un grand nombre de verbes (gravir, ralentir qui appartiennent au 2e groupe et voir connaître qui appartiennent au 3e groupe), soit en "x" (pouvoir vouloir ) avec je.
On rencontre souvent une hésitation entre eh et et , mais l'orthographe et ben dis donc n'est pas admise. La même hésitation touche des expressions semblables, comme eh oui , eh bien , qui sont également construites à partir de l'interjection eh . Et ensuite, on écrit dis donc en deux mots, sans trait d'union.
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle). Cependant, cette règle est mal respectée, par beaucoup d'écrivains et désormais, par l'usage, ainsi même Grevisse renonce à l'imposer. Tout cela explique de nombreuses hésitations.
« te », pronom personnel, est complément d'objet second (COS) : transmettre quelque chose (COD) à quelqu'un (COS). La forme « transmet » correspond à la troisième personne du singulier du verbe transmettre à l'indicatif présent. Exemples : Je te transmets le contrat dès que je l'ai signé.
J'aime « lui » : je l'aime (lui). J'aime « toi » : je t'aime. Tu aimes « moi » : tu m'aimes. C'est le sujet qui conjugue le verbe (je), pas l'objet (lui/elle) même si ici cela ne changerait rien.
Avec le sujet JE (première personne du singulier), le verbe conjugué à l'indicatif n'a que quatre terminaisons possibles : -S, -E, -X, -AI. Cette astuce peut servir de stratégie de correction et éviter de nombreuses erreurs en conjugaison.
J'ai donné une boite à mon chat, je lui ai donné une boite.
2- Je ne compte plus les amis que j'ai appelés en vidéo pour prendre l'apéro ! Parce que le participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir (ai), il peut être tentant d'écrire « les amis que j'ai appelé ». Sauf que le complément d'objet direct (COD), « les amis », est placé avant le verbe.
On écrit toujours « j'ai mis » : Même si on écrit au présent « je mets » et que le radical du verbe « mettre » se termine par un -t, le participe passé du verbe mettre est « mis » avec un -s.
me (m' devant une voyelle ou un h muet)
1. A la fonction de complément d'objet direct avant le verbe ou l'auxiliaire : Cela me fatigue. 2. A la fonction de complément d'objet indirect ou d'objet secondaire avant le verbe ou l'auxiliaire : Cela m'est égal.
déclarer, exposer, exprimer, formuler, observer, parler, proférer, prononcer, rapporter, relater, répliquer, soutenir. 4. Réciter, lire à haute voix.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».