Et pour ce verbe du troisième groupe, au présent, les terminaisons du singulier sont -s , -s , -t : je m'en fous , tu t'en fous , il s'en fout (et donc aussi on s'en fout ).
“Je m'en balance”, ils ne le disent pas ; “je m'en tape”, ils ne le disent pas ; et “je m'en fous”, on leur interdit. Donc, quand ils le disent, on dit : « On ne dit pas “je m'en fous”. » parce que c'est trop grossier.
Ils signifient tous les deux "je m'en moque" mais ne sont pas du même registre de langue. "je m'en fiche" est familier. "je m'en fous" est vulgaire.
Attitude de quelqu'un qui manifeste une totale indifférence à l'égard de ce qui devrait normalement l'intéresser, à l'égard de toute chose ou de tout le monde.
C'est l'organe reproducteur masculin et quand on dit cette expression que je viens de dire, eh bien, ça veut dire “je m'en fous, je m'en moque, je m'en fiche”, mais ça veut vraiment dire d'une façon très très grossière. C'est du français authentique malheureusement.
Il y a le « je m'en fous » égocentré qui est une protection, un évitement provenant du vécu de la personne qui se mure. Il y a le « je m'en fous » équanime, qui signifie ça m'est égal, tout me va, signe d'une grande ouverture, d'une absence de peur d'être vulnérable car il y a confiance sans contrôle.
Locution verbale
(Familier) Se désintéresser ou être totalement indifférent de la chose ou personne en question.
déf.
Et pour ce verbe du troisième groupe, au présent, les terminaisons du singulier sont -s , -s , -t : je m'en fous , tu t'en fous , il s'en fout (et donc aussi on s'en fout ).
(ne s'emploie plus en psychiatrie) Personne atteinte de troubles, de désordres mentaux. ➙ aliéné, dément, malade mental. Fou furieux.
“ma” est un « déterminant possessif ». On le trouve devant un nom féminin et singulier. “m'a” est constitué d'un pronom personnel (m apostrophe, mis pour moi), accompagné du verbe avoir conjugué à l'indicatif présent et à la 3e personne du singulier. Il m'a donné un fruit.
Verbe. (Se ficher de quelque chose ou quelqu'un) Négliger ; ne pas attacher d'importance. (Se ficher de quelque chose ou quelqu'un) Déconsidérer, se moquer de quelqu'un, rire de lui. M.
Locution verbale
(Très familier) Se désintéresser ou être totalement indifférent de quelqu'un ou de quelque chose. — Oh! toi, tu t'en fous.
On écrit c'en est trop. Le C' est une abréviation, un raccourci de "cela" : "Cela est trop". S'en avec un S est la forme que l'on trouve avec certains verbes pronominaux, ceux qui se construisent avec un pronom : se moquer, se souvenir, et c'est le S de ce pronom que l'on retrouve dans s'en moquer, s'en souvenir.
S'en moquer, ne pas y donner de l'importance, peu importe.
L'Académie française nous éclaire encore. Lorsque le pronom qualifie «un sujet dont on ignore le sexe ou le nombre», «des personnes indéterminées», l'usage veut que le participe ait un genre non marqué. C'est-à-dire un masculin singulier. Pour être correct, on préférera donc écrire: «On n'est pas sûr d'y arriver.»
Impassible = qui ne manifeste aucune émotion. Impavide = qui n'éprouve ou ne manifeste aucune peur. Impassible se dit dans tous les registres, impavide est littéraire et rare.
➙ blagueur, goguenard, gouailleur. Inspiré par la moquerie. ➙ ironique, narquois, railleur.
nom Faire l'ignorant. Qui manque de connaissance ou de pratique (dans un certain domaine). Qui manque d'instruction, de savoir. ➙ ignare, inculte.
bambin, bébé, gamin, gamine, tout-petit. – Familier : bout de chou, bout de zan, chérubin, gosse, marmot, mioche, moustique, moutard, pitchoun, pitchounet, poussin, puce, tête blonde. – Populaire : chiard, lardon, loupiot, loupiote, minot, môme, morpion, mouflet, têtard.
taper v.t. Donner volontairement un ou des coups à quelqu'un, un animal... taper v.t. ind.