Par exemple, si vous avez besoin de soulager un mal de tête après avoir trop pleuré, un peu de repos et un grand verre d'eau devrez vous aider à aller mieux.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication).
Sans gravité, ce type de céphalée peut se traiter facilement grâce à des médicaments antalgiques en vente libre en pharmacie comme le paracétamol, l'ibuprofène ou l'aspirine. Attention cependant à ne pas en abuser, si vos maux de tête se répètent de manière rapprochée, parlez-en au plus vite à votre médecin.
Lorsque le mal de tête survient, la stimulation du point 4GI (4ème point du Méridien du Gros Intestin) peut aider à soulager la douleur. "Il se trouve sur la main, dans le pli entre le pouce et l'index. Les points d'acupuncture 7P (Poumon) et 20 VB (Vésicule Biliaire) agissent aussi sur les maux de tête.
Pour le mal de tête
Massez la partie supérieure de vos orteils les uns après les autres en insistant bien. C'est ici que se trouvent les nerfs reliés à la tête. On peut notamment masser le dessous des pieds avec de la menthe poivrée, très réputée pour les maux de têtes.
Quand faut-il consulter un médecin ? En cas de migraine qui ne passe pas ou de maux de tête s'accompagnant de douleurs dans la nuque qui vous gênent, même si dans la plupart des cas, il n'y a rien de grave, vous pouvez consulter votre médecin traitant pour qu'il vous donne un antidouleur adapté pour les faire passer.
Des céphalées inhabituelles chez une personne migraineuse
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
en urgence (appelez le 15 ou le 112) si votre mal de tête est intense, soudain ou inhabituel, ou si vous présentez d'autres symptômes comme de la fièvre, une tension derrière la nuque, des vomissements, des troubles oculaires ou de la locution, un affaiblissement général, une sensation de malaise ou des convulsions.
– On sait que l'exercice physique régulier a des effets directs sur le stress. – Oui, l'organisme en a besoin pour décharger les tensions accumulées. Une activité soutenue libère des endorphines, les hormones du bien-être.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Autre source de fatigue, les muscles qui sont sollicités pendant que l'on pleure sont généralement très peu mobilisés. En effet, pleurer implique des muscles comme ceux de la poitrine, du menton ou encore de l'intérieur de la gorge. Le peu d'utilisation que l'on en fait en général facilite la sensation de fatigue.
Lorsqu'un mal de tête est déclenché par un trouble de la vision, la douleur est localisée autour des yeux ou au niveau du front. Ce type de douleur doit vous encourager à aller consulter un ophtalmologue. Fréquemment, ce trouble de la vision à l'origine de maux de tête n'est autre que de l'hypermétropie.
se manifestent surtout au niveau du front et de la nuque. Ce sont des douleurs perçues comme une pression ou un serrement exercé sur ces parties de la tête. La douleur peut augmenter de manière progressive ou apparaître brusquement.
Les différents types de maux de tête
Plusieurs causes peuvent expliquer ces maux de tête quand ils surviennent au réveil : Vous êtes déshydraté : pensez à bien boire avant de vous coucher. Vous avez un peu trop bu la veille. Vous vivez une période de fatigue ou de stress.
Au niveau du tronc cérébral il y a une zone qui est le centre du vomissement. Les neurones reçoivent alors toutes sortes d'informations incluant des sensations digestives ou de stress et stimulent le "nerf vague". Ce nerf déclenche une contraction du diaphragme et des muscles digestifs.
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
Bien des troubles peuvent favoriser l'apparition de maux de tête : un problème dentaire, un manque de sommeil, une infection ORL, le stress, des troubles de la vision non détectés ni corrigés, certains médicaments, une hypertension artérielle, les fluctuations hormonales (syndrome prémenstruel), etc.
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
Le stress est un facteur important de migraine. En cas de stress, la sécrétion de sérotonine baisse, ce qui provoque un effet vasoconstricteur sur certaines vaisseaux du cerveau. Paradoxalement, la hausse du niveau de sérotonine et le retour au calme peuvent aussi déclencher un épisode migraineux.