TikTok a mis en ligne un Centre de sécurité qui propose des outils pour paramétrer son compte et des ressources, dont une page de conseils en cas de harcèlement et un guide à destination des parents.
Le harcèlement en ligne est un harcèlement s'effectuant via internet (sur un réseau social, un forum, un jeu vidéo multijoueurs, un blog...). On parle aussi de cyberharcèlement. Les propos en cause peuvent être des commentaires d'internautes, des vidéos, des montages d'images, des messages sur des forums...
En cas de cyber-harcèlement, vous pouvez contacter le 3018 par téléphone ou télécharger l'application 3018, gérés par l'association E-Enfance. Au-delà de l'écoute et du conseil pour le prise en charge des victimes, vous pouvez signaler toute situation de harcèlement.
Il est interdit de publier, télécharger, diffuser en direct ou partager : tout contenu qui viole ou enfreint les droits d'auteur, les marques de commerce ou autres droits de propriété intellectuelle d'autrui.
Depuis quelques années, le cyber-harcèlement s'est fortement répandu du fait de l'évolution technologique. Dans la majorité des cas, ce sont les jeunes âgés de 18 à 24 ans qui en sont victimes, souvent sur les réseaux sociaux.
S'il n'est pas traité, il peut avoir des conséquences graves sur la santé physique et mentale et engendrer des problèmes comme les maladies cardiaques, l'insomnie et la dépression.
D'ailleurs la moitié des Français a peur du cyberharcèlement pour ses proches (50%) et 3 sur 10 s'inquiètent d'en être directement victimes. Encore plus alarmant, 83% des parents d'enfants de moins de 18 ans se disent inquiets pour leurs enfants (51% sont très inquiets).
La principale cause du cyber-harcèlement est l'anonymat qui régit l'utilisation d'internet. Derrière un écran, il devient facile d'insulter ou de harceler. Via l'absence de face à face et la rapidité à laquelle il est possible de diffuser massivement et instantanément, on se sent tout-puissant.
Les harceleurs pensent être protégés s'ils utilisent un faux nom ou un faux compte pour attaquer les autres. Ce manque de responsabilité favorise une culture en ligne qui permet au cyberharcèlement de fleurir. Mais l'activité sur Internet peut toujours faire l'objet d'un suivi même en cas de comptes avec de faux noms.
Le cyberharcèlement est une forme de harcèlement qui se manifeste au moyen des technologies du numérique. On peut y être confronté sur les réseaux sociaux, dans une messagerie, lors de sessions de jeu en ligne et sur les téléphones portables.
C'est une fonctionnalité qui pourrait être très appréciée par certains vidéastes. TikTok teste actuellement une nouvelle option qui permet de limiter l'accès aux livestreamings aux spectateurs âgés de 18 ans et plus. À noter que cette option n'est pour l'heure accessible qu'à un nombre restreint d'utilisateurs.
TikTok est recommandé pour les plus de 12 ans dans l'Apple App Store et est classifiée comme une application appropriée pour les adolescents dans le Google Play Store. Ainsi, les parents peuvent accéder aux contrôles disponibles sur les appareils Apple ou Android.
Le jumelage familial permet aux parents de lier leur compte à celui de leur enfant pour contrôler leurs paramètres à distance. Par exemple, les parents peuvent activer le mode restreint et les limites de temps d'écran et désactiver les messages directs directement depuis leur propre téléphone.
Si la plupart du temps, ils s'adonnent à des activités inoffensives, les prises de risque et les cas de victimisation ne sont pas rares pour autant. Un courant de recherche sur la question du cyberharcèlement, voire de la cyberviolence ou cyberagression, s'est développé depuis la fin des années 1990.
Le cyberharcèlement est malheureusement une pratique répandue sur internet. Les victimes subissent intimidations, insultes, moqueries, piratage de comptes et usurpation d'identité. Si le harcèlement de rue est ponctuel, le cyberharcèlement est continu. Ces actes ont de lourdes conséquences sur les victimes.
La peine maximale peut aller jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 € d'amende si la victime a moins de 15 ans. Si l'auteur est un mineur de plus de 13 ans et la victime a plus de 15 ans, il risque 12 mois de prison et 7 500 € d'amende.
En contactant le support TikTok ! Ce faisant, il faut remplir le formulaire mis à votre disposition sous l'URL suivant : https://www.tiktok.com/legal/report/feedback ( le sujet à choisir est la « suspension et le bannissement de compte » ).
Contacter l'assistance clientèle de TikTok
Lorsqu'un compte Tiktok banni est temporairement suspendu, l'utilisateur reçoit un e-mail de TikTok. Dans ce cas, vous pouvez soit attendre 24 à 48 heures (jusqu'à ce que votre compte soit rétabli), soit contacter le support client officiel à ce sujet.
Suivant des règles dictées par le gouvernement chinois, l'application entend limiter l'addiction des millions de jeunes utilisateurs de smartphones aux réseaux sociaux. Le gouvernement chinois ne veut plus que les plus jeunes passent des heures à faire défiler des vidéos TikTok.
TikTok et WeChat seront supprimés des App Store US le 20 septembre. Fin novembre, TikTok a été accusé d'avoir transféré des données privées d'utilisateurs à des serveurs en Chine, malgré l'assurance donnée par la société qu'elle n'y stocke pas de données personnelles.