Pour libérer sa conscience, il va avoir tendance à vous dire la vérité et avouer : « Bah non, je ne t'ai pas volé 100€. Je t'ai volé seulement 30€, je suis désolé. Je vais te les rendre mais ne m'accuse pas de t'avoir volé beaucoup plus. »
Par exemple si vous dites : « je suis désolé que tu te sois énervé à cause de ce que j'ai fait », ce ne sont pas de vraies excuses, mais plutôt une expression faible de votre pitié ou de votre compassion. Vous devez être plus direct(e), par exemple « je suis désolé de ce que j'ai fait » et c'est tout.
Par exemple, au moment de dire “non”, tourner la tête vers la gauche serait un “vrai non” (dire “non” et penser “non”), à l'inverse, tourner la tête vers la droite serait un “faux non” (dire “non” mais penser “oui”, ce qui lui donnerait le statut d'un indicateur du mensonge). [...]
"Lorsque les gens disent la vérité, la plupart regardent de temps à autre autour d'eux et peuvent même regarder au loin de temps en temps. A l'inverse, les menteurs auront un regard froid, ferme pour intimider et diriger". Faites également attention à ceux qui clignent rapidement des yeux.
- Soyez calme, confiant, en contrôle, regardez-le reculer sur sa chaise, s'agiter, se gratter la tête, agiter les pieds ou les mains, autant de signes qui montrent son inconfort et sa faiblesse. A la fin de l'entretien, proposez-lui une explication qui lui permette d'accepter le mensonge sans perdre la face.
Exercez-vous à parler devant un miroir.
Prenez le temps de rassembler vos pensées. Écrivez ce que vous voulez dire. Exercez-vous avec un ami en qui vous avez confiance. Simulez une situation réelle avec un professionnel, comme un psychologue, capable de vous donner une opinion honnête et objective.
Comment lui faire cracher le morceau ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la technique la plus efficace ne consiste pas à lui poser des questions « pièges » pour le déstabiliser. La meilleure façon de faire, c'est d'affirmer quelque chose.
Elle consiste à parler de soi plutôt que de parler de son interlocuteur et éviter de le placer dans une position d'accusé." Rappelez à votre chef ce que vous avez vu ou entendu et pourquoi cela vous affecte. "C'est le moment de donner à votre manager votre opinion, votre ressenti, confirme Marie-Luce Dubois.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Maîtrisez vos émotions
Souvent, une conversation nous paraît difficile parce qu'on est engagé émotivement avec ce qu'on a à dire ou avec la personne en face de nous. Alors, la première chose à faire est de vous distancier de vos émotions. C'est la condition sine qua non pour vous donner le courage de parler.
Exemple de phrases assertives
Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne suis pas d'accord. Pourrions-nous prendre un moment pour parler d'un point sur lequel je ne suis pas satisfait ? Je comprends que tu as du mal à travailler avec Brice, mais ce projet doit être fini d'ici vendredi.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Encore faut-il maîtriser le débit de votre voix. Souvent quand on est stressé, on a tendance à parler vite. Il faut donc se servir de ce stress pour exprimer son enthousiasme et sa vivacité, tout en essayant de ralentir son discours. Et n'oubliez pas de parler suffisamment fort pour les personnes au fond de la salle.
En fait, identifier une personne honnête est très simple : Il y a un synchronisation parfaite entre sa communication verbale, ses gestes et les expressions de son visage. Si une personne te dis qu'elle est contente, alors analyse ses micro expressions pour savoir si son visage indique la même émotion.
Il n'existe pas de traitement à proprement parler de la mythomanie. Une prise en charge psychiatrique ou psychologique peut aider à diminuer la mythomanie, mais bien souvent, les patients atteints n'ont pas conscience de leur trouble.
Quand un menteur est découvert, soit il s'énerve, soit il fait la victime.
Tenez compte des sentiments de votre interlocuteur et choisissez une approche aimable et non menaçante. Utilisez des mots constructifs, en particulier si vous donnez des conseils ou demandez à quelqu'un de faire un changement. Validez ce que la personne ressent, évitez de l'accabler et évitez de porter des jugements.