La pleine conscience peut être pratiquée de deux façons : Formelle : en prenant un temps d'arrêt en position assise ou debout pour méditer. Informelle : en portant l'attention sur chaque instant de l'activité quotidienne réalisée.
La Pleine Conscience (mindfuness en anglais) est la conscience qui se manifeste lorsque l'on porte attention intentionnellement et de manière non jugeante sur l'expérience du moment présent. La Pleine Conscience s'entraîne par la méditation formelle et des pratiques informelles.
Accepter d'avoir mal, aussi, pour finalement aller beaucoup mieux. Accepter les doutes, les remises en question, les failles. Accepter de ne pas entrer dans le moule, d'être trop cabossée, différente. Et puis créer ma propre route, mon chemin, celui qui me correspondait vraiment.
Pour ouvrir sa conscience, il faut pour commencer voir et apprendre les leçons de la vie. Regarder en arrière et accepter ce qui a été pour mieux accepter ce qui est maintenant.
La réduction de l'anxiété, du stress et l'amélioration de la concentration et de la créativité sont les bénéfices principaux de la pleine conscience. Ses bienfaits sont de plus en plus utilisés pour soigner les affections liées au stress.
La pleine conscience consiste à prêter attention au moment présent, c'est-à-dire à nos pensées, à nos émotions et à nos sensations corporelles, sans les qualifier de « bonnes » ou « mauvaises ». Elle aide à se détendre et à composer avec le stress et la frustration.
Cela diminue les tensions interpersonnelles et raréfie les conflits. La pleine conscience harmonise corps et esprit et rend plus heureux. “Je me sens plus détendu, serein, calme” (participant)
Observer ses pensées en prenant de la distance, tout en concentrant son attention sur son souffle et ses sensations physiques, aide à trouver un état de calme et à glisser vers le sommeil. Laissez-vous guider pour cet exercice de méditation qui peut vous aider à trouver le sommeil.
Le manque de régularité est évidement une des raisons primordiales. On ne le dira jamais assez, le plus important dans tout travail de méditation, c'est la régularité. Faire une séance par semaine, cela peut vous détendre, mais ne vous fera pas évoluer en profondeur.
Posez vos mains sur vos genoux ou sur vos cuisses, sans crispation. Vous pouvez à présent respirer librement. Allez-y progressivement. Commencez par 5 minutes de méditation, puis allongez progressivement la durée jusqu'à 10 minutes lorsque vous vous sentez à l'aise.
Le plus simple est la méditation par la respiration : faites le point plusieurs fois par jour en prenant 5 respirations profondes à la suite. Inspirez par le nez et expirez par la bouche. Et pour utiliser la respiration comme moyen de vous détendre, découvrez plus d'exercices de respiration pour combattre le stress.
Jon Kabat-Zinn, professeur de médecine émérite à l'université du Massachusetts, docteur en biologie moléculaire, 68 ans, est l'inventeur de la méditation laïque, dite "de pleine conscience".
La méditation en pleine conscience est désormais intégrée auprès des patients à l'hôpital. Le programme de méditation MBCT (thérapie cognitive basée sur la pleine conscience) spécialement adapté aux personnes souffrant de dépression, permettrait de réduire de moitié les risques de rechutes à un an.
La méditation stimule le cerveau
La méditation favorise l'attention, la mémoire et limiterait les effets de l'âge sur le cerveau. Ainsi, des chercheurs de Harvard ont montré que la méditation accroît la quantité de matière grise liée à la concentration dans le cerveau.
Une séance de méditation permet de se relaxer. Cette pratique fait prendre conscience que l'esprit est sujet à un affluence de pensées qui peuvent provoquer stress et idées négatives. Le principe de la méditation permet de sortir des automatismes que nous imposons à notre esprit et à le recentrer sur l'essentiel.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
La conscience, propre de l'homme, peut aussi le faire sombrer dans la misère au point de le ramener au rang d'un objet victime de la nature, victime de sa propre conscience.
Dès 18 mois, l'enfant développe en effet une conscience de soi en concert avec celle d'autrui. Ce développement est l'expression d'une coconscience de soi où l'enfant devient conscient de lui-même dans sa dépendance aux autres, de même qu'en fonction et au travers du regard d'autrui.
Une conscience spirituelle signifie que les gens commencent à se penser moins en tant qu'individu, mais plus en tant que partie d'un système plus large. Ils reconnaissent que toutes les choses proviennent de la même source et partagent une connexion.