Un travail sur soi, bien souvent sous la forme d'une aide professionnelle, aidera ainsi la personne atteinte par un sentiment de
Pourquoi jouent-elles le rôle de victime ? Les personnes qui deviennent victimes ont souvent une faible estime de soi. Ils ne font pas confiance à leur potentiel. Ils croient qu'ils ne sont pas capables de surmonter les obstacles de la vie et de gagner l'admiration des autres par leurs propres efforts.
Aussi la victime :
Ne fait pas confiance à son propre jugement. Croit que le monde se porterait mieux sans elle. N'arrive pas à faire les choses aussi bien que tout le monde. Se comporte comme si tout lui était égal.
Une situation de harcèlement moral se définit selon 3 critères : La personne est victime de paroles et/ou de comportements violents, La personne subit cette violence de façon répétée et/ou régulière, La personne observe des conséquences négatives sur sa santé physique et/ou mentale.
Lorsqu'on se sent agressé par les autres, c'est généralement qu'on a peu confiance en soi. Il n'est pas possible de faire face aux autres quand on n'a pas une construction solide de soi-même. ➜ Par conséquent, il est plus facile de ressentir une agression. On va être aussi plus facilement vexé à la moindre critique.
"Jamais de ma faute" : l'origine de ce comportement
"Cette attitude témoigne d'une fragilité narcissique, d'un manque de confiance. La structure psychologique de la personne n'est pas assez solide", complète la psychologue Veronica Olivieri-Daniel.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Les personnes souffrant d'un complexe de victimisation se choisissent souvent un modèle. Il s'agit généralement de quelqu'un qui a préféré souffrir plutôt que de se confronter à une situation dans le but d'atteindre un objectif donné.
Il manipule constamment l'entourage pour le monter contre sa proie et l'isoler. Il se victimise notamment. Il se fait passer pour la victime de sa proie, car il projette sur elle ses caractéristiques : manipulatrice, perverse, folle, méchante, violente, ...etc.
Le psychorigide ne se remet jamais en question... Ce comportement peut glisser vers le type dictateur ou encore manipulateur, ... On détruit l'autre et soi par le biais de tel comportement. Ce sont des personnes qui "victimisent" l'autre.
La personne ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions. La personne répond très souvent de façon floue. La personne change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations. La personne invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes.
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
"Un paranoïaque se caractérise par un "moi" fragilisé et nourrit des fantasmes sur un objet extérieur, qu'il considère comme dangereux pour lui-même. Il a l'impression qu'on lui en veut, qu'on le trompe, qu'on a l'intention de lui nuire ou de le manipuler. Des angoisses qui peuvent aller jusqu'au délire."
Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.
L'abus émotionnel est un comportement psychologiquement destructeur de la part d'une personne en position de pouvoir, d'autorité ou de confiance, qui comprend une attaque continue sur l'estime de soi d'une personne.
La charge émotionnelle de cette culpabilité est très lourde. La première chose à faire pour vous en libérer est d'accepter et de comprendre vos émotions, et surtout de ne pas les réprimer. Faites l'exercice suivant : écrivez une lettre avec tout ce qui vous préoccupe, sans omettre de détails.