Vous pouvez dire par exemple : « J'ai besoin d'encouragements et pas seulement de critiques pour rester efficace dans mon travail ». L'idée, ça n'est jamais de critiquer l'autre, et surtout pas son boss ! L'idée, c'est de vous donner de meilleures conditions de fonctionnement.
Il faut oser s'affirmer, parler en terme de Je. Si on doit absolument parler de ce que l'autre a fait qui nous a déplu, il faut parler du comportement de l'autre et non de sa personne. Il y a toujours façon de s'affirmer de façon délicate, pas comme un bulldozer.
Oui, j'ai du temps la semaine prochaine, mais pas assez pour prendre ce projet. Peux-tu m'expliciter ton propos pour que je comprenne vraiment ce que tu essaies de dire ? Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne suis pas d'accord.
Pour arrêter de travailler, nul besoin de changer le monde ou le système économique actuel. Il s'agit, avant toute chose d'un travail individuel. Il sera plus facile d'agir sur des choses dont vous avez le contrôle. Comme sur sa consommation, son train de vie, la gestion de son temps et celui de son argent.
REPLAY - Garder ses émotions à l'intérieur est une souffrance psychologique, qui devient, à terme, une souffrance physique. Il ne faut plus prendre sur soi. Quand on est énervé, on essaie de ne pas sortir la rage qui nous obsède et qui nous dévore, d'où l'expression prendre sur soi, rester calme.
Souvent, une conversation nous paraît difficile parce qu'on est engagé émotivement avec ce qu'on a à dire ou avec la personne en face de nous. Alors, la première chose à faire est de vous distancier de vos émotions. C'est la condition sine qua non pour vous donner le courage de parler.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Cela nous permet de s'extraire du jeu des comportements de passivité, d'agressivité, de pouvoir ou de manipulation. Cela nous aide à prendre notre place face aux autres, et de nous sentir légitime de le faire.
Les fortes personnalités sont généralement réfléchies et instruites. Parce qu'elles s'informent toujours avant de donner leur opinion, elles supportent très mal les personnes qui se permettent de juger sans savoir, note encore "Terrafémina".
Biaiser un débat. En réunion, vous donnez la parole en dernier au seul qui ne soutient pas votre projet : il lui faudra du cran pour s'élever contre trois premiers avis dithyrambiques !
Ignorer les réserves d'un salarié sur une mission. ...