L'absence des enfants est d'autant plus difficile à vivre que l'on se trouve dans un lieu familier, que l'on partage généralement avec eux. Si les moyens le permettent, bougez, même pas loin, chez des amis par exemple. Autre conseil, essayez d'organiser la garde par petites périodes.
Être en couple et ne pas avoir d'enfant n'est pas chose courante. Seules 3,5% des personnes en couple âgées de 18 à 50 ans affirment avoir l'intention de rester sans progéniture. Ce chiffre, stable depuis 1995, montre donc que le premier enfant fait partie du parcours conjugal attendu.
Communiquer avec son conjoint, exprimer sa tristesse et ce que l'on souhaite : adopter un enfant, essayer d'avoir un enfant avec des techniques de fécondation in vitro... Rencontrer des femmes ou des hommes confrontés à ce renoncement au désir d'enfant peut aussi aider à faire son deuil.
Le sentiment d'épanouissement que l'on ressent dans sa vie, que l'on décide ou non d'avoir des enfants, dépend d'une grande diversité de facteurs. Examinons d'abord la réponse simple : non, nous n'avons pas besoin d'avoir d'enfants pour être heureux et épanouis.
Ne pas avoir d'enfant malgré soi est encore un sujet largement tabou, mais il est possible de vivre une vie heureuse, épanouie, pleine de sens et agréable sans enfant.
73 % des Français ont fait un enfant par plaisir (il rend la vie plus belle ; c'est une nouvelle expérience…) 69 % par devoir (un enfant permet de faire perdurer sa famille ; il aide à devenir adulte…) 48 % par amour (un enfant donne de l'amour ; il rend plus solide la vie de couple…)
Si vous n'avez pas envie d'enfant, un chien peut largement remplacer un enfant. Il tient compagnie, il est doux et sensible, il a besoin de vous. Il vous sort même quand il pleut. Vous devez l'éduquer et le soigner.
Selon une étude de l'Ined, 5% des femmes et des hommes en France ne veulent pas d'enfant. Leurs raisons sont multiples : indépendance, éthique, ambition, absence de désir de maternité… Certains couples font aussi le choix de ne pas avoir d'enfant. Cette décision est souvent mal perçue par leur entourage.
Un autre réflexe à adopter est d'accepter de penser à soi. Le temps d'une heure, d'une soirée ou d'un week-end, laisser les enfants à des proches pour se recentrer sur soi permet de décompresser. Pour les parents en couple, cet instant permet de penser à l'autre et de retrouver les plaisirs de la vie amoureuse.
Il n'est pas nécessaire d'avoir des enfants pour être épanoui, même si en avoir peut favoriser le sentiment que la vie vaut la peine d'être vécue.
De nombreuses études suggèrent que les personnes mariées sont plus heureuses que les célibataires. Mais la plupart des recherches existantes sur ce sujet n'examinent que l'état matrimonial d'un individu à un moment précis et relient cette mesure unique à son bonheur.
Il est tout à fait possible de vivre une vie heureuse sans famille. Voici quelques idées pour y parvenir : Cultiver des relations significatives : même sans famille, il est possible de cultiver des relations significatives avec des amis proches, des collègues, des voisins ou des membres de la communauté.
En France, les jeunes quittent le nid familial en moyenne à 24 ans, soit un peu plus tard qu'il y a dix ans, où le départ du foyer se faisait à un peu plus de 23 ans, et un peu plus tôt que la moyenne européenne, qui est de 26 ans (Eurostat, 2019).
L'expatriation est souvent vécue au début comme une histoire amoureuse : c'est un rêve, un espoir d'une vie meilleure, un grand projet, une aventure incroyable. Ces sentiments nous poussent à avancer et à déployer l'énergie nécessaire pour mettre en œuvre ce projet.
Quand le non-désir d'enfant laisse place à l'inconscient
Parfois, cette volonté de ne pas avoir d'enfant peut révéler un traumatisme enfoui chez une personne ou une relation dysfonctionnelle au sein de sa propre famille. Il peut alors être nécessaire de consulter un.
Réchauffement climatique, éco-anxiété, inflation ou tout simplement vouloir rester libre, sans obligation parentale… les raisons pour ne pas vouloir d'enfants sont nombreuses et la parole se libère. Longtemps tabou, le désir de ne pas avoir d'enfant devient de plus en plus médiatique.
Santé mentale, pression sociale, crise environnementale, rejet des normes patriarcales, etc., toutes les raisons pour douter de l'envie d'être mère sont valides. Voici quelques-uns de leurs témoignages. Je suis, depuis toujours, fascinée par les personnes enceintes.
Tant que l'enfant est mineur (moins de 18 ans), il ne peut pas décider seul chez quel parent il vit. Mais il peut donner son avis. Quel que soit son âge, l'enfant a le droit d'être entendu par le juge.
On ne considère que les enfants célibataires et n'ayant pas eux-mêmes d'enfants (sinon ils forment une famille à eux seuls). Un couple sans enfants est considéré comme une famille, alors que la conception la plus commune de la famille associe un ou des parents et leurs enfants.
En fonction des causes de l'infertilité, un parcours de procréation médicalement assistée (PMA) peut être proposé. Il existe différentes techniques : l'insémination artificielle, soit avec le sperme du conjoint, soit avec celui d'un donneur.
Vivre seul n'empêche pas le bonheur, bien au contraire. C'est un mode de vie qui offre une liberté d'action incomparable. Vous avez le contrôle total de votre emploi du temps, de vos activités, de vos repas, sans avoir à faire de compromis.