Être davantage conscient et présent à ce qui se passe autour de soi et en soi, écouter davantage, prendre son temps, être prévenant, adopter une attitude positive et valoriser le bien-être de chacun dans le respect de ses différences.
La bienveillance envers soi est essentielle au bien-être mental global. Se traiter avec gentillesse aide à réduire le stress dans notre vie, mais cela favorise notre compassion, une émotion puissante qui nous permet de faire preuve d'empathie envers les autres et qui nous motive à leur prêter main-forte.
La bienveillance apparaît essentiellement comme une « attitude » qui se manifeste par l'œil ou le regard et par l'écoute. Elle est neutralité, disponibilité, présence, relation, tolérance, soin.
Pour propager la bienveillance, il faut aussi adapter ses attitudes et ses comportements en ce sens. En étant à l'écoute des autres, en faisant preuve d'ouverture et de flexibilité et encourageant les autres à faire de même, on peut montrer l'exemple à son entourage.
Développer une écoute empathique. Mieux utiliser les mots pour « se » dire. Mieux se définir à partir de nos ressentis, de notre sensibilité. Oser restituer autrement des violences qui ne sont pas bonnes pour nous.
Selon le Larousse la bienveillance signifie : “ Disposition d'esprit inclinant à la compréhension, à l'indulgence envers autrui”. En effet, être bienveillant c'est être enclin à appliquer des actions positives : “être ouvert au dialogue, être à l'écoute, être compréhensif, et vouloir faire le bien.
Une personne bienveillante est un individu qui fait preuve d'empathie et de gentillesse avec les autres. Par ses paroles, ses gestes et ses attentions, la personne bienveillante fait preuve d'optimisme et tire les personnes qui l'entourent vers le haut, en soulignant leurs qualités et leurs bonnes actions.
Faire des efforts pour aller vers l'autre
Prendre sur soi, ajuster ses propos, détecter les besoins ou les envies, calibrer le travail, saisir la difficulté... "La bienveillance nécessite des efforts, confirme le Dr Rodet. Attention donc à ne pas se laisser embarquer par un ressenti négatif, colère, rejet, lassitude...
Alors que l'empathie fonctionne comme un simple miroir des émotions d'autrui, la compassion implique un sentiment de bienveillance, avec la volonté d'aider la personne qui souffre.
Tâchons au contraire d'être attentif à notre propre ressenti car la personne la mieux placée pour en juger finalement c'est bien nous. Cette attitude favorise la tolérance envers soi-même. C'est un premier pas sur le chemin de l'acceptation de soi.
Ils peuvent provenir de votre famille, des institutions, de votre hiérarchie… Ils paraissent ne pas vous donner les clés d'une attitude bienveillante envers vous même, toutefois, vous semblez n'y trouver trop rien à redire. Vous vous conformez que ce soit pour plaire ou par peur de ne plus être aimé.
Selon lui, ces personnes vont adopter tous les signes extérieurs de la gentillesse (une voix douce, un sourire, des gestes doucereux) sans pour autant avoir l'intention de faire du bien. L'objectif est d'imposer l'obéissance, conclut-il. « La fausse gentillesse n'est pas destinée à tromper la personne à qui on parle. »
Le bien-être des employés s'en fait ressentir. Pourtant, la bienveillance est une des conditions d'une bonne qualité de vie au travail.
Différences. La bientraitance est plus axée sur des actions concrètes et des pratiques définies. La bienveillance relève davantage de l'attitude et du choix éthique, sans protocoles prédéfinis.
Être bienveillant avec ses collègues, c'est permettre à chacun de se réaliser dans son travail, de trouver sa place dans l'équipe, de faire savoir à l'autre qu'il peut compter sur vous et que vous pouvez l'épauler dans ses tâches.
Pourquoi être bienveillant(e)?
« En effet, lorsque nous réalisons une bonne action, être gentil ou à l'écoute par exemple, le circuit de la récompense de notre cerveau est activé, nous éprouvons alors de la satisfaction envers nous-mêmes et une certaine harmonie avec les autres s'installe.
Qui a ou marque de la bienveillance (opposé à malveillant). ➙ indulgent.
La bienveillance
Concrètement, il s'agit d'être à l'écoute de l'autre pour entendre ses besoins et ainsi mieux vivre avec.
Dans mon post du 4 janvier, je vous présentais les 3 formes d'empathie : empathie cognitive, empathie émotionnelle et bienveillance.
Une personne empathique comprendra les émotions d'une autre personne et pourra se mettre à sa place. Elle cherchera des solutions pour soulager et réconforter si besoin. Une personne souffrant d'un manque d'Empathie comprendra l'expression émotionnelle de son interlocuteur mais ne pourra pas se mettre à sa place.