En général un prologue se situe hors de l'action principale et même si parfois il peut contenir une scène, il ne doit pas nécessairement faire apparaître le personnage principal. Pour écrire un prologue, vous pouvez donc choisir un point de vue différent ou utiliser l'aide d'un
Le narrateur omniscient connaît tout des personnages et peut voir tous leurs faits et gestes. C'est le point de vue d'un dieu, d'un narrateur démiurge, qui sait tout sur les personnages.
D'abord, un prologue est court. Ce n'est pas un autre roman dans le roman ! Donc, 5 à 10 pages maxi pour un roman de 200 à 300 pages. Car le prologue est une sorte de synthèse de ce qui a pu se passer dans les temps, plus ou moins longs, qui précèdent le début du récit proprement dit.
Le prologue, qui pouvait mettre directement l'auteur dramatique en rapport avec le public, servait parfois à présenter une réfutation des critiques que la pièce précédente avait provoquées, ou encore sollicitait l'indulgence pour l'œuvre nouvelle.
Le prologue est la première partie d'une œuvre littéraire. Il fait office d'introduction. La plupart du temps, il situe le lieu mais surtout le contexte. Les personnages principaux ne sont pas toujours représentés mais on peut parler d'eux ou d'événements qui les touchent de près.
L'épilogue doit être un plaisir, un sursaut, un réveil, et surtout pas une conclusion soporifique que le lecteur primaire pourrait faire seul. Mieux, elle il doit pouvoir ouvrir un champ de reflexion au lecteur, reflexion qui se confronte à celle de l'auteur, ouvrant ainsi un débat avec de possibles divergences.
Parce que c'est le texte le plus détaché du récit, la préface lui succède, et le prologue suit. Le prologue, faisant pour ainsi dire partie de la narration est placé dans la plupart des cas juste avant le roman ou la pièce.
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
Pour écrire une bonne histoire, l'auteur doit lui donner une bonne substance. Les meilleurs héros sont ceux qui se sont fait tous seuls. L'auteur ne doit pas se laisser emporter ou aller trop loin dans son ouvrage.
C'était tantôt un des personnages de la pièce qui venait en indiquer d'avance ou même en détailler le sujet, tantôt le poète qui introduisait sur la scène, pour l'instruction du peuple, un Dieu ou un personnage fantastique, dont l'apparition se faisait à l'aide d'une machine.
5.5.2.
L'avant-propos, rédigé par l'auteur lui-même, est une courte présentation de l'ouvrage où l'auteur expose ses intentions. Il se compose généralement en romain. L'introduction, rédigée par l'auteur lui-même, est destinée à présenter la structure de l'ouvrage au lecteur.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.).
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back). Ce retour a souvent valeur explicative.
La préface est souvent écrite par une personne autre que l'auteur du livre. Certains auteurs sont parfois préfacés par d'autres pairs qui viennent exprimer leur admiration à l'auteur déjà reconnu. Cela peut également être un professionnel du monde du livre, comme un agent littéraire ou un éditeur.
Le premier écrivain du monde était en fait une écrivaine. La romancière et anthropologue Yara El-Ghadban nous parle d'une de ses inspirations : la prêtresse sumérienne Enheduanna, première personne de l'histoire de l'humanité à avoir signé son nom comme autrice.
Vers 1450, un orfèvre germanique, Johannes Gensfleisch, dit Gutenberg, met au point des caractères mobiles sur lesquels figurent en relief tous les signes nécessaires à l'écriture d'un texte.
L'épigraphe est toujours écrite à interligne simple, dans la moitié droite de la page (marge de gauche de 4,5' ou 10,5 cm environ, justification à droite ou centrée). On ajoute toutefois un espacement (5 ou 6 points) entre la citation et la référence qui la suit.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
Commencez par inscrire au tableau le titre du livre, l'éditeur, la date de publication ainsi que le nom de son auteur. Autre solution : vous projetez ces différents renseignements grâce au Power Point préparé à la maison. Cela vous permet d'y adjoindre une photo de l'auteur et le titre de ses autres ouvrages.