Pour obtenir l'action, vous devez fermes vos mains sur les rênes et les monter légèrement. Vous pouvez également reculer un peu vos épaules pour accentuer l'action. Dès que l'animal ralentit, cédez. Ouvrez vos doigts, baissez vos mains, décontractez vos jambes.
Redressez-vous au maximum sur la selle
Quand le cheval est au galop, essayez de vous redresser au maximum en mettant vos épaules en arrière. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur le pommeau avec l'une de votre main. Cette position légèrement en arrière signifie au cheval qu'il doit ralentir ou s'arrêter.
Lorsque votre cheval fait un écart ou panique, la meilleure solution est de faire comme si de rien n'était, ignorez le comportement de votre cheval (dans la mesure du possible) et félicitez-le au moindre signe de décontraction. Il comprendra ainsi que la décontraction est la bonne solution.
Lorsque vous êtes au galop, pour arrêter votre cheval, tirez progressivement la tête de votre cheval vers votre étrier. Faites le progressivement, car si vous tirez d'un coup sec il peut tomber ! (C'est d'ailleurs la méthode que les cascadeurs utilisent dans ce but).
Apprendre à utiliser le bassin et le poids du corps pour ralentir avant d'utiliser les mains. Il faut que vous sachiez qu'à partir du moment où vous tirez, vous alimentez le cercle vicieux. Le simple fait de tirer pour ralentir va permettre à votre cheval de s'appuyer et donc d'accélérer.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Plier les coudes lorsque le cavalier est assis et les tendre quand il se lève, tout en avançant le nombril en direction des mains et non l'inverse. Les bras ainsi articulés permettent aux mains de ne plus aller de haut en bas et sont alors fixées par rapport à la bouche du cheval.
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
S'il baisse la tête au galop, c'est sûrement signe qu'il cherche à tendre son dos et/ou de fatigue. Néanmoins, ce n'est pas une habitude à lui donner, pour des questions de sécurité + cela peut effectivement dégénérer en coups de cul.
Il peut avoir peur car une odeur lui rappelle quelque chose de désagréable ou est associée à quelque chose de désagréable. Il peut avoir peur car il entend un bruit que le cavalier ne perçoit pas / voit quelque chose derrière lui ou sur les côtés que son cavalier ne voit pas.
Il faut le faire reculer sans le toucher et sans avancer vers lui. en faisant des grands geste par exemple, ou des " pchhhiiit!
Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop. Mettez vous au trot assis de préférence. Placez vos aides et demandez le départ. Vous devez sentir la propulsion des postérieurs, votre cheval ne doit pas se jeter vers l'avant.
Avant de demander un départ au galop, il est impératif de trouver le bon trot, afin que la transition se fasse dans le confort. Installez vous sur un grand cercle, votre cheval doit être en équilibre, cadencé, et serein. Il ne doit pas anticiper. Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop.
Entre l'oreille et le toupet
Et comme en hiver c'est parfois le seul endroit où votre Tas'd'terre Horse n'est pas sale, si vous avez bien papouillé tout le reste, vous pourrez y faire un bisou sans risquer le coup de boule! Et en plus c'est tout doux….
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
Si il peut les utiliser en mangeant un aliment très dilué comme l'herbe, sa tension nerveuse s'abaisse progressivement en même temps que s'évacue l'énergie nerveuse stockée pour remplir cette fonction: on peut dire qu'il est heureux.
L'équinophobie ou hippophobie est une peur ou une panique d'origine psychologique, à l'égard des chevaux.
Vous devez toujours rester calme, une petite tape et un « non » ferme suffiront. Vous ne devez pas laisser votre cheval prendre le dessus sur vous de cette façon. De même, s'il menace de frapper, donnez-lui une tape sur la croupe, toujours avec un « non » ferme.
Pour conserver l'immobilité de votre cheval alors que vous bougez à côté de lui, établissez un contact physique en lui touchant la tête, rapprochez-vous de lui. Déplacez vous vers ses épaules en restant proche de lui, comme si vous alliez monter dessus. Il doit rester immobile, sans que vous ayez besoin de le tenir.
Une bonne astuce consiste à ralentir votre cadence du trot enlevé. Vous obligerez ainsi votre cheval à se caler sur votre rythme et non l'inverse. Pensez également à desserrer les doigts des rênes. Si vous êtes vous aussi nerveux, il y a des grandes chances pour que votre corps, et vos doigts, se crispent.
Pour ce qui est des jambes, c'est la même chose, vous déplacez vos épaules, ça va vous déplacer les hanches en même temps, vous allez avancer votre jambe pour pousser l'épaule extérieure pour que votre cheval tourne. Et plus vous voudrez tourner court et plus il va falloir pousser l'épaule extérieure.