Mise en œuvre : habituer le chien à rester seul d'abord sur des périodes très courtes puis de plus en plus longues toujours de manière progressive pour éviter tout risque de rechute. D'abord commencer le chien dans la même pièce puis en sortir avec porte ouverte puis porte fermée.
Ignorez-le 15 minutes avant de partir et faites comme quand vous partez pour très peu de temps comme quand vous allez à la boîte aux lettres. Faites-le plusieurs fois pour des courtes durées à longues durées. Déconditionnez votre chien de vos rituels de départ (mettre une veste, prendre son sac et ses clés…).
Le traitement du trouble d'anxiété de séparation repose sur une thérapie comportementale au cours de laquelle des séparations régulières sont systématiquement imposées. Les au revoir doivent être aussi brefs que possible et la mère doit être entraînée à réagir aux protestations de façon neutre.
Pour commencer, faites de grande balade à votre chien. Des balades ou il pourra courir et évacuer le trop plein d'énergie. 2 – Ensuite, on donne des jouets contre l'ennuie ! Ils stimuleront votre chien pendant votre absence.
Les plantes contribuent à calmer un chien nerveux et anxieux. L'aubépine, la valériane, la passiflore et le millepertuis ont des vertus ré-équilibrantes et favorables au bien-être de votre bête.
Quelques conseils pour éviter l'hyper-attachement : – Soyez à l'initiative des demandes d'attention. Si votre chien vient vous voir pour recevoir une caresse ou encore pour jouer, ignorez le. Appelez le plus tard pour le caresser ou jouer avec lorsque vous l'aurez décidé.
L'hyper-attachement, aussi nommé anxiété de séparation, provoquerait des comportements destructeurs, une malpropreté, des aboiements intempestifs, et même des comportements agressifs (jalousie, possessivité, etc.).
L'angoisse de séparation est une étape normale du développement des enfants qui survient vers l'âge de 8 mois et se termine vers l'âge de 18 mois. Lors de cette période, votre bébé est rassuré par votre présence.
développer un rituel d'au revoir bref et neutre : donner un bisou, dire au revoir et spécifier qui va revenir le chercher, puis partir. Prolonger le moment de la séparation avec un enfant en crise n'est pas recommandé.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Il est aussi recommandé de désacraliser les départs. En d'autres termes, on cherche à banaliser le moment où on sort de la maison pour y laisser le chien seul. Exit, donc, les caresses et les mots doux qui n'en finissent pas avant de s'en aller. Ce rituel ne fait que renforcer l'anxiété de séparation.
Voici quelques signes d'anxiété chez le chien : Comportements défensifs: immobilité, évitement, retrait, fuite, agression. Vocalisations, recherche de contact continuel avec une personne donnée. Halètements, salivation, tremblements, posture basse, oreilles tirées vers l'arrière, bâillements, léchage des babines.
Le chien est un animal sociable, qui a besoin de contact. C'est inné chez lui de chercher de la compagnie. De plus, le chien suit son être d'attachement, car souvent celui-ci lui apporte beaucoup de choses positives : la nourriture, les caresses, les jeux, les balades, et surtout la confiance.
L'avis de Nicolas Greveldinger, comportementaliste canin :
Pour un chien qui se sent très sûr de lui, dormir dans le lit avec son maître va renforcer ce penchant. D'autant que le lit, c'est le seul endroit où il est plus haut que les humains. Cela peut donc déstabiliser la hiérarchie familiale.
Si votre chien pleure ou hurle uniquement quand vous partez c'est qu'il exprime son anxiété. Il supporte mal la solitude. Ce comportement peut aller du simple gémissement au hurlement à la mort, comme un loup le fait pour réunir sa meute.
Un effet positif sur le sommeil
En effet, il semble que dormir avec son chien soit considéré comme rassurant pour les personnes interrogées, au point de réduire leurs troubles du sommeil. En outre, pour 40 % des 150 personnes interrogées qui dorment avec leur chien, des effets positifs sur le sommeil sont avérés.
Lorsqu'ils lèchent quelqu'un ou quelque chose ils libèrent des endorphines : ils peuvent donc vous lécher les pieds pour s'apaiser notamment suite à une situation stressante ou dérangeante. Il se peut également qu'un chien adopte ce comportement pour attirer votre attention.
L'idéal est un endroit confortable et sécurisant pour votre chien, où il pourra prendre du repos mais aussi se réfugier en cas de peur ou de volonté de s'isoler. Évitez donc les lieux de passage, car il serait sans cesse dérangé. Une pièce comme la cuisine, où l'on peut fermer la porte, est une bonne solution.
Il est aussi souhaitable de lui faire faire de l'exercice avant votre absence : une grande balade le fatiguera et il sera plus susceptible de s'endormir. Faire de l'agility ou de la nage est également un bon moyen de le fatiguer. Mettre de la musique pendant votre absence peut également calmer votre chien.
L'anxiété de la séparation adopte beaucoup de formes, l'une d'elles est le hurlement à la mort ou les pleurs chaque fois qu'il se retrouve tout seul à la maison. Votre chien se sent abandonné et il verbalise au moyen de hurlement déchirant.
Un chien peut rester seul entre 6 à 8 heures maximum, et ce à condition qu'il ait un accès à l'extérieur pour faire ses besoins. Notez que la durée supportée dépend également du caractère de votre chien et de son mode de vie. Un chien qui se dépense énormément aura bien plus de facilité à rester seul à la maison.