Le traitement des discopathies consiste surtout à soulager la douleur lors des crises. Pour cela, on utilise des médicaments antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxants, associés à du repos. Des infiltrations de corticoïdes peuvent être réalisées lorsque les douleurs ne sont pas soulagées par les médicaments.
La discopathie est responsable de douleurs de la nuque ou du dos, suivant l'étage vertébral touché. "Dans certains cas, elle peut se transformer en hernie discale et entraîner une compression des racines nerveuses.
En cas de discopathie, il convient de : favoriser les aliments alcalins tels que les légumes, les pommes de terre, etc. ; éviter les aliments acidifiants tels que les sucreries, la viande, etc. pour diminuer les douleurs inflammatoires, les acides aggravant l'inflammation.
Une discopathie peut affecter un ou plusieurs disques. En outre, le disque L5 et S1 est le plus souvent touché. C'est également l'une des maladies les plus courantes affectant la colonne vertébrale ! Si la discopathie est sévère, elle peut également favoriser l'apparition d'arthrose.
En cas de discopathie L4L5 ou L5S1, le médecin prescrit des anti-inflammatoires qui permettent de soulager les douleurs. "Les anti-inflammatoires cortisoniques sont plus efficaces que les anti-inflammatoires non stéroïdiens si la personne est vraiment bloquée" informe le rhumatologue.
Lorsque les douleurs de discopathie persistent à un niveau qui limite les activités de la vie quotidienne malgré un traitement médical (antalgiques, anti-inflammatoire, infiltrations) et une rééducation bien conduite, on peut envisager un traitement chirurgical.
Le traitement des discopathies consiste surtout à soulager la douleur lors des crises. Pour cela, on utilise des médicaments antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxants, associés à du repos. Des infiltrations de corticoïdes peuvent être réalisées lorsque les douleurs ne sont pas soulagées par les médicaments.
un déficit moteur au niveau des jambes et/ou des pieds, entraînant des difficultés à marcher voire une claudication neurogène (sensation de fatigue et/ou de fourmillement au niveau des jambes au bout d'un certain temps de marche, nécessitant de s'arrêter et/ou de s'asseoir).
Vous avez bien lu : il s'agit bel et bien d'un handicap ! Due à un déplacement puis à une réduction de volume d'un ou plusieurs « disques » permettant la mobilité de la colonne vertébrale, celle-ci se caractérise par des douleurs permanentes dans l'ensemble du dos.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
On parle de discopathie (disco = disque, pathie = maladie) protrusive en cas de hernie discale et de discopathie dégénérative (ou bien de discarthrose) en cas d'arthrose discale. La hernie discale est une des conséquences possibles de la détérioration d'un disque.
Des conseils avisés pour mieux gérer sa discopathie
Le médecin expert conseille à Lisa de pratiquer des activités physiques, notamment celles qui favorisent le gainage (travail des abdominaux et des fessiers) afin de stabiliser le rachis et de soulager les disques dans leur travail.
Pour certaines personnes, la discopathie dégénérative fait partie du vieillissement naturel. Lorsque nous avançons en âge, nos disques intervertébraux peuvent perdre de leur flexibilité, de leur élasticité et de leur résistance aux chocs.
Buvez beaucoup d'eau.
L'eau est essentielle pour que les cartilages fibreux des disques soient en bonne santé. S'ils sont déshydratés, ils auront plus de difficultés à retrouver leur forme et leurs fonctions normales. Buvez environ 3 litres d'eau par jour. La circulation sanguine dans votre dos amènera cette eau.
Le chirurgien spécialiste du dos va repérer la zone à opérer et faire une incision. Dans un premier temps, le chirurgien va retirer le disque abîmé et venir le remplacer par un dispositif appelé cage intersomatique.
Le pincement discal est quelque chose de très fréquent. Il s'agit d'un disque situé entre les vertèbres et servant normalement d'amortisseur qui a tendance à s'écraser, se pincer; devenir plus fin. Tout d'abord, le pincement n'entraîne pas spécialement de problème par lui-même.
Depuis le 15 février 1999, le mal de dos est reconnu maladie professionnelle dans certaines conditions très strictes : affections chroniques de la colonne vertébrale provoquées par des travaux exposant soit aux vibrations le corps entier (conducteurs de tracteurs ou de poids lourds par exemple) (cf.
Les sports autorisés et conseillés
Natation, en faisant varier le crawl et le dos crawlé. Tous les sports cardio en salle comme le rameur, le vélo elliptique ou le steppeur. Toutes les activités faisant travailler la souplesse comme le yoga ou le tai chi, en évitant les positions douloureuses.
Comme son nom l'indique, la discopathie dégénérative est une conséquence naturelle du vieillissement. Elle est considérée telle une pathologique lorsqu'elle provoque un mal de dos intense ou une perte de mobilité gênante au quotidien. Les pathologies dégénératives des disques sont d'apparition lente et progressive.
La protrusion peut évoluer vers une disparition complète et progressive du noyau. Elle commencera par atteindre les disques les plus bas, et remontera progressivement aux disques supérieurs. On parle alors d'insuffisance discale.
Le pincement ou tassement discal est la diminution de la hauteur d'un disque intervertébral. Il s'agit habituellement de l'une des manifestations de la discopathie dégénérative. Les disques le plus souvent sujet à un pincement discal sont les disques situés entre les vertèbres l5 et s1 (pincement l5 s1) et L4L5.
La lombalgie chronique peut être considérée comme une affection longue durée (ALD). Le taux d'invalidité d'une lombalgie doit être de 66 % minimum pour faire reconnaître une invalidité, ce qui est rare avec les pathologies lombaires.
Le taux d'invalidité retenu est de 15%.
Les réponses avec le Dr Sébastien Le Garrec, médecin du sport : "Après une hernie discale, la marche est intéressante. Plus on va avoir une musculature lombaire et abdominale forte, mieux cela sera. Attention malgré tout, si vous n'êtes pas trop musclé et si vous marchez longtemps, ce n'est pas une très bonne chose.