crèmes hormonales à base soit œstrogènes, soit de testostérone soit de corticoïdes. injection locale dans le vestibule : d'anesthésiques (lidocaïne) ou de corticoïdes. huile d'amande douce, huile de jojoba, crème cicatrisante, gel d'Aloe Vera... une application par jour après la toilette intime.
La vulvodynie n'est pas causée par une infection active et n'est pas une maladie transmise sexuellement. Ce qui cause la vulvodynie reste encore spéculatif. Cependant, les chercheurs ont identifié plusieurs causes possibles: Une blessure ou l'irritation des nerfs qui fournissent la sensation à la vulve.
En fonction de l'importance de l'impact psychologique des douleurs, un traitement antidépresseur peut être initié, soit par amitriptyline ou par nortriptyline. Des séances de rééducation périnéale par un kinésithérapeute, connaissant cette pathologie, peuvent être indiquées.
Diagnostic. Le symptôme principal est le saignement en dehors des règles, en particulier après les rapports sexuels. D'autres symptômes peuvent également apparaître, comme les douleurs pendent les rapports, les douleurs au ventre ou des symptômes urinaires si la maladie est avancée et touche la vessie.
Le médecin généraliste prend en charge : candidoses, vaginoses, condylomes, lichen scléreux, psoriasis.
- Ratanhia: Ce médicament est utilisé dans le traitement des vulvodynies essentielles dont la symptomatologie douloureuse se caractérise par des brûlures intenses, aigües, "comme des coups d'aiguille".
Quels symptômes ? Les vulvodynies se manifestent principalement par des douleurs vulvaires persistantes sur plusieurs mois ou années. Les douleurs peuvent concerner toute la vulve, ou seulement des zones précises de la vulve.
Le diagnostic de vulvodynie est dans la grande majorité des cas clinique et ne nécessite aucun examen complémentaire. Il faudra parfois exclure des causes infectieuses, inflammatoires, cancéreuses ou traumatiques de douleur vulvaire persistante.
– Des infections fréquentes au vagin (vaginites) ou à la vessie (infections urinaires). – Des allergies ou l'utilisation de produits irritants (savons, douches vaginales, détergents, serviettes hygiéniques, crèmes, etc.). – Des changements hormonaux (par exemple pendant que vous allaitez ou à la ménopause).
Les traitements médicaux
La lidocaïne a été reconnue comme un traitement de première ligne qui est efficace pour soulager les symptômes de la vestibulodynie provoquée. Certaines femmes peuvent ressentir une sensation de brûlure suite à l'application, mais cela dure habituellement quelques secondes.
On sait qu'il existe principalement deux causes favorisant l'apparition du cancer: une infection à certains types de virus appartenant à la famille des papillomavirus (HPV), transmis par voie sexuelle ou par contact de la peau durant une relation sexuelle, chez les femmes jeunes (40-60 ans)
Une irritation de la vulve peut aussi survenir après un rapport sexuel. Elle peut être le signe d'une infection sexuellement transmissible, mais également d'une sécheresse vaginale, de lésions vulvaires après le rapport, ou encore d'une réaction cutanée à certains lubrifiants ou au sperme du partenaire.
Les bons réflexes en cas d'irritation de la vulve :
Evitez de trop exposer votre zone intime à l'eau calcaire du robinet : évitez les bains, rafraîchissez et apaisez plutôt la zone avec un pschitt d'eau florale.
La vestibulite, appelée vestibulodynies provoquées ou vulvodynies par les médecins, est une douleur persistante du vestibule vaginal, probablement causée par une hypersensibilité des nerfs au niveau de la muqueuse.
En application locale, imbibez un simple coton de vinaigre de cidre, de préférence bio et surtout non pasteurisé, puis tamponnez la zone concernée. Vous pouvez également en imprégner un tampon hygiénique que vous laisserez en place dans le vagin durant 1 à 2 heures.
Pour soigner une dyspareunie physique, l'utilisation d'un gel vaginal est conseillé en cas de douleur type brûlures. En effet, l'acide hyaluronique va permettre d'assouplir et de lubrifier les tissus de la paroi vaginale pour limiter les douleurs liées à la baisse de lubrification.
La prévention du cancer de la vulve passe par une prévention contre les infections à Papillomavirus humains (HPV). La vaccination contre l'HPV (lien interne page vaccin HPV) diminue le risque de développer un cancer de vulve. Elle est recommandée pour toutes les jeunes filles (et les jeunes garçons) de 11 à 14 ans.
Les symptômes des infections à levures sont des démangeaisons vaginales et des douleurs au moment d'uriner. Les lèvres sont souvent gonflées et assez douloureuses. Des écoulements épais blanchâtres peuvent ressembler à du fromage cottage.
En position couchée sur le dos les genoux repliés, insérez l'applicateur rempli de crème dans le vagin aussi profondément que possible sans que cela vous cause d'inconfort. Poussez le piston pour libérer la crème. Retirez l'applicateur. Un peu de crème pourra être appliqué au niveau de la vulve.
L'huile d'onagre est l'une des huiles qui a le plus démontré son efficacité face aux inconforts vulvaires. Elle s'utilise en application interne (gélule, ovule) et en application locale.
L'application de crèmes cicatrisantes, de type Bépanthène®, favorise la cicatrisation et doit être réalisée une à plusieurs fois par jour sur une peau propre. Si une mycose en est responsable, un antifongique permettra de se débarrasser du champignon en cause.
La survie nette après 5 ans pour les autres cancers des organes génitaux de la femme est de 59 %, ce qui signifie qu'environ 59 % des femmes ayant reçu un diagnostic d'autre cancer des organes génitaux survivront au moins 5 ans.
Mais aussi des virus : herpès génital (herpès simplex), condylomes acuminés (papillomavirus) ou des parasites (trichomonas) ; Elle est parfois le symptôme d'une maladie plus générale comme le psoriasis, le lichen ou le cancer de vulve qui est très rare.
clitoris. b) Les grandes lèvres sont deux replis cutanés situés sous le mont de Vénus et réunis en bas pour former la fourchette. Elles sont de coloration foncée, comme le scrotum. Elles sont de fait formées de quatre couches, analogues à la paroi des bourses chez l'homme.