Le cerveau génère le mouvement des yeux après la détection de la lumière. Les ondes lumineuses se fraient un chemin dans l'air, rebondissent sur des objets et ricochent directement dans nos globes oculaires. Finalement, ils frappent une fine membrane à l'arrière de l'œil, la rétine.
C'est la rétine, avec ses photorécepteurs, qui va transformer l'image lumineuse reçue en impulsions électriques vers le cerveau. L'influx nerveux sera transmis au cerveau par le nerf optique.
L'information visuelle est aussi transmise à d'autres parties du cerveau : l'hypothalamus pour recaler notre horloge interne sur le cycle diurne, le tronc cérébral pour participer aux mouvements des yeux et de la tête et aussi pour régler le diamètre la pupille.
Les chercheurs expliquent que notre cerveau compile en fait des signaux de distances -- notamment oculomoteurs, tels que la vergence ou l'accommodation -- avec la taille de l'image rétinienne pour rendre une information sur la taille réelle de l'objet observé.
Aussi appelé cortex strié ou simplement V1, le cortex visuel primaire se situe dans la partie la plus postérieure du lobe occipital du cerveau.
Le cortex moteur est loin d'être la seule région du cerveau impliquée dans la commande et le contrôle des mouvements. Il faut également mentionner le rôle important des ganglions de la base et du cervelet. Les ganglions de la base interviennent dans une boucle complexe reliant différentes aires corticales.
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
Le cerveau contribue à la pensée, mais la pensée ne lui appartient pas. L'union entre le corps et l'esprit qu'on peut attribuer au cerveau forge notre identité. La pensée est une « fonction » du cerveau et des processus biochimiques dont il est le siège .
Dans ce cadre théorique, le cerveau s'organise lui-même en un vaste répertoire de modèles d'excitation neuronale préformés, appelés trajectoires neuronales. Une nouvelle expérience ne modifie pas le mode de fonctionnement de ces réseaux, notamment leur niveau d'activité global.
Le nerf optique de chaque œil transporte les signaux nerveux au cerveau, où l'information visuelle est interprétée. Une lésion sur un nerf optique ou sur son parcours jusqu'au cerveau entraîne une perte de la vision.
Dans une première zone, un groupe de neurones dans le cortex visuel ou cortex strié, gère les 2 streamings d'images venant de nos yeux, 2. Ce groupe de neurones transmet ces données à une seconde zone du cortex pour construire une seule image « de synthèse ».
Le cortex visuel primaire (ou cortex strié ou aire 17 de la classification de Brodmann, ou aire V1) se situe aux pôles postérieurs des lobes occipitaux. Il reçoit diverses informations concernant le monde visuel.
Une image réelle est obtenue lorsque les rayons lumineux se concentrent, ou convergent, sur un écran ou sur un mur. Une image virtuelle est observée uniquement à travers un appareil optique (comme un miroir ou une lentille): elle ne peut pas être vue.
Lorsque la lumière atteint la rétine, ces cellules la transforment en impulsions électriques qui passent par le nerf optique jusqu'à ton cerveau, qui remet l'image à l'endroit. Résultat : tu vois !
Même une fois nos paupières closes, les neurones de la rétine qui transportent l'information visuelle au cerveau gardent une activité spontanée de base. Il est donc possible de voir apparaître des formes lumineuses, blanches ou colorées appelées phosphènes.
Le message en substance était que lorsque nous regardons quelque chose ou que nous entendons un son, les stimuli sensoriels visuels et auditifs sont convertis en signaux électriques, puis transmis au cortex sensoriel qui traite ces entrées et donne lieu à des perceptions.
Cette expansion corticale s'est accompagné d'une gyrification, c'est-à-dire d'un repliement du cortex permettant à une plus grande surface de tenir le volume de l'encéphale et qui donne lieu à l'apparition de sillons et circonvolutions, particulièrement visibles à la surface d'un cerveau humain normal.
Des milliards de connexions se créent dans son cerveau tout au long de ses premières années. En même temps que des connexions se créent, d'autres se solidifient et d'autres encore, qui ne sont pas utilisées, sont éliminées. Cette capacité du cerveau à transformer ses connexions s'appelle la plasticité cérébrale.
La responsable de cet état est, entre autres, la mélatonine. Une hormone que notre cerveau produit en quantité pendant la nuit. Elle place le corps en mode de repos et exerce une foule d'effets bénéfiques, mais si nous sommes réveillés à ce moment-là, elle dégrade notre humeur.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Le tronc cérébral est situé sous le cerveau, devant le cervelet. Il relie le cerveau à la moelle épinière et contrôle des fonctions automatiques de l'organisme telles que la respiration, la digestion, le rythme cardiaque et la pression artérielle.
Le cerveau cortical ou néocortex compose la dernière partie de la théorie des trois cerveaux. Il est présent chez l'homme, mais aussi chez des mammifères supérieurs comme les dauphins, les chimpanzés ou encore les baleines.
Le rhombencéphale
Cette structure permet le contrôle du rythme respiratoire, de l'activité cardiaque et du niveau de glucose dans le sang.