Afin de cerner le risque, les assureurs cherchent à les objectiver, à les probabiliser. L'application de ces outils permet d'établir une meilleure anticipation des risques assurés. Certains des modèles sont très simples, consistant en la mise en place d'une seule formule mathématique.
Au sens de la directive, sont considérés comme des « grands risques » ceux, notamment, portant sur des corps de véhicules ferroviaires, aériens ou maritimes. [3] CJUE, 27 février 2020, C-803/18.
De façon générale en assurance, le risque représente la probabilité que survienne un dommage contre lequel l'assuré cherche à se prémunir au moyen d'un contrat souscrit auprès d'un assureur.
la coassurance : qui consiste en un partage proportionnel d'un même risque entre plusieurs assureurs, la réassurance : une opération par laquelle une société d'assurances (la cédante) s'assure elle-même auprès d'une autre société (le réassureur ou le cessionnaire) pour une partie des risques qu'elle a pris en charge.
On distingue trois types d'assurances à destination des clients professionnels : les assurances de personnes (elles-mêmes divisées en assurances individuelles et assurances collectives), les assurances de biens et les assurances d'activité..
Lorsqu'un risque est trop important pour être pris en charge par l'assureur seul (risques industriels, raffineries….), celui-ci a recours à deux techniques de division des risques qui peuvent être mises en œuvre en même temps : la coassurance et la réassurance.
Le principe de l'assurance est fondé sur la notion de risque, c'est-à-dire l'exposition à un danger potentiel, inhérent à une situation ou une activité et dont on ne pourrait affronter les conséquences financières, qu'elles soient liées aux biens ou aux personnes.
Les risques non assurables sont des événements pour lesquels aucune couverture d'assurance n'est disponible ou pour lesquels les assureurs sont peu susceptibles de souscrire des polices. Un péril non assurable est généralement un événement présentant un risque élevé de survenance.
L'assurance peut être définie comme une « opération par laquelle une partie (l'assureur) s'engage à délivrer, dans le cadre réglementaire d'un contrat, une prestation en cas de réalisation d'un risque à une autre partie (l'assuré), moyennant le paiement d'une prime ou cotisation.
Les trois principaux organismes de l'assurance sont les mutuelles, les institutions de prévoyance et les sociétés d'assurance. Les professionnels de ce milieu sont responsables de la vente de produits, du conseil de la clientèle ou encore de la gestion ou de la vente des contrats.
Une assurance est un moyen permettant à une personne appelée « l'assuré » de gérer les risques et de bénéficier du secours de l'assureur en cas de survenance d'un sinistre.
Le principe de l'assurance, c'est la mutualisation : elle fonctionne quand elle peut répartir un risque entre ses assurés, c'est-à-dire utiliser les primes du plus grand nombre qui n'est pas touché pour indemniser ceux qui subissent un sinistre.
Un contrat indemnitaire est un contrat qui prévoit la vérification des revenus en cas de sinistre et le plafonnement de l'indemnisation lorsque le revenu assuré est supérieur à celui déclaré l'année précédant le sinistre.
Gérer les dossiers des sinistres et les contacts d'assurance. Faire un suivi du portefeuille client et faire des propositions de nouveau produits. Répondre aux besoins de la clientèle et la rassurer. Établir un lien de confiance entre la clientèle et l'assurance.
Un conseiller en assurance touche un salaire moyen de 28 000 euros bruts par an, soit environ 2 300 euros bruts par mois (ou 1 820 euros nets). Avec des années d'expérience, un conseiller en assurance peut toucher un salaire minimum de 30 000 euros bruts par an (soit un minimum de 2 000 euros nets par mois).
L'assureur est un professionnel qui s'engage à indemniser un assuré en cas de risque. Il vend des assurances et des produits financiers destinés à protéger ses clients des risques de la vie et des potentiels sinistres (assurance santé, automobile, retraite, décès, catastrophes naturelles).
- la nature des risques garantis ; - le moment à partir duquel le risque est garanti et la durée de cette garantie ; - le montant de cette garantie ; - la prime ou la cotisation de l'assurance.
Les provisions techniques et mathématiques correspondent à toutes les réserves constituées par les entreprises d'assurance pour respecter leurs engagements : capital décès, rentes et capitaux garantis en cas de vie.
En mettant en commun les risques et en mutualisant les primes pour que la bonne fortune du plus grand nombre bénéficie aux quelques-uns qui rencontrent des difficultés, l'assurance protège les individus et cimente la solidarité sociale. L'assureur joue également un rôle dans la prévention des risques.
Dans le language des assureurs, un sinistre est un événement (incendie, décès...) qui fait jouer les garanties du contrat : indemnité, capital ou rente. Pour les assureurs de responsabilité civile, il n'y a sinistre que si la victime réclame un dédommagement au responsable assuré (source FFSA).
IARD ou (I.A.R.D.) est une abréviation que l'on retrouve dans le secteur de l'assurance qui est l'acronyme de : « incendies, accidents et risques divers ». Cette assurance permet de protéger les biens et non les personnes. Les assurances IARD comprennent l'assurance habitation et l'assurance auto, entre autres.
L'agent général d'assurance est le représentant ou mandataire d'une compagnie d'assurance qui place ses contrats auprès de la clientèle. Il n'existe pas d'agent général de mutuelles, les mutuelles plaçant directement leurs contrats et produits auprès de leurs membres.