Mettez votre second bras derrière la tête de la personne. Serrez en fermant votre biceps et votre avant-bras et poussez la tête de la personne vers l'avant en vous servant de votre autre bras. Maintenez l'étranglement pendant 10 à 20 secondes puis relâchez la personne lentement sur le sol.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Mettez votre adversaire à genou et faites-lui plier le torse vers l'avant. Avec vos jambes, effectuez des crochets sur ses lombaires. L'un de vos bras va encercler son cou tandis que l'autre va immobiliser sa nuque. Avec cette prise, tout le corps de votre adversaire sera sous votre contrôle.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Mettez votre second bras derrière la tête de la personne. Serrez en fermant votre biceps et votre avant-bras et poussez la tête de la personne vers l'avant en vous servant de votre autre bras. Maintenez l'étranglement pendant 10 à 20 secondes puis relâchez la personne lentement sur le sol.
La pointe du menton, la tempe et le foie
Mais si vous arrivez à les toucher, vous avez de grandes chances de mettre KO l'agresseur. Pour le coup au foie, vous pouvez y aller avec le poing fermé. Mais pour le menton et la tempe, privilégiez les frappes avec la paume de main.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Donnez un coup de tête à votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête.
Rationalisez la position de votre bras et de votre poing.
Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les. Donnez votre coup de poing en ligne droite, sans détour.
Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez. Dégainer une arme peut terminer le combat avant même qu'il n'ait commencé.
Pour réaliser un bon coup de tête, il est essentiel que la tête de votre assaillant subisse un mouvement de coup de fouet. Pour ce faire, vous devez tirer votre agresseur vers vous puis le repousser rapidement, le tout en le tenant par le col. Évitez d'attraper la nuque de votre agresseur.
Lors d'une bagarre, faites tout pour adopter un langage corporel de confiance afin de montrer à votre adversaire que vous ne vous laisserez pas intimider. Pendant que vous vous battez, utilisez uniquement des mouvements défensifs. Cela montrera à votre adversaire qu'il ne pourra pas avoir le dessus sur vous.
Intervenir dans la bagarre. Restez calme. Si deux personnes commencent à se battre, essayez de désamorcer la tension en ayant l'air détendu X Source de recherche . Utilisez une voix apaisante, un langage corporel pas menaçant (par exemple, gardez vos mains levées au niveau de votre poitrine) et des mouvements lents.
Si la tempe est ciblée avec précision, le coup de poing fera que le cerveau à se balancer violemment contre la paroi du crâne, causant le KO. Serrez votre poing et prolongez-le. Il est parfois possible d'utiliser la paume de votre main pour frapper, mais dans ce cas un coup de poing est plus précis.
La plupart du temps, la première frappe se concentrera sur les sites de silos à missile, les bombardiers stratégiques, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), les postes de commandement et les entrepôts où se trouvent les armes dites « stratégiques ».
Je n'ose pas taper par empathie ? L'étude de Moya Albiol (3), conclut que le cortex préfrontal et temporal, l'amygdale et d'autres caractéristiques du système limbique jouent un rôle fondamental dans toutes les situations qui régulent l'agression et la violence.
La peur de se battre est une inquiétude commune, car il s'agit d'une peur situationnelle : craintes suscitées par une situation spécifique inconnu. Empiriquement, il est possible d'affirmer que peu de personnes sont formés à se battre.
- Depuis le 22 décembre dernier et l'adoption du projet de loi "égalité et citoyenneté", "tout recours aux violences corporelles" est interdit dans l'exercice de l'autorité parentale. En clair : les parents n'ont plus le droit de donner une fessée ou une gifle à leurs enfants.
Un tout-petit réagit parfois en frappant et en hurlant lorsqu'il est frustré par une limite. C'est parce qu'il a encore peu de contrôle sur lui-même et parce qu'il maîtrise mal les mots pour exprimer ses émotions. En grandissant, il apprendra peu à peu à mieux se contrôler.
Le menton, la tempe et la mâchoire du combattant que vous affronterez sont la clé du succès. Il vous est possible de porter différents types de coup selon la zone que vous voulez atteindre. Dans tous les cas, vous devrez agir avec rapidité dès que la zone en question ne sera plus protégée.
La meilleure façon de repousser un agresseur est de le frapper ou le griffer à certains endroits vulnérables, comme les yeux, le nez ou l'aine.