Pour la passer et commencer à avancer, il vous suffit donc d'actionner l'embrayage, de baisser le sélecteur d'un cran et de relâcher doucement l'embrayage en même temps que vous accélérez progressivement pour ne pas caler.
Dès que la moto avance de 2 cm, on reprend l'embrayage, mais sans jamais débrayer entièrement. Contentez-vous de tirer le levier sur un centimètre, cela suffit.
La trajectoire
Si c'est la première fois, faites-le en ligne droite, vous aurez plus confiance. Si vous devez faire demi-tour en bout de ligne droite, revenez en position normale pour tourner. Quand vous serez à l'aise, effectuez les demi-tours sans revenir en position normale.
Utilisez le moins possible votre frein avant dans le virage, et avec parcimonie le frein arrière. N'accélérez pas trop vite pour ne pas faire déraper la roue arrière. Évitez de braquer brutalement. Avec l'habitude, le motocycliste expérimenté aura tendance à prendre ses virages sans réduire son allure.
En virage, c'est bien cela qui nous importe, au fond. Nous savons bien, nous sentons que nous ne pouvons pas tomber par le seul fait de l'angle. Ce n'est pas tant de la perte d'équilibre que nous avons peur, mais de la perte d'adhérence des pneumatiques.
Il y a principalement trois raisons pour lesquelles les pilotes MotoGP sortent leur jambe pendant une section de freinage : pour augmenter la résistance à l'air, pour faciliter l'entrée en virage et pour empêcher un dépassement intérieur par un rival.
Le point essentiel est de rouler « serré en bas, relâché en haut ». Tout le bas du corps doit être au plus près de la moto : pieds, genoux, cuisses, bassin. Vous devez multiplier les points de contact avec la machine, la serrer entre vos jambes, pour mieux la sentir et influer sur elle.
Les véhicules calent lorsque les usagers n'appuient pas suffisamment longtemps sur l'embrayage au moment de l'accélération pour impulser la vitesse adéquate au moteur. Pour éviter de caler, il suffit d'atteindre le point de patinage et de ne pas se précipiter.
Vous appuyez le plus fort possible sur le frein, et ensuite rapidement sur l'embrayage. En procédant de cette manière, le moteur ne cale pas, vous conservez la direction de votre véhicule et pouvez faire un évitement.
D'abord avec le guidon droit, puis guidon braqué, puis guidon braqué de l'autre côté : au moins deux tours à chaque fois, dans chaque sens. N'oubliez pas de commencer par vous déplacer très lentement, doucement, pour bien ressentir les variations de l'équilibre de la moto.
Au moment de se pencher, le motard doit appuyer sur le pied gauche et incliner le genou droit vers le cadre de la bécane. Ça permet de bien sentir son centre de gravité. Quand le virage à gauche est très accentué, il faut également veiller à ne pas exposer sa tête sur la voie en sens inverse.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
Le permis moto est l'un des permis les plus difficiles.
Ne le sous-estimez pas ! Comme on l'a dit, le taux de réussite au permis moto est d'environ 70%. Il faut donc s'accrocher. D'autant que passer son permis moto ne se résume pas à faire des balades en moto avec un moniteur.
Savez-vous pourquoi la première vitesse est toujours en bas sur une moto ? La principale raison est que cela évite de passer le point mort par inadvertance et donc de se retrouver en entrée de virage, en roue libre sans aucun frein moteur !
Comment réagir lorsque vous calez ? On ne le répètera jamais assez : caler, ce n'est pas grave. L'une des seules situations dans lesquelles cela peut être dangereux, c'est si vous êtes dans une pente montante. Si vous calez, freinez immédiatement après (pédale de frein ou frein à main).
En conservant le pied sur la pédale de frein, on débraye puis on enclenche la première vitesse. On relâche la pédale d'embrayage jusqu'à ce qu'une vibration du moteur se fasse entendre. Il s'agit donc du point de patinage.
En cas de calage, on peut remettre le moteur en marche rapidement, en débrayant à fond et en tournant la clef de la voiture. Le moteur est alors prêt pour repartir, il suffit de suivre à nouveau les étapes indiquant comment démarrer une voiture.
Pour les customs, vous pouvez équiper votre moto d'un sissy bar. Le sissy bar est plutôt joli et bien perçu sur un custom. Il permet au passager, comme le top-case, de prendre appui dessus et ainsi soulager le dos.
-Par principe, il ne salue pas les conducteurs qui ont déjà fini de payer leur moto. -Il a peur que son guidon ne se détache à cause des vibrations. -Le vent pourrait souffler les tatouages.
La solution est de sortir la jambe sur le côté, mais en plus sur l'arrière de la moto, cela permet de descendre le centre de gravité de la moto, et redonner un peu d'adhérence à la roue arrière.
Cette mesure remet sur un pied d'égalité les pilotes plus grand qui par nature sont plus lourds. Avant 2019 les pilotes étaient donc pesés à la fin de la course pour connaître le poids total de la monoplace et du pilote à la fin du Grand Prix afin de s'assurer le respect du règlement.
La 11e cause de mort, une chance sur 802, est un accident de moto. La dixième cause de mort, une chance sur 623, est de se faire renverser en étant piéton. La neuvième cause de mort, une chance sur 300, est d'être victime d'armes à feu.