La consommation d'un radiateur électrique est-elle importante ? En moyenne, un radiateur électrique consomme 3 800 kWh par an. Cela représente un coût d'environ 720 euros. Cependant, si votre radiateur électrique est ancien, sa consommation annuelle peut monter jusqu'à 4 660 kWh pour 880 €.
En résumé, réglez votre thermostat principal sur 19°/mode confort la journée quand vous êtes là. Pour la nuit et durant vos absences, passez en mode éco/17°. Adaptez la température en fonction de la pièce sur le thermostat de régulation thermique présent sur chaque radiateur électrique.
Un risque de surchauffe et de surconsommation
Que ce soit en journée car vous êtes au travail, la nuit ou même le temps d'un week-end à la campagne, il est recommandé de la laisser en route, et plutôt de jouer avec les températures du chauffage.
Même éteint, ça consomme
C'est le cas d'un ordinateur, d'un téléviseur, d'un lecteur Blu-ray… ainsi que de certains luminaires munis d'un variateur. Cette consommation cachée s'explique par le fait que l'interrupteur principal se situe après le transformateur.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
les occupants d'une maison payent en général entre 290 et 350 € par mois pour l'électricité ; pour réduire sa facture d'électricité, choisir un fournisseur moins cher à l'aide d'un comparateur ou effectuer des travaux de rénovation énergétique sont des solutions efficaces.
Pour calculer la consommation moyenne en chauffage électrique, on se réfère à un volume de 110 kWh par mètre carré et par an. Dans le détail, la consommation électrique moyenne d'une maison de 100 m2 est comprise entre 9 350 kWh (bonne isolation) et 13 650 kWh (mauvaise isolation).
D'après une analyse de la Commission de régulation de l'énergie datant de 2016, la consommation moyenne en électricité par mois par foyer en France est de 390 kWh, soit 4 679 kWh par an.
La consommation moyenne d'électricité pour 2 personnes avec un abonnement à 6 kVA est de 1700 kWh par an.
En utilisant une multiprise équipée d'un système de « coupe veille », c'est-à-dire d'un bouton permettant de couper l'alimentation en courant électrique, vous pouvez, stopper la consommation inutile de plusieurs de vos appareils électriques en veille, tout en réduisant votre facture d'électricité.
Consommation des radiateurs électriques et du chauffe-eau
Et pendant ce temps-là, la facture grimpe. Avec une consommation électrique moyenne de 1000 kWh/an chacun, ces deux appareils sont le duo au top du palmarès des consommateurs d'électricité.
Si vous êtes équipé d'un compteur électromécanique, vous n'avez qu'à regarder au-dessus de la roue métallique de votre compteur, où votre index sera indiqué. Si votre compteur est électronique, cliquez sur le bouton D (pour défilement), jusqu'à obtenir votre index de consommation.
Le chauffage représente, de loin, la plus grosse part de nos consommations d'énergie : 55%. Pas étonnant qu'il soit aussi le champion de la consommation la nuit…
Plutôt que de les laisser en veille, l'Agence de la transition écologique (ADEME) assure que les éteindre permet de réaliser jusqu'à 10 % d'économies sur sa facture d'électricité.
L'ADEME constate que sur une année, les appareils électriques mis en veille dans un foyer, consommeraient au moins 50 Watts. Débrancher ces appareils permettrait de ce fait d'économiser dans les 80€ sur sa facture énergétique annuelle.
En matière d'heures creuses, la rentabilité est un aspect qui suscite nombre de questions. Les résultats de milliers d'analyses électriques effectuées en France révèlent que cette option tarifaire n'est pas rentable pour 50 % des foyers. Pourtant, elle a été pensée pour permettre aux consommateurs d'économiser.
Le prix de l'électricité est lié notamment à la quantité de carbone produite par les centrales. En Europe, les producteurs d'énergie doivent acheter des droits d'émission en CO2 pour avoir le droit d'en émettre sur le marché d'échanges de quotas d'émission.