Si vous négociez votre salaire avec un futur employeur lors d'un entretien d'embauche, il est important de faire preuve de tact. Il est recommandé d'attendre que votre futur employeur aborde le sujet, car cela peut être considéré comme impoli si vous le mentionnez vous-même dans certaines cultures.
Merci beaucoup pour l'offre. Je suis enthousiasmé(e) par la possibilité de travailler comme [nom du poste] pour votre entreprise. Je crois que mes compétences en _________ , ___________ et _________ feront de moi un atout précieux pour votre équipe. Avant d'accepter votre offre, j'aimerais discuter le salaire.
Il s'agit d'évoquer votre avenir professionnel, vos motivations, vos ambitions, ce travail dans lequel vous vous investissez tous les jours. Mettez les formes ! Un rendez-vous pris de façon formelle, comme si vous passiez un entretien pour négocier votre salaire d'embauche auprès d'un cabinet de recrutement.
WAAGE est une plateforme web gratuite, développée par le cabinet de conseil en rémunération et politique salariale PEOPLE BASE CBM, qui permet à chaque salarié de calculer son salaire afin de connaître rapidement et en temps réel, son positionnement salarial par rapport au marché.
Parler de fourchette de salaire
Lorsque vous abordez la question du salaire, parlez en termes de fourchette. Le bas de la fourchette sera votre minimum acceptable, et la borne haute le montant qui vous satisfera le plus. Demander une fourchette permet de donner un cadre à la négociation et de faciliter la discussion.
Prétention salariale, la réponse précise : donner un chiffre, suivi d'une question. C'est la réponse que les recruteurs attendent, en salaire brut annuel. Mais ne vous contentez pas de répondre 35 000 euros.
Pour autant, il est d'usage de donner une fourchette annuelle, généralement comprise entre -10 % et +10 % de la norme salariale ou de l'ancien salaire, et toujours en brut. De nombreux éléments peuvent aussi vous aider à estimer ce futur salaire : - Le salaire spécifié dans l'annonce quand l'information est donnée.
Il faut idéalement partir du salaire souhaité et l'augmenter de 10 à 15%." Autrement dit, si vous visez un salaire brut annuel de 30 000 euros, donnez une fourchette comprise entre 30 et 35 000 euros." Si la fourchette est trop vague, ça montre que vous n'avez pas assez étudié la question et vous perdez en crédibilité" ...
Attendre la fin de l'entretien pour aborder ce point
La fourchette de salaire étant généralement mentionnée dans l'offre d'emploi, ou ayant été annoncée lors de l'entretien téléphonique de présélection, le candidat sait a priori à quoi s'en tenir. Le sujet est donc en général abordé en fin d'entretien.
La réponse est donc très attendue : il faut demander un pourcentage d'augmentation. La clé du succès réside dans la formulation d'une fourchette d'augmentation salariale se situant entre 5 à 10 % de son salaire fixe, selon les arguments à mettre en avant pour défendre la hausse.
La fourchette salariale représente l'écart entre le salaire minimal et le salaire maximal attribué pour une fonction.
L'âge a bien évidemment un impact. Alors que les jeunes ont un salaire moyen situé autour de 40 000€, ceux de plus de 50 ans touchent 58 000€.
Le salaire juste est fonction du rôle joué par le salarié au sein de l'entreprise qui peut être appréhendé au travers d'une analyse des compétences, des capacités ou de l'initiative, mais il est également calculé de façon à ce que le salarié et sa famille puissent vivre décemment.
Les salariés souhaitant connaître la classification et le coefficient de leur poste et de leur profil doivent se référer, en premier lieu, à leur contrat de travail et/ou à leur bulletin de salaire. Pour en vérifier la conformité, il convient de consulter la convention collective de l'entreprise.
Exemple : Question du recruteur : « Quelles seraient vos prétentions salariales pour ce poste ? » Réponse possible : « Compte tenu de la situation économique actuelle, un salaire annuel brut compris entre 28 000 € et 30 000 € me semble approprié. Qu'en pensez-vous ? »
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