La pneumonie s'attrape le plus souvent comme une grippe ou un rhume, en inhalant des particules contaminées. Dans certains cas, elle survient après une autre infection respiratoire, comme une grippe ou une bronchite, qui « dégénère » et s'installe dans les alvéoles des poumons.
Dans deux tiers des cas, le germe en cause est un virus (de nombreux virus peuvent être en cause, par exemple, celui de la grippe ; à noter que le virus de la rougeole peut aussi toucher le poumon) ; dans le tiers restant, il s'agit de bactéries (pneumocoques, Haemophilus influenzae).
La plupart du temps, les pneumonies virales guérissent sans traitement. Les antibiotiques ne sont pas efficaces contre les virus. Dans certains cas, des médicaments antiviraux peuvent être utilisés, comme l'oseltamivir (Tamiflu®) ou le zanamivir (Relenza®).
Les pneumonies virales peuvent se compliquer d'une surinfection par une bactérie. Les pneumonies bactériennes peuvent être à l'origine d'un épanchement pleural ou pleurésie (du liquide s'accumule entre les enveloppes des poumons et les empêchent de se gonfler à l'inspiration), voire d'un abcès du poumon.
La pneumonie est une inflammation des poumons liée dans la majorité des cas à une infection bactérienne ou virale. « Elle est donc contagieuse.
Les symptômes d'une pneumonie sont une toux avec des crachats, des difficultés respiratoires, des « bruits » pendant la respiration, des douleurs au niveau du thorax ainsi qu'une fièvre souvent élevée et de la fatigue.
Dans la plupart des cas, une radiographie ou un scanner des poumons permet de compléter l'histoire du patient et son examen clinique.
La molécule la plus prescrite est l'amoxicilline acide clavulanique dans 62,5 % des cas, suivie de la ciprofloxacine dans 20,8 % des cas. Le traitement est prescrit pendant une durée de 10–15 jours dans 66,6 % des cas et pendant 5–7 jours dans 12,5 % des cas.
Il s'agit d'une infection aigue du poumon liée à un microbe. On peut aussi parler d'« infection parenchymateuse pulmonaire ». Elle est appelée « pneumonie » lorsqu'elle atteint un lobe entier du poumon.
Les infections pulmonaires et broncho-pulmonaire sont des infections respiratoires basses qui touche n'importe quelle partie des poumons : les bronches (bronchites ou BPCO), le parenchyme (pneumonies et suppurations pulmonaires et pleuropulmonaire) ou les deux à la fois (broncho-pneumonie).
Les tests de détection des antigènes révèlent directement la présence d'un micro-organisme, de cette façon le médecin peut diagnostiquer l'infection rapidement, sans attendre que la personne produise des anticorps en réponse au micro-organisme.
Streptococcus pneumoniae – l'agent pathogène le plus souvent à l'origine de la pneumonie bactérienne chez l'enfant; Haemophilus influenzae type b (Hib) – la deuxième bactérie la plus courante à l'origine de pneumonies; Le virus respiratoire syncytial est l'agent pathogène le plus fréquent en cas de pneumonie virale.
Une forte fièvre, de la toux, une faiblesse générale. Parfois aussi un essoufflement ou une douleur thoracique. Le médecin peut déceler la pneumonie à l'auscultation, ou parfois uniquement sur la radiographie pulmonaire.
Toujours en phytothérapie, l'infusion de gingembre est recommandée pour nettoyer naturellement vos poumons et les fortifier. Elle les aide à se débarrasser du mucus, des toxines et de divers allergènes. Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
La pneumonie désigne en fait des infections très diverses qui peuvent être sans gravité ou mettre la vie en danger. Ainsi, si une pneumonie apparaît en complication d'une maladie grave ou chez une personne âgée, elle peut être mortelle.
Les symptômes de l'embolie pulmonaire
L'embolie pulmonaire entraîne l'apparition soudaine : d'une douleur thoracique d'un côté, qui augmente à l'inspiration ; de difficultés à respirer (dyspnée) : respiration rapide et courte ; parfois une toux et des crachats avec du sang.
La position idéale, y compris pour dormir, en cas de pneumonie est la position semi-assise ou assise. Si l'état de santé du patient ne s'améliore pas après 3 à 5 jours, le médecin peut varier les antibiotiques. Dans certains cas, il demandera l'hospitalisation du patient.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.