On écrit toujours « je me suis dit ».
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».
Je me suis posé une question = J'ai posé (quoi ?) une question (à qui ?) à moi (me). => Le COD (une question) étant placé après le verbe, le participe passé reste au masculin singulier.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
Commis est le participe passé qui s'accorde avec le COD s'il est placé avant, donc erreur étant le COD placé avant et doit permettre d'accorder le participe. L'erreur que j'ai commise, la leçon que j'ai apprise. Personnes ayant répondu : joelle le 10 juin 2017.
« Rendu », participe passé de « rendre », est invariable dans l'expression « se rendre compte ». Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Je me suis rendu compte trop tard que j'avais tort.
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle). Cependant, cette règle est mal respectée, par beaucoup d'écrivains et désormais, par l'usage, ainsi même Grevisse renonce à l'imposer.
Il n'y a donc pas d'accord, même lorsque celui ci est placé avant l'auxiliaire. Un femme doit dire: "Je me suis fait quelque chose."
« Je me suis dit » est la forme correcte de la conjugaison du verbe pronominal « se dire » à la 1re personne du singulier au passé composé de l'indicatif.
Les verbes pronominaux se conjuguant avec l'auxiliaire « être », leur participe passé s'accorde le plus souvent avec le sujet : Elle s'est évanouie. Ils se sont enfuis.
« Je ». On écrit donc « je ne peux plus », et non « je ne peut plus ».
"Dit" est le participe passé du verbe "dire". On peut écrire "dis" uniquement s'il s'agit de la première personne du singulier du verbe conjugué au présent simple ou au passé simple : "je dis".
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
On écrit toujours je lui ai dit avec un t à la fin et avec le mot ai en deux lettres.
La locution est de ce fait toujours invariable. Pour être correct il faut donc écrire: «Elle s'est rendu compte qu'elle avait tort» et non «Elle s'est rendue compte qu'elle avait tort».
L'orthographe correcte est on te fait de gros bisous .
Donc « faire » s'accorde avec « moi ». Cela donne « moi qui fais », car « moi » est l'équivalent de « je ». Or, au présent de l'indicatif, on écrit « je fais ». Astuce : il suffit de prendre un verbe dont la sonorité des 1re et 3e personnes varie.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Je n'en ai pas encore repéré. Si on retire « en » de la phrase, elle n'a plus de sens. Le participe passé s'accorde donc avec « en » : il reste au singulier.