On peut prévoir des zones à risque
Leur but est de comprendre comment la terre bouge aux différents endroits du globe. Par exemple, ils utilisent les satellites GPS pour mesurer de très petits déplacements du sol dans un lieu donné. Ils utilisent aussi des radars qui révèlent que le sol se soulève ou s'abaisse.
Etablir, avec les membres du logement, les mesures de protection et d'évacuation, un lieu de rassemblement et un abri ; Couper le gaz, l'électricité et l'eau ; Fixer les meubles et les appareils lourds au plancher ou au mur ; Eviter de poser des objets en hauteur.
Avant un tremblement de terre
Inscrivez-vous aux systèmes d'alerte sismiques. Déterminez quels sont les endroits sécuritaires dans chaque pièce de votre maison, de votre lieu de travail ou de votre école. Faites des simulations de la technique « baissez-vous, protégez-vous, agrippez-vous » dans chaque pièce.
Avant un séisme :
Construire en tenant compte des règles parasismiques (vérifier s'il existe un PPR au niveau de la commune) ; Localiser les points de coupure de gaz, eau et électricité ; Fixer les appareils et meubles lourds ; Repérer un endroit où l'on pourra se mettre à l'abri.
La notion de prévention décrit l'ensemble des actions, des attitudes et comportements qui tendent à éviter la survenue de maladies ou de traumatismes ou à maintenir et à améliorer la santé.
Pour l'instant les seules mesures mises en place sont : l'éducation à la sécurité pour développer les comportements appropriés en cas d'incident ; la planification des territoires pour identifier les zones à risque sismique ; les mesures de prévention pour assurer la protection civile.
Un des moyens essentiels de prévention est l'adoption par les citoyens de comportements adaptés face aux risques naturels. La loi du 22 juillet 1987 impose d'informer préventivement les populations des risques auxquels ils sont exposés et des mesures de sauvegarde qui les concernent.
Le Sismographe
Un sismographe est un appareil qui enregistre et mesure les tremblements de terre. Au cours d'un séisme, les vibrations provoquées par la cassure de la croûte terrestre se transmettent à partir du point de rupture. L'appareil qui enregistre et mesure les tremblements de terre s'appelle un sismograph.
Les séismes peuvent avoir des conséquences sur la vie humaine, l'économie et l'environnement. Le séisme est le risque naturel majeur le plus meurtrier, tant par ses effets directs (chutes d'objets, effondrements de bâtiments) que par les phénomènes induits (mouvements de terrain, tsunamis, etc.).
Un tremblement de terre, ou séisme, résulte de la libération d'énergie accumulée par les déplacements et les frictions des différentes plaques de la croûte terrestre (phénomènes regroupés sous le nom de tectonique des plaques). La majorité d'entre eux n'est pas ressentie par les humains.
Épicentre, hypocentre (foyer) et faille.
Qu'est-ce qui provoque les séismes ? Un séisme est un glissement brutal le long d'une faille sismique. C'est ce glissement brutal qui va comprimer (ou dilater) et cisailler les roches environnantes. Ces compressions/cisaillements vont se propager de proche en proche dans les roches.
Le déplacement brutal des blocs de roche commence au foyer (ou hypocentre). Les ondes sismiques créées par ce déplacement se propagent dans toutes les directions et causent des dégâts. L'épicentre est situé en surface, à la verticale du foyer.
C'est une série de secousses du sol, plus ou moins violentes, soudaines, imprévisibles et localisées. On parle également de tremblement de terre. Les séismes mettent en évidence l'activité interne de la Terre. Ils sont provoqués par les mouvements des plaques terrestres qui finissent par rompre la croûte terrestre.
On distingue usuellement : les séismes peu profonds, dits de surface, qui se situent entre 0 et 60 km; les séismes intermédiaires qui se produisent entre 60 et 300 km ; les séismes profonds qui se localisent entre 300 et 700 km.
Le séisme est le risque naturel majeur le plus meurtrier, tant par ses effets directs (chutes d'objets, effondrements de bâtiments) que par les phénomènes qu'il peut engendrer (mouvements de terrain, raz-de-marée, etc.).
Sont classiquement distinguées la prévention primaire qui agit en amont de la maladie (ex : vaccination et action sur les facteurs de risque), la prévention secondaire qui agit à un stade précoce de son évolution (dépistages), et la prévention tertiaire qui agit sur les complications et les risques de récidive.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Une démarche de prévention doit donc être organisée et suivie, avec une hiérarchisation et une planification dans le temps des actions à conduire, et avec une évaluation régulière de l'efficacité de ces actions. Une promotion des actions de prévention est également à prévoir.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Les trois sphères ainsi définies vont être celles de l'amour, du droit, et de la solidarité.
Séisme de 1960 à Valdivia est un mégaséisme qui a eu lieu le 22 mai 1960 à 19 h 11 UTC. Sa magnitude, la plus élevée jamais enregistrée, a été estimée à 9,5. Son épicentre était situé dans le sud du Chili, près de Lumaco, à environ 570 kilomètres au sud de Santiago du Chili.