Le prédateur agit certes de manière brutale et sans égard envers sa victime ; cela joue un rôle incontestable sur la psychologie de celle-ci, la blessant.
DECOUVERTE – Une équipe de chercheurs ont découvert le plus grand prédateur ayant vécu sur Terre, le spinosaurus, qui présente des traits d'adaptation à un milieu semi-aquatique. Mi-canard, mi-crocodile, ce mastodonte pesant jusquà vingt tonnes surpassait largement en taille le célèbre T-Rex.
Homme qui vit de rapines, de butins. Synon. pillard.
Moyens de fuite. La vitesse et l'agilité permettent à certains animaux d'échapper aux prédateurs, ainsi la gazelle peut esquiver facilement les attaques en bondissant, le kangourou peut sauter à toute vitesse pour fuir, le basilic peut courir sur l'eau et l'autruche atteindre 70 km/h pour semer ses ennemis.
Yvane Wiart estime que ce qui distingue un agresseur d'une victime est la notion de culpabilité : un agresseur ne se sent jamais coupable (c'est toujours la faute de l'autre) alors qu'une victime a tendance à se rendre coupable de tout, tout le temps.
Il est narcissique car il semble ne penser qu'à lui, se servant d'autrui pour obtenir satisfaction de ses propres besoins, transformant l'autre en objet devant se comporter selon son bon vouloir, dans une absence totale de reconnaissance et d'empathie pour ce qu'il lui fait vivre.
L'orque, elle, n'a personne à sa droite : c'est une prédatrice, qui n'a elle-même aucun prédateur : c'est elle qui est la superprédatrice.
Selon une étude, l'être humain surclasse largement tous les autres prédateurs. Ses principales victimes : les poissons et les gros carnivores terrestres. Un comportement qui met en danger la survie même de nombreuses espèces.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Un prédateur sexuel est une personne considérée comme obtenant ou tentant d'obtenir des actes sexuels avec une autre personne d'une manière métaphoriquement « prédatrice » ou abusive.
Nom commun. Animal qui capture un autre animal, sa proie, pour s'en nourrir ou pour alimenter sa progéniture. (Figuré) Personne qui abuse d'une autre, plus vulnérable qu'elle.
Les prédateurs ont besoin pour se développer de consommer plusieurs proies qu'ils poursuivent ou chassent à l'affût, édifiant des édifices plus ou moins complexes (toiles, entonnoirs). La morphologie des prédateurs est adaptée à cette capture des proies (pattes longues et habiles ; pièces buccales broyeuses ; ...)
Comment le contrer : il est essentiel de ne pas se soumettre au harceleur. Plus on cède, plus ses exigences seront nombreuses et intenses. La meilleure alternative est de lui faire prendre conscience de la situation anormale qu'il génère, expliquer ce que l'on ressent sans critiquer directement son comportement.
Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective… Ces personnes ont tendance à être violentes et à maltraiter sur le plan émotionnel. Attachement insécure: beaucoup de jalousie et d'envie de tout contrôler.
Certains agresseurs vont jusqu'à accuser leurs victimes d'être elles-mêmes négligentes, voire carrément maltraitantes. Il s'agit d'un jeu psychologique, utilisant l'influence et la perte de repères pour parvenir à des fins de domination.
Leur approche est un véritable moment d'observation, de silence, de concentration à la faisabilité et d'attaque. Pour les agresseurs, c'est exactement le même procédé. Sélection de la proie, lecture comportementale, recherche de la faisabilité, passage à l'acte et fuite.
Rester paisible, s'éloigner doucement si le chien semble ne pas vouloir passer à l'attaque ou au contraire rester immobile ; ne pas fixer le chien dans les yeux, car il peut prendre cela comme une provocation, se laisser sentir sans bouger, sans crier… sont d'autres règles à suivre.