L'hydrogène est l'atome le plus léger. Comme il ne possède qu'un électron, il ne peut former qu'une liaison covalente : c'est un atome univalent. Cependant, l'hydrogène solide peut être métallique lorsqu'il se trouve sous très haute pression. Il cristallise alors avec une liaison métallique (voir Hydrogène métallique).
Dihydrogène H2 Test à la flamme Rapprocher une allumette enflammée de l'ouverture du récipient contenant le gaz à tester. Si une "détonation" se produit alors le gaz testé est du dihydrogène.
L'hydrogène (H) est un gaz très léger dont la formule chimique est H2. Très inflammable, il est inodore, incolore, non toxique et non corrosif.
L'hydrogène est le premier et le plus simple élément dans le tableau périodique, où il est reconnu par le symbole H, et attribué le numéro atomique 1, ce qui signifie la présence d'un seul proton dans son noyau. Le gaz le plus léger, l'hydrogène est incolore, inodore, insipide, généralement transparent et non toxique.
Le bleuissement du sulfate de cuivre anhydre traduit la présence d'eau H2O : le glucose contient donc les éléments hydrogène et oxygène.
Le test de la flamme permet d'identifier la présence de dihydrogène (H2) dans un récipient.
L'hydrogène en tant que carburant automobile est produit par un traitement approprié, comme l'électrolyse de l'eau. Il s'agit de la décomposition de l'eau en ions d'hydrogène et d'oxygène purs sous l'influence d'un courant électrique qui la traverse..
L'hydrogène est un gaz extrêmement inflammable et réactif. Il brûle avec une flamme légèrement bleue qui devient pratiquement invisible à haute température. Il forme des mélanges explosifs avec l'air dans des limites très larges (4 à 75-77 % en volume).
L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'Univers. En effet, il représente 92% en nombre d'atomes, 75% en masse. Il est majoritairement présent dans les étoiles et les planètes externes gazeuses à cœur solide. Il est également le principal composant des nébuleuses et du gaz interstellaire.
L'hydrogène est l'élément dont le noyau atomique contient un seul proton. Le proton étant stable, il peut former un noyau d'hydrogène à lui tout seul. Mais dès qu'un noyau compte deux protons ou plus, il doit effectivement contenir des neutrons pour être stable.
rouge pour l'oxygène ; noir pour le carbone ; bleu clair pour l'azote ; blanc pour l'hydrogène.
Carburant propre : une pile à combustible alimentée par l'hydrogène produit de l'électricité et le processus chimique rejette de l'eau. C'est ainsi que l'hydrogène apporte l'énergie nécessaire aux véhicules équipés d'une pile à combustible et permet une mobilité sans émission de polluants.
un vecteur énergétique. L'hydrogène est l'élément chimique le plus simple : son noyau se compose d'un unique proton et son atome ne compte qu'un électron. La molécule de dihydrogène (H2) est constituée de deux atomes d'hydrogène. On parle communément d'hydrogène pour désigner en fait le dihydrogène.
La réaction chimique de combustion du dihydrogène avec le dioxygène de l'air, amorcée par la source de chaleur, produit un bruit caractéristique appelé « jappement » ou « aboiement ».
Définition et caractéristiques d'une explosion
Cette flamme projette devant elle des ions propageant la réaction de combustion dans le mélange frais. Les gaz résultant de la combustion (CO2 et H2O notamment) sont répartis à l'arrière du front de flamme, sur laquelle ils exercent une poussée.
Document 2 : Tests de caractérisation des gaz
dioxygène On place au contact du gaz à tester un bâtonnet avec un point incandescent. Si le gaz est du dioxygène, alors le bâtonnet s'enflamme. incolore appelé « eau de chaux » Si le gaz est du dioxyde de carbone, alors l'eau de chaux se trouble.
Les molécules d'eau, de dioxyde de carbone et de méthane sont des exemples de molécules qui contiennent de l'hydrogène.
Lorsqu'il est utilisé dans une pile à combustible pour produire de l'électricité, il ne rejette que de l'eau, aucune émission polluante. De plus, en diversifiant le mix énergétique, l'hydrogène permet de moins dépendre des énergies fossiles et de produire une énergie plus locale.
L'hydrogène produit aujourd'hui sert à plus de 80 % à la fabrication d'ammoniac, indispensable à l'industrie des engrais, et au raffinage des produits pétroliers, afin de désulfurer les carburants.
L'hydrogène est un non-métal incolore et inodore. Dans sa forme la plus courante, il est extrêmement combustible. En d'autres mots, il tend à s'enflammer rapidement.
L'hydrogène n'est pas toxique, mais dans les environnements intérieurs tels que les salles de stockage des batteries, il peut s'accumuler et provoquer une asphyxie en remplaçant l'oxygène.
L'hydrogène est un gaz dangereux : il s'enflamme beaucoup plus facilement que d'autres gaz au contact de l'oxygène, sa température de flamme est très élevée (2.000°C) et la combustion peut dans certaines conditions prendre la forme d'une explosion (techniquement, une détonation)", rappelle le rapport.
En 1970, Paul Dieges brevette une modification des moteurs à combustion interne qui autorise la consommation d'hydrogène. Le brevet indique clairement que le but de l'invention est de fournir un combustible non-polluant à l'inverse des hydrocarbures.
La raison pour laquelle l'hydrogène est inefficace est due au processus de transfert d'énergie nécessaire pour alimenter une voiture. C'est ce qu'on appelle parfois la transition du vecteur énergétique. Prenons 100 watts d'électricité produits par une source renouvelable telle qu'une éolienne.
L'autonomie des véhicules à hydrogène est, pour un modèle standard, d'environ 650 km. La Machina (voiture à hydrogène française) devrait offrir un rayon d'action de 1.000 km lorsqu'elle sortira en 2025.