L'hyperbole est la principale figure de l'exagération. Elle exagère l'expression d'une idée ou d'une réalité -le plus souvent une exagération qui tend vers l'impossible- pour la mettre en relief. Elle fait appel aux superlatifs, accumulations de mots, comparaisons… Son pouvoir évocateur frappe l'imagination du lecteur.
L'hyperbole : on emploie des termes exagérés pour frapper le destinataire. C'était la plus jolie personne. La litote : on dit peu, pour en exprimer davantage, souvent en utilisant une forme négative. La métaphore : comme la comparaison, elle rapproche deux éléments, mais sans les relier par un outil de comparaison.
L'hyperbole exagère une idée pour l'accentuer dans le but de créer une forte impression. Elle consiste à jouer sur la syntaxe et sur le lexique. Elle peut être utilisée afin de convaincre ou d'amuser le lecteur.
L'hyperbole consiste à exagérer. Elle donne du relief pour mettre en valeur une idée, un sentiment, C'est une exagération. L'expression dit plus que le réel. Exemple d'hyperbole : Je meurs de faim.
La figure d'exagération : ♥ L'hyperbole : Elle exagère l'expression d'une idée pour la mettre en relief. Utilisée dans l'ironie, la caricature, par exemple. ♥ La prétérition : On fait semblant de ne pas vouloir dire quelque chose, mais on le dit quand même (exemple : Je ne vise personne...)
L'hyperbole peut s'asseoir sur de nombreuses autres figures comme la métaphore, la comparaison, la métonymie ou encore l'allégorie. Elle s'oppose catégoriquement à la litote, figure inverse, qui tend à tout diminuer et à l'euphémisme, qui cherche à alléger ou amoindrir la réalité.
L'hyperbole du grec huper (au-dessus, au-delà) et ballein (lancer, jeter) consiste à exprimer une idée ou un sentiment de façon exagérée, qu'il s'agisse d'insister sur un point ou de produire une forte impression. Son emploi est extrêmement fréquent et elle prend de multiples formes.
La litote consiste donc à dire moins pour suggérer plus. La plus connue est contenue dans Le Cid de Corneille. Dans l'acte III, scène IV, Chimène s'adresse à Rodrigue en ces termes : « Va, je ne te hais point ! », pour lui signifier qu'elle l'aime encore. Mais la litote n'est pas réservée à la littérature !
Les figures de l'amplification. ► Ce sont l'hyperbole, l'anaphore, la gradation, la répétition, l'accumulation et la paronomase.
Une hyperbole est une figure de style qui utilise l'exagération pour mettre un élément en relief, pour frapper les esprits ou pour ironiser. Selon le Littré, l'hyperbole permet d'augmenter ou de diminuer excessivement la vérité des choses pour qu'elles produisent une impression plus grande.
La métonymie exprime une réalité par le nom d'une autre réalité ayant un lien avec la première (par glissement de sens). Elle établit diverses relations : la partie et le tout (une bonne plume pour un bon écrivain) l'objet et sa matière (un fer pour un fer à repasser)
METAPHORE : Comparaison sans outils de comparaison. EXEMPLE : L'oeil d'un homme est ... Comparaison (métaphore) : similitude entre deux termes, ressemblance ( exemple : le poète est semblable à un prince).
Une métaphore est une figure de style qui consiste à désigner une idée ou une chose en employant un autre mot que celui qui conviendrait. Ce mot est lié à la chose que l'on veut désigner par un rapport de ressemblance.
Figure de style réunissant deux termes antinomiques (opposés, de sens contraire). Exemple : Un "silence assourdissant" est un oxymore. Tout comme la citation de Voltaire : "Le superflu, chose très nécessaire."
Le terme euphémisme exprimant le fait d'atténuer l'expression de faits ou d'idées dans le but de les rendre plus doux, plus recevables, il a pour antonyme le terme hyperbole.
Atténuation dans l'expression de certaines idées ou de certains faits dont la crudité aurait quelque chose de brutal ou de déplaisant. (Exemple : il s'est éteint, il est parti pour un monde meilleur, etc., à la place de « il est mort ».)
L'hyperbole est de foyer F et de directrice (D) droite d'intersection des deux plans (P) et (P'). Dans le plan perpendiculaire à (P) et passant par l'axe du cône, se trouvent le point F, le sommet S et le point K. L'excentricité est donnée par le rapport SF/SK.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
N.B. Pour former un oxymore, les mots de sens contraire sont toujours accolés, tandis que l'antithèse ne fait que les unir au sein d'une même proposition.
La métaphore est plus implicite que la comparaison puisqu'elle réunit deux éléments sans toutefois utiliser de mot de comparaison. Elle a une valeur d'illustration afin de bien faire comprendre le sens désiré par l'auteur ou l'autrice. Elle ajoute souvent une connotation ou une intensité à un propos.
Le chiasme (prononcé kiasme) est une figure dans laquelle les contraires s'opposent en symétrie dans une forme AB-BA. L'effet du chiasme s'appuie sur le rythme et la répétition. Le chiasme est une forme d'antithèse dédoublée qui peut également souligner les similitudes dans les mots opposés.
L'anaphore rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de symétrie.
Une figure de style est un procédé d'expression qui s'écarte de l'usage ordinaire de la langue. A l'origine, les figures de style sont liées à la rhétorique (l'art du discours) et étaient très utilisées dans le but de convaincre son interlocuteur ou le séduire.
Anaphore, pléonasme, gradation, parallélisme et répétition sont les figures stylistiques les plus simples. Mais leur pertinence dépend de l'intention du locuteur et du sens général de son énoncé. Mal maîtrisés, ils peuvent apparaître comme des maladresses d'écriture.